Jeux terminés en 2021

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2 janvier 2021
On commence l'année avec un jeu de plate-formes éducatif sur le thème de la typographie. Une très bonne surprise. Le niveau de difficulté n'est certes pas élevé mais on prend plaisir à parcourir les différents tableaux qui retracent les évolutions de la typographie. Chaque chapitre a son univers visuel propre et on apprend par petites touches les évolutions techniques et esthétiques de la typographie. Jeu terminé en 5 heures qui vaut le détour d'après moi (encore plus à 99 centimes lors des soldes Steam...).

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3 janvier 2021
Quelle découverte ! Dans "There is No Game : Wrong Dimension", on accompagne un programme de jeu abandonné, excellemment doublé par Pascal Camissotto (le développeur), qui se retrouve projetté dans d'autres jeux : aventure pointez-cliquez, Zelda-like, RPG free-to-play, générique de fin... Les codes du JV y sont maltraités et détournés. Ca ne se raconte pas, il faut le jouer. L'humour y est omniprésent, j'ai ri à plusieurs reprises, situation assez rare dans un jeu vidéo pour moi. Les références "geek" sont présentes mais pas à l'excès comme ça peut parfois être le cas.
Un excellent jeu, à tester d'urgence.

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11 janvier 2021
Un mélange étonnant de jeu de rôle et ... de solitaire, le jeu de cartes. Les mécaniques de gameplay s'intègrent très vite. Le jeu est prenant, on a toujours envie de faire un niveau de plus. A la manière d'un jeu de rôle, on équipe notre avatar avec un sort d'attaque, un sort de défense, on ajoute quelques objets et c'est parti pour réaliser le plus grand combo de cartes. Le scénario est basique au possible, les graphismes quelconques, les animations inexistantes mais j'ai passé un bon moment tout au long des 10 heures de jeu. On peut peut-être regretter la grande part laissée au hasard qui oblige à reprendre certains niveaux si on vise les "trois étoiles".

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20 janvier 2021
Un jeu qui a le bon goût de se terminer en une dizaine d'heures. Juste la bonne durée pour un gameplay basé sur des livraisons à faire dans la ville de Nivalis, ville qui coche toutes les cases du design Cyberpunk à la Blade Runner : pluie permanente, androïdes, néons, voitures volantes, désenchantement. Pour le reste, l'histoire m'a paru un peu confuse vers la fin mais elle se laisse suivre. Il y a des phases en voiture volante, assez agréables qui nous font traverser la ville, suivies par des phases à pied un peu moins engageantes. Je les ai faites à la première personne mais une vue à la troisième personne est disponible. Content d'avoir parcouru cette ville dans la voiture de l'agent K (il y en a d'autres dans le jeu).

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7 février 2021
J'ai immédiatemment été sous le charme des graphismes et de l'animation de Spiritfarer. Il s'agit d'accompagner des "esprits" dans leur dernier voyage. Ils auront des tâches à nous faire réaliser. Pour cela on va, en tant que nouveau Charon, devoir aménager notre bateau et fabriquer, jardiner, assembler, pêcher, cuisiner tout type d'objets. Le rythme du jeu est très posé, probablement trop lent pour certains. J'ai mis 40 heures pour accomplir l'ensemble des objectifs et sur la fin la collecte de matières premières peut être rébarbative. Dans l'ensemble, j'ai vraiment apprécié cette absence de pression, le propos du jeu et les bilans des différents esprits sur leur vie qui créent un moment de jeu vidéo atypique.

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13 février 2021
Une expérience oubliable. Je l'ai terminé car il était offert par Ubisoft et j'avais l'envie de découvrir le gameplay de cet Assassin's Creed en 2,5D. Les graphismes sont corrects mais assez ternes. J'ai d'ailleurs eu un souci avec les polices de caractères, "déformées" et aliasées en plein écran. J'ai dû jouer en mode fenêtré pour éviter ce désagrément. Le level design est assez simpliste mais les trois manières possibles d'aborder les niveaux sont les bienvenues (infiltration, assassin et combattant). Heureusement que le jeu se termine rapidement car le scéanrio est un piètre condensé de ce qu'on connait déjà dans les Assassin's Creed.
Si j'osais, je dirais que le seul point positif du jeu est de donner envie de rejouer à Mark of the Ninja...

