Jeux terminés en 2017

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8 janvier 2017
Le premier jeu terminé de l'année pourra probablement figurer en bonne place dans les plaisirs coupables de l'année. Considéré comme un "petit jeu", il m'a pourtant fait passer deux semaines intenses. Il a la marque des très bons jeux dans le sens où je n'ai eu de cesse de le relancer pour le compléter à 100%. Je n'ai d'ailleurs joué à rien d'autre depuis le 28 décembre.
Le mode histoire suit le scénario du film en ajoutant la petite touche d'humour propre aux productions Lego. Après cela on peut attaquer le mode libre pour débloquer minikits et briques rouges avec tous les personnages. Ces derniers ont différentes capacités (utilisation d'un grappin, de la force, d'un blaster lourd...) qui leur permet d'atteindre certains passages. Rien que du classique pour un jeu Lego. Mais il existe aussi des zones de transit (le Faucon, la base de la Résistance...) qui offre défis et autres missions. Ces dernières sont peu intéressantes et répétitives mais heureusement assez courtes.
Mais le point fort du jeu est l'utilisation de la licence Star Wars. Je cherchais justement un jeu tiré de cet univers. Republic Commando et les deux épisodes "The Force Unleashed" ne m'attiraient pas vraiment. Il ne restait que l'épisode Lego... Un gros avantage du titre est qu'une fois le mode histoire terminé, quelques nouvelles missions sont accessibles. Elle donnent des renseignements sur des événements non expliqués dans le film, comme par exemple la fuite de Poe après le crash sur Jakku.
J'ai longtemps hésité entre 7 et 8 sur 10. J'ai finalement opté pour 7 parce que malgré l'exploration et la collectionite aiguë qui me touchent, tout ça couplés à la licence Star Wars, c'est très bien mais le gameplay se renouvelle tout de même très peu par rapport à Lego Star Wars : la saga complète.

11/03/2017 : Aussitôt acheté, aussitôt terminé... Le DLC "Le membre fantôme" n'a qu'un intérêt : connaitre la provenance du bras rouge de C3PO.

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22 janvier 2017
Un monde enchanteur sur le déclin, un personnage attachant, du pixel art de grande classe, un peu de metroidvania. Il n'en faut pas plus pour faire de Owlboy la meilleure surprise de 2016.

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11 février 2017
Un vrai western ! Assez rare pour être souligné.
A la recherche du meurtrier de sa famille, le héros va devoir rendre service à la population locale pour glaner des renseignement sur le bandit.
Il faudra faire des choix qui ne modifient pas la fin mais plutôt les relations entre les différents protagonistes.
Les graphismes m'ont paru très grossier au départ mais on finit par s'y habituer.
Le gameplay des gunfights est parfait : dégainer, armer, tirer, comme dans l'Ouest !
Le jeu est très court (terminé en 6 heures) mais offre suffisamment de possibilités pour être rejoué.

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12 février 2017
De la plateformes bien classique. Le joueur incarne Astérix parti à la recherche d'Obélix. La difficulté est progressive et je m'attendais à bien pire de la part d'un jeu Infogrames, période adaptation de BD. Le dernier acte est assez retors mais rien d'impossible.
Côté technique, l'animation est soignée, les décors variés même si on a droit aux poncifs du genre comme le labyrinthe dans la pyramide.
Sympathique mais le jeu n'atteint pas les cadors du genre.

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24 février 2017
En bon client des jeux Ubisoft j'ai apprécié cette itération de la série Far Cry.
Très dépaysant par l'univers utilisé, une préhistoire fantasmée livrée avec sa palette de mysticisme et de pouvoirs pseudo-magiques.
Par contre le gameplay reste très classique : des missions à remplir, du crafting plus développé avec chasse et collecte de matériaux, de la gestion de "base" simpliste.
L'histoire principale m'a paru plus courte que celle de l'épisode 3. C'est ma collectionnite aiguë qui m'a fait tenir jusqu'au 100%. Les missions secondaires sont très nombreuses mais se ressemblent beaucoup.
Un bon moment.

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5 mars 2017
Plus ancien que l'épisode Star Wars que j'ai terminé en janvier, cette itération de la série Lego m'a partiellement déçu. On retrouve bien l'univers des films, les mécaniques de jeu restent agréables mais plusieurs choses ternissent le tableau.
Tout d'abord les bugs, qui m'ont, à plusieurs reprises, obligé à recommencer un niveau (scripts qui ne se déclenchent pas, objets disparus).
Autre déception, le manque d'humour dans les cinématiques. Bien dosé dans Star Wars, le décalage est ici très peu présent.
Le level design de certains niveaux m'a également paru très "lourd" dans son déroulement avec des situations de jeu qui se répètent plusieurs fois (vagues d'ennemis de plus en plus nombreux, pattern de boss toujours identique mais de plus en plus long)
Comme d'habitude je n'ai pu m'empêcher de tenter le 100%. C'était peine perdue puisqu'un bug m'a fait perdre un objet à collectionner et m'a donc bloqué à 99,1%...

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20 mars 2017
Considéré comme terminé puisque j'ai atteint le niveau le plus élevé pour le restaurant et que toutes les recettes ont été achetées et améliorées au maximum.
Bon jeu de réflexe/mémorisation. Le côté gestion du restaurant ne gâche rien. Certaines recettes sont à s'arracher les cheveux et le moments de bourre sont vraiment très stressants.
Le gameplay finit tout de même par s'épuiser sur la longueur.

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29 mars 2017
Terminé de deux manières différentes (dont la "bonne" fin) en trois runs.
Vraiment très intéressant dans les premiers tours, le jeu finit par tourner en rond puisqu'on vit souvent les mêmes situations ad nauseam. Il y a bien de temps en temps un événement exceptionnel mais on en aimerait plus ! Je peux bien l’affirmer après avoir débloqué le succès "Read all the cards" !
Le jeu est probablement plus adapté à un support nomade qui oblige à faire des parties courtes. Le 6/10 est pour la version PC.

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22 avril 2017
Ce jeu m'a beaucoup occupé au mois d'avril et pour cause, il est rempli à ras bord de missions secondaires ou coop et d'objets à collecter. A tel point que la campagne principale en devient presque anecdotique et est de toute façon très avare en matière de renseignements sur les Précurseurs. Les enquêtes et la recherche des énigmes de Nostradamus m'ont beaucoup plu.
Le Paris de la Révolution est de toute beauté, très vivant et le parcourir de long en large, sur les toits, au sol ou dans les égouts est un vrai plaisir. La présence de personnages "historiques" est plaisante et rappelle les cours d'histoire. Je n'ai plus touché un Assassin's Creed depuis avril 2014 et Black Flag, mais j'ai l'impression que l'infiltration, qui n'était déjà pas bien développée à l'époque, à encore pris un coup dans l'aile puisqu'il est impossible de cacher les corps. Je me suis retrouvé à privilégier l'attaque de front sur la plupart des missions car elle est plus rapide et tout aussi efficace. Seules quelques missions au niveau de difficulté 5/5 m'ont obligé à la jouer plus subtil pour ne pas être débordé par les ennemis.
Cet opus reste un bon cru pour moins, après la déception de l'épisode Black Flag.

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7 mai 2017
Un bon Deus Ex, tout de même en retrait par rapport à Human Revolution. Il m'a semblé moins ambitieux dans le scénario, très plat et assez court. La réussite du jeu c'est Prague. Le terrain de jeu n'est pas très grand mais ils y a beaucoup de choses à faire. Les missions secondaires sauvent le jeu. J'y ai pris plus de plaisir que lors des missions principales.

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24 mai 2017
Un bon cru, dans la lignée d'Asylum et de City. La batmobile, censée apporter de la nouveauté, est sympathique à conduire mais on préfère planer au-dessus de la ville. Seulement deux plantages en 60 heures de jeu, les patchs ont l'air d'avoir colmaté les brèches du lancement.
Terminé à 120% (Campagne solo = 100% + DLC = 20%). Il faudra expliquer aux développeurs l'utilisation des pourcentages...

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5 juin 2017
Un des seuls jeux Megadrive auquel j'ai joué sur la console d'origine dans ma jeunesse et dont je possède la cartouche. Testé ici avec un émulateur sur PC. Toujours aussi bon : le choix du niveau, les musiques, la maniabilité précise même la difficulté est bien dosée, un peu plus relevée sur la fin mais rien d'insurmontable. Le gameplay n'est pas extraordinaire, ca reste un jeu de plateforme basique (avec des énigmes à base de ventouses tout de même) mais l'emballage "Indiana Jones" est vraiment soigné.