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25 février 2021
Terminé après 90 heures de jeu. Un bon jeu d'exploration qui ne presse pas le joueur. On découvre petit à petit les ressources à exploiter, les objets à fabriquer, la manière d'explorer le système solaire. Le moteur de jeu permet de déformer le terrain et de creuser le sol des planètes. Mon envie de revenir au jeu a été forte tout au long de mon parcours. Je planifiais les choses à faire entre mes sessions de jeu, notamment pour des missions de sauvetage lorsque mon astronaute mourrait dans un endroit difficile d'accès (ou que des bugs venaient effacer quelques ressources durement récoltées..).
Les principaux reproches que je ferais au jeu tiennent d'abord à son interface, peu pratique quand on commence à avoir un catalogue d'objets touffu et ensuite au peu d'éléments de quêtes présents dans le jeu. La quête principale reste assez obscure (surtout si on ne creuse pas suffisamment profondément) et les quêtes secondaires sont assez anecdotiques et, encore une fois, peu "visibles".

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27 février 2021
Un bon jeu d'exploration à la Metroid. Je n'ai pas fait l'original mais ce remake sent l'amour à plein nez. Tout d'abord, il y a les graphismes qui sont tout simplement magnifiques. Le gameplay est conforme à la version de base puisque le programmeur a repris le code originel. La maniabilité est assez déroutante au début puisque le personnage est très rigide dans ses sauts mais on s'y fait assez vite. Globalement, tout dans le gameplay respire les années 80 : une difficulté en dent de scie, aucune indication sur la direction à prendre ce qui entraine beaucoup de déplacements "pour rien" et bien sûr une bonne dose de "meurs et recommence". Malgré cela on passe un bon moment. La faible durée de vie, les capacités variées du héros et l'agencement très clair des différentes zones aident beaucoup.

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4 mars 2021
Le dernier épisode paru dans les années 90. C'est une reprise du scénario du premier opus, Mean Streets. On retrouve tout ce qui fait le charme de la série : la galerie de personnages avec Tex Murphy en tête d'affiche (et Michaël York...), les scènes filmées plutôt agréables à voir, le côté SF désuète matinée de film noir qui me plait toujours autant en 2021. Mais on retrouve également les défauts des deux épisodes précédents : l'interface qui rend les déplacements à la première personne et les phases de fouille des lieux de plus en plus pénibles, des énigmes difficiles à résoudre si la fouille des lieux n'est pas complète, les morts multiples. L'histoire s'insère bien dans le canon puisqu'elle est racontée à posteriori par Tex Murphy. La fin est d'ailleurs assez intriguante. Difficile à noter car le jeu est fidèle à la série mais les défauts et notamment l'interface n'ont pas changés depuis Under A Killing Moon. Reste maintenant à faire Tesla Effect (2014), le dernier épisode en date.

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7 mars 2021
Très content de retrouver l'univers d'Ori. Globalement on retrouve tous les points positifs du premier opus. Ce qui m'a plus gêné c'est la quantité d'élements ajoutés (quêtes annexes, fragments, augmentations) qui rendent le jeu moins lisible, inutilement compliqué à saisir, moins fluide que le premier. Ori 2 reste un bon jeu mais moins marquant que son prédéceseur pour moi.

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17 mars 2021
Dernier jeu de la série à l'heure actuelle, il peine à reprendre le flambeau des épisodes des années 90. Le scénario est un mélange de sujets que j'ai trouvé difficile à suivre. Il faut reconnaitre que mes attentes étaient grandes au vu de la fin d'Overseer, l'épisode précédent. Les graphismes sont décevants pour un jeu de 2014 (textures grossières, environnements vides), même les scènes filmées qui passaient relativement bien dans les opus précédents souffrent du passage à la HD. Chris Jones, en Tex Murphy, semble moins inspiré, moins dans son personnage. Le gameplay n'a pas évolué d'un pouce, on passe toujours son temps à chercher des objets dans des environnements 3D. L'interface reste peu pratique même si on peut enfin bouger son regard avec la souris.
Une fin trop mièvre pour la série cloture cet épisode décevant.

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2 avril 2021
C'est une adapatation peu fidèle du jeu de cartes. Des éléments importants de la règle originelle ont été retirés et c'est bien dommage pour les amateurs du jeu de plateau. On retrouve tout de même des composantes intéressantes comme la jauge de destin, la gestion des spécialisations des héros (avec une ressource unique...) et la construction de decks. Les très belles illustrations ont été reprises mais sur le plateau elles sont taillées en ovale... Un mauvais point.
La partie solo comporte, pour l'instant, trois campagnes à la difficulté progressive, des rencontres à la difficulté plus importantes et une aventure avec un deck préconstruit. On peut acheter des cartes avec la monnaie du jeu et des éléments cosmétiques sont débloquables.
J'ai passé un bon moment, notamment grâce à la narration qui accompagne chaque scénario et la construction de deck permet de tester des stratégies variées. Je regrette tout de même certaines simplifications comme la suppression des trois types de ressources et la dispartion de certaines phases du tour de jeu.

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18 avril 2021
Après une dizaine d'heures passées sur la démo (sans la finir), j'ai fini par acquérir Dragon Quest Builders 2, un jeu de construction à la Minecraft présenté sous les traits d'un JRPG. La quête principale, longue de 60 heures, fait office de méga-didacticiel. Très bavarde et directive (on enchaine les mini-quêtes), cette partie peut lasser, d'autant qu'elle doit être terminée pour débloquer le jeu libre. Le scénario semble en lien avec Dragon Quest 2 mais ne l'ayant pas fait je n'en suis pas certain.
Les combats sont simplistes, les PNJ font souvent la plus grosse partie du travail. Idem pour la construction des gros édifices dont les plans sont prédéfinis.
Le jeu est difficile à noter. Le côté JRPG a failli, à plusieurs reprises, me faire abandonner. Il a au moins le mérite de présenter les PNJ. La partie construction est la plus intéressante : blocs multiples, plans existants et à créer, exploration du monde. C'est clairement le côté qui m'intéresse le plus d'autant que le mode libre est maintenant débloqué.

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19 avril 2021
Une bonne suprise que ce premier jeu fini sur Switch. Le but pour Luigi est d'explorer un hôtel hanté afin de retrouver les boutons de l'ascenseur qui lui permettront d'atteindre le boss final, Boo. Chaque étage a son thème, il y a des puzzles à résoudre dont certains sont basés sur la physique, vraiment intéressant. Il y a également des objets cachés mais il me semble qu'ils n'apportent rien au jeu, à part le plaisir de la découverte. A essayer si on possède une Switch.

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24 avril 2021
Un excellent remake pour un excellent jeu. J'y ai retrouvé les sensations de la version originelle. C'est un Zelda à part même si on retrouve la structure classique avec donjons et recherche d'objets mais l'île de Cocolint à son atmosphère propre avec ses personnages, ses quêtes, ses dialogues ... parfois étonnants. J'ai tenté le mode héroïque qui ne distribue aucun coeur (sauf par le marchand et les fées). Pour moi, cela rend le jeu plus lourd avec des redémarrages au début de donjon plus fréquents. Peu d'intérêt. Idem pour la nouvelle mécanique de "création" de donjon que je n'ai pas terminée. Cela tient plus du puzzle que de la véritable création de donjon.
Au final, un très bon moment avec une dose juste de nostalgie.

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14 mai 2021
La tentative de 2021 aura été la bonne grâce à l'utilisation de JoytoKey qui m'a permis d'utiliser un gamepad.
Cet action-RPG se situe dans l'univers de Donjons & Dragons mais à Al-Qadim, déclinaison des 1001 nuits de la franchise de TSR. Il s'agit d'ailleurs du dernier jeu SSI estampillé D&D. Au premier abord le jeu fait penser à Zelda, surtout de par sa représentation en vue de dessus mais il est finalement plus proche d'un Secret of Mana : montée de niveau automatique, feuille de personnage simplifiée, personnage pré-construit.
J'avais repéré le jeu en 1994 après le test de Joystick. Il faut dire que les graphismes très colorés et l'univers moyen-oriental dépaysant étaient attirants et conservent leur charme aujourd'hui.
Le verdict en 2021 ? Toujours difficile à noter mais j'ai passé un bon moment, tout du moins une fois le niveau de difficulté adapté à mes capacités (c'est-à-dire placé sur "faible". On ne juge pas s'il vous plait !). Le scénario est très linéaire mais plaisant. On alterne de manière bien rythmée combats, puzzles et phases narratives. Les combats ne sont pas mémorables mais l'utilisation d'un gamepad m'a bien aidé (l'utilisation de la souris, à la Ultima VII, est assez particulière). Les graphismes sont soignés et flattent toujours la rétine. Idem pour la musique, bien adaptée à l'ambiance.
Un bon jeu, terminé en une quinzaine d'heures, dépaysant et immersif comme il faut.