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5 juin 2017
Terminé dans la foulée de Quackshot. C'est le second jeu Megadrive que je possède en cartouche. Je l'ai terminé sur émulateur en version 60Hz et, comment dire ... je suis déception.
A voir les critique élogieuses, beaucoup le considère comme le meilleur Sonic mais je n'ai pas été touché par la grâce.
Le côté technique est vraiment très bon : musiques variées, décors détaillés, animation rapide, tout est bien travaillé. La difficulté est également bien dosée, avec une montée en puissance sur la fin. Les niveaux bonus en pseudo-3D sont également assez impressionnants, à rendre jaloux un possesseur de Super Nintendo.
Mais le reste... Certes les décors sont variés et apportent tous leur petite touche d'originalité mais le level design m'a paru brouillon. Il y a probablement des passages secrets un peu partout mais le fait de traverser certaines portions à toute berzingue empêche de s'y retrouver facilement et si d'aventure le joueur veut traverser le niveau tranquillement je trouve que la maniabilité manque de finesse. Ce qui m'a également gêné, c'est le champ de vision très limité. La caméra semble très proche du personnage, l'anticipation est difficile, à moins d'apprendre le niveau par cœur, notamment dans les phases rapides.
J'ai terminé le jeu au premier run malgré la grande quantité de niveaux (un bon point). Seuls les deux derniers niveaux m'ont donné du fil à retordre, mais la quantité phénoménale de "continue" permet de voir la fin assez rapidement.

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10 juin 2017
J'ai fini par céder pour avoir ma dose de jeu Star Wars. Le début est vraiment une purge. La technique ne suit pas (problème de son, chargement même dans le menu), le scénario est inexistant (partir à la chasse aux jedis pour Vador), les combats de boss sont longs et fastidieux, le gameplay reste simpliste ("Suis le couloir en courant !") et le héros manque de puissance.
Tout ça s'arrange un peu par la suite mais heureusement que la campagne principale ne dure que 7 heures... 5/10.

11 juin 2017
J'ai finalement trouvé les DLC de cette "Ultimate Sith Edition" et, en terme de scénario (le gameplay reste identique) c'est peut-être ce qu'aurait dû être le jeu principal. J'ai notamment apprécié la (courte) partie dans la base écho sur Hoth qui comme le DLC Tatouine explore une version alternative de Star Wars.

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25 juin 2017
Cet épisode réussit la performance d'être plus court et moins intéressant en terme de scénario que son prédécesseur. Pour le reste, le gameplay reste le même à la différence que Starkiller, le héros, paraît plus puissant aussi bien avec son sabre qu'avec ses pouvoirs. Du coup les niveaux qui restent très linéaires sont beaucoup plus agréables à traverser.

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25 juillet 2017
Je continue sur la lancée des jeux Star Wars moyens. Hasard pour celui-ci puisque je l'ai trouvé en brocante à 2€.
Bilan après une dizaine d'heures de jeu : ça se laisse jouer. Un FPS bas du front, vendu comme un jeu d'escouade qu'il n'est pas. En effet le joueur se contente de désigner des points prédéfinis à ses trois coéquipiers.
Mais alors pourquoi 6 sur 10, RustineMan ? Parce que c'est Star Wars, bordel ! En plus il complète bien la série Clone Wars que je suis en train de regarder. Comme cette dernière, il "humanise" un peu les clones.

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27 juillet 2017
Levels 1 et 2 terminés sur Super Nintendo (50 Hz). Le shmup n'est vraiment pas mon type de jeu mais Star Wing se détache du lot grâce à sa représentation 3D sommaire mais dont je perçois l'exploit qu'il représentait dans les années 90 sur une 16 bits.

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15 août 2017
Considéré comme terminé, tous les tournois remportés. C'est justement LE problème du jeu : le manque de diversité dans les mode de jeux (pas de championnat, pas de carrière, pas de création de joueur). Le reste est vraiment bon et rempli très bien son rôle de jeu de sport-action. Les matchs sont dynamiques, "Easy to learn, hard to master", des cartes à collectionner. Le plus dur est fait... ne reste qu'à ajouter quelques modes de jeu (dans un futur patch ?).
Le multijoueur semble déjà déserté, impossible de trouver un adversaire en ligne (août 2017).