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19 mai 2021
J'avais beaucoup apprécié en son temps les deux jeux d'aventure tirés de la série Star Trek originelle (25th Anniversary et Judgment Rites). Cet épisode, développé par un autre studio, faisait un peu office de suite pour moi puisqu'il utilise les protagonistes de la série The Next Generation.
C'est donc, lors des phases d'exploration des planètes, un jeu d'aventure pointer-cliquer assez classique avec inventaire, puzzles et dialogues. S'ajoutent à cela des phases de combat dans l'espace. Je les ai trouvées très ennuyeuses et je suis passé en mode automatique qui laisse l'IA gérer l'Enterprise. Peut-être que les fans de la série s'y retrouveraient plus puisque l'interface reprend les codes graphiques et le lexique propre à la série.
Techniquement le jeu est lent. J'ai la boîte d'origine mais j'ai utilisé la version prête-à-l'emploi du site Abandonware-France. Est-ce dû à un problème de configuration de Dosbox ? Je ne pense pas car les arrières-plans de la partie pointez-cliquez sont animés et devaient beaucoup solliciter les PC de l'époque. Idem pour les déplacements des personnages (pro-tip : maintenez la touche Shift enfoncée pour les accélérer). J'ai trouvé les graphismes en SVGA moins agréables à la vue, plus fouillis, que les versions VGA des deux épisodes précédents.
Le côté le plus agréable du jeu est le scénario. Je me suis laissé facilement porter par la quête principale et les choix proposés par le jeu. On retrouve tous les codes de la série. C'est peut-être aussi une de ses faiblesses puisque certaines quêtes sont très rébarbatives comme quand on vous demande de prélever 11 échantillons dans trois environnements différents puis de les placer tous, un par un, dans un "analyseur".
Dernier point surprenant en 2021 : la consultation du manuel est nécessaire pour qui veut "piloter" l'Enterprise lors des combats. C'était une autre époque.

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21 mai 2021
Terminé dans sa version remasterisée de 2021 gratuite sur Steam. Pas grand chose à dire. Les prémices des jeux d'aventure Amanita Design : simple (pas d'inventaire, pas de dialogue, pas d'interface visible), poétique, à la patte graphique typée ... mais très court puisque terminé (deux fois) en 20 minutes.

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30 mai 2021
Voilà un jeu que j'ai attendu longtemps. J'avais apprécié le premier malgré les problèmes d'interface, de vitesse du jeu et de lourdeur dans le gameplay. Aménager sa base secrète : un rêve ! Ce remake n'apporte pas grand chose aux mécaniques de base du jeu. Par contre, il a réussi à gommer un certain nombre de défauts de la version originelle : formation des sbires plus rapide, interface d'aménagement plus souple. Les opérations mondiales, gérées depuis la carte du monde, restent rébarbatives à gérer et le scénario abuse de ces missions mais le plaisir de jeu est bien présent. Les 44 heures de ma partie en compagnie de Maximilian resteront quelques temps encore dans ma mémoire.

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20 juin 2021
60 heures de jeu pour une aventure que j'ai commencée durant l'été 2020. Les premiers pas dans l'univers de Bard's Tale ont été très encourageants : de l'exploration, des secrets, des puzzles à la difficulté bien dosée, des combats dynamiques et tactiques, des compétences de héros originales, un peu d'humour.
Mais... Les murs invisibles viennent gâcher la fête et rendent le parcours assez linéaire. Ensuite, le scénario est convenu : on passe son temps à courir après le grand méchant et on rencontre ses lieutenants tout au long du chemin. Ce qui fait qu'une certaine lassitude s'installe malgré les changements de décors. Le dernier quart du jeu m'a d'ailleurs demandé pas mal d'abnégation pour réussir à le relancer et pouvoir ainsi avancer dans la quête principale. On passe son temps à combattre, le butin ne sert plus à rien et aucun rebondissement ne vient nous réveiller. Un petit mot aussi sur la gestion de l'inventaire, bien bordélique, sans option de rangement automatique. Dommage, l'excellent début du jeu est gâché par la monotonie qui finit par s'installer.