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17 septembre 2017
C'est loin d'être la daube présentée par certains. Le jeu a des défauts, encore plus marqués si on le compare à la première trilogie : moins épique, moins cohérent. Le héros est loin d'avoir le charisme de Shepard mais je m'y suis fait. Je n'ai pas trouvé le terrain de jeu trop petit. J'ai lu des critiques sur la faible taille du monde à explorer. J'ai passé 75 heures à parcourir Héléus en long, en large et en travers. Il y a énormément de choses à faire (beaucoup d'allers-retours, c'est vrai). Toutes les missions ne sont pas intéressantes mais c'est loin d'être monotone. Mon plus grand regret reste le peu de choix offert au joueur quant au traitement des phases critiques. J'ai eu l'impression que les choix moraux difficiles sont définis dans le scénario, le joueur n'a que très rarement son mot à dire. Les dialogues sont, dans la majorité des cas, assez insipides et donne l'impression d'être sans conséquence, à part peut-être l'image qu'on se fait de son héros. J'ai également trouvé que l'univers manque de cohérence, notamment lors de la rencontre avec les Angaras. Certaines phases vont trop vite comme la prise de contact avec cette nouvelle civilisation ou encore l'installation des avant-postes. Tout se met en place en quelques jours, loin de l'image que l'on se fait si de tels événements devaient arriver.
Mais dans l'ensemble j'ai passé un bon moment, peut-être grâce au dynamisme des combats.

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12 octobre 2017
Bon jeu d'aventure-gestion. Il est suffisamment scénarisé pour faire tenir le joueur une vingtaine d'heures. Le côté gestion est assez rudimentaire puisqu'on transporte des passagers, du courrier ou des marchandises d'une ville à une autre. Mais les différents événements, les locomotives de plus en plus puissantes font qu'on a toujours envie de voir la suite. Par contre la lassitude apparaît en fin de partie, une fois la meilleure locomotive débloquée et les missions principales épuisées. Tout ça c'est pour la campagne. Reste l'option "Jeu libre" que je n'ai pas testé.

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2 novembre 2017
Terminé après 75 heures de jeu. On retrouve l'univers un peu foutraque de Divinity dans cet épisode. Le système de combat au tour par tour est vraiment agréable notamment grâce à la gestion des "revêtements" de sol qui permettent des combinaisons sympathiques avec les pouvoirs magiques. Par contre, le scénario est très basique et la quête principale, linéaire au possible. J'ai pris plus de plaisir à explorer le monde de Rivellon et à chercher la solution à des énigmes bien retorses. J'ai eu en outre beaucoup de mal à réussir certains combats. Probablement un bon point pour les amateurs de RPG, un peu moins pour moi (je me rends enfin compte que le jeu de rôle d'heroic-fantasy n'est pas mon genre de prédilection).

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4 novembre 2017
Premier tour du monde bouclé en 75 jours. Une excellente surprise. Le jeu s'éloigne beaucoup de l'oeuvre de Jules Verne. Les seuls vestiges du livre sont Phileas Fogg et Passepartout. Pour le reste, l'aventure se déroule dans un monde steampunk (train flottant, dirigeable à vapeur...) et vous êtes libre de choisir votre circuit. Les héros de Jules Verne sont passés par l'Inde. Vous n'avez qu'à tenter un parcours par la Sibérie. Ils ont exploré le Far West, traversez donc la Cordillère des Andes. Une grande richesse qui se double de petites aventures à vivre selon vos escales (déjouer un complot, porter secours à un jeune homme...). Tout cela donne au final une aventure textuelle pleine de charme.
Une fois n'est pas coutume, l'enrobage graphique est minimal mais cela stimule énormément l'imagination du joueur. Par contre la maîtrise de l'anglais est nécessaire pour profiter du jeu.

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5 novembre 2017
J'ai terminé le jeu en vitesse, sur Super Nintendo Mini, en utilisant les fonctions replay et sauvegarde. Mais pourquoi gâcher son expérience diront les esthètes du jeu de plateforme ?
Parce que, même en 1994 au moment de la sortie, je trouvais le jeu laid. Une belle compression JPEG associée à une résolution limitée et vous obtenez les décors moribonds de DKC. On est loin des deux épisodes de Super Mario World. Pas de surprise au niveau du level design que j'ai trouvé assez quelconque. Tout n'est pas à jeter, notamment les musiques qui collent bien à l'action. Le jeu offre également un challenge intéressant avec certains passages assez ardus et globalement un rythme plus élevé que dans les jeux susnommés. Le volet exploration est également présent avec le fameux 103%. Défi que je n'ai pas osé entamer.
Une expérience en demi-teinte pour moi.

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4 décembre 2017
Terminé en 15 heures sur PC à 93%. Une très bonne surprise. Un épisode qui fait très bien le lien entre le troisième épisode, Black Flag et Unity. Juste la bonne durée de vie, ce qu'il faut de collectionnite. Un épisode qui parait plus modeste dans ses ambitions mais qui finalement remplit mieux sa mission que les épisodes plus longs. Le scénario reste basique mais fait office de lien entre les opus cités plus haut. La carte a juste la bonne taille. Les activités secondaires ne sont pas trop nombreuses (mais tout de même répétitives). Pour une fois, on dirige un templier qui travaille pour Haytham Kenway (personnage que j'avais beaucoup aimé dans Assassin's Creed 3). Du bon.

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25 décembre 2017
Offert par GoG.com. Le trip "adolescents sur une île déserte" m'a assez vite refroidi au début. Et puis la magie opère. L'ambiance X-Files, expérience militaire et exploration m'a happé. L'histoire est vraiment plaisante et offre une certaine rejouabilité puisque les relations au sein du groupe peuvent être modifiées. L'excellente musique du jeu rehausse également l'ambiance. Une très bonne surprise et un coup de cœur pour cette fin d'année 2017.

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28 décembre 2017
Encore un jeu offert (par le Humble Store) terminé en 2017. Ca se laisse jouer mais le jeu à plusieurs défauts. Les phases de gameplay sont peu nombreuses et se répètent souvent. La palme revient à la partie STR, fort laborieuse, comme souvent quand le héros est présent sur le champ de bataille. Ces phases sont heureusement plus dynamiques que dans Citizen Kabuto. Je suis également très hermétique au heavy metal et donc à la direction artistique du jeu. Je n'ai probablement pas perçu le grand nombre de références qui doivent être disséminées dans le jeu.
Heureusement, Eddie, le personnage principal, est, comme bien souvent chez Double Fine, très charismatique.

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31 décembre 2017
Commencé il y a quelques années, j'ai repris une ancienne sauvegarde en septembre 2017 et me suis fixé comme objectif de finir le jeu sans soluce. Trois mois plus tard j'ai cédé et je l'ai terminé en utilisant la solution à outrance. Le jeu est vraiment difficile avec un monde vaste et dont une grande partie des lieux est visitable dés le début, un peu comme dans Monkey Island 2. Cela complique forcément la résolution des énigmes.
Côté technique le jeu utilise le moteur de Rex Nebular. Les personnages ont été rotoscopés ce qui fluidifie énormément les animations. Les décors sont variés mais le monde de Dragonsphere est très générique (fée, château, princesse, sorcier...).
Le scénario se découpe en deux phases. Dans la première partie, le héros doit détruire le grand méchant sorcier. La quête parait dans un premier temps assez facile puisque les Powerstone devant servir à détruire le sorcier vous sont quasiment offertes dans les différents royaumes à visiter. Mais une fois le sorcier détruit, commence la deuxième phase, plus intéressante, où le héros doit déjouer le piège dans lequel il s'est jeté. Là ça se corse parce qu'il va falloir revisiter tous les lieux et ... mourir à plusieurs reprises. Mais cela n'a aucune conséquence puisque le jeu adopte sur ce point une posture entre les jeux Sierra à mort définitive et le jeux LucasArts sans mort. Vous recommencez tout simplement juste avant votre mort. C'est dans cette deuxième partie que j'ai utilisé la solution. Il y a des passages vraiment difficile avec une multitude d'objets portés par le héros dont on ne voit pas toujours à quoi ils peuvent servir (notamment les objets magiques).
Au final le jeu est difficile à noter. D'une part les graphismes VGA ont leur charme mais l'univers générique gâche l'immersion. Ensuite le scénario est finalement moins simpliste que ce qu'il laisse paraître au début mais la lenteur des déplacements du héros couplés à la difficulté des énigmes rend la progression laborieuse.