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27 juin 2021
Premier jeu récupéré en 2021 sur l'EGS. Un bon jeu d'action, simple à prendre en main et la projection d'objets sur les ennemis est assez jouissive. L'ambiance est également singulière, moins "dense" que Max Payne mais étouffante comme il faut au début de l'aventure. On ne sait pas trop ce qu'on fait là. Le mélange X-Files et Twin Peaks fait son effet même s'il s'estompe à force d'avancer dans le scénario.

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7 juillet 2021
Un excellent pointer-cliquer. Le jeu est séparé en 9 enquêtes, assez courtes puisque le tout se termine en 7 heures. Le jeu est également assez simple, aucune énigme ne résiste bien longtemps. Mais alors qu'est-ce qui fait tout le charme de ce jeu ? Les personnages principaux tout simplement ! Un détective à la Fox Mulder accompagné de son acolyte simple d'esprit. On ajoute un univers un peu barré mais pas trop, du surnaturel, du pixel art un peu grossier, des références à X-Files. Un coup de coeur.

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9 juillet 2021
Après The Darkside Detective (TDD), je reste dans le jeu d'aventure. Ce n'est pas du pointer-cliquer puisque ça se joue au pad et qu'il y a quelques phases de tir mais le principe "dialogues + énigmes" est le même.
A la manière de TDD, les deux personnages principaux sont très attachants et en plus on combat des nazis, tout ça dans un esprit très Indiana Jones. Le jeu est presque parfait, je n'ai que regretté la prédomominance des blagues scatologiques et sexuelles, parfois un peu faciles.

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15 juillet 2021
Voilà quatre ans que je joue à Terrangima uniquement en juillet et seulement quelques jours. Il m'aura fallu une trentaine d'heures pour arriver au bout. A nouveau, je me retrouve confronter au dilemme du retrogaming parce que je pense que j'aurais dû découvrir cet action-RPG à son époque de sortie. Un dilemme parce que d'un côté les graphismes sont corrects pour de la SNES et le gameplay est efficace, à tel point que j'ai songé à un utopique Secret of Mana qui reprendrait ce système de combat, dynamique et souple. Mais d'un autre côté, le scénario m'a perdu à plusieurs reprises (mes sessions de jeu éloignées les unes des autres n'aidaient probablement pas à clarifier la situation) et la multitude de lieux et de personnages secondaires rencontrée fait que j'ai multiplié les déambulations à travers le monde, sans toujours savoir où aller. Les quêtes secondaires de Terranigma sont une vraie richesse pour qui aime explorer. Mais on se heurte aussi à de "faux choix". Je m'explique : dans Terranigma on suit l'évolution de la Terre, de la préhistoire à l'histoire moderne. Dans la ville d'Anjou, on doit influencer l'élection du futur maire : choisir un "progressiste" qui ne jure que par le développement économique de la ville ou un "conservateur" qui favorise plutôt un développement en harmonie avec la nature. Sachant à quoi ce "progrès" nous a mené, je choisis le "conservateur" (ce mot...). Mais en fait, la seule conséquence de mon choix est que tout un pan du jeu ne m'est plus accessible : faire évoluer les grandes villes terriennes. C'est frustrant même si on comprend plus tard que la voix "progressiste" sert le propos du jeu en emmenant l'humanité vers la dépendance technologique, une pandémie et vers sa fin. Au final mon choix n'a eu aucun impact sur le déroulement du jeu sauf m'empêcher de finir des quêtes secondaires.
Comme je l'ai déjà dit pour d'autres jeux "anciens", mes habitudes de jeu d'aujourd'hui font que je ne suis plus habitué aux frustrations qui étaient partie intégrante des jeux des années 80-90. Le gros point rouge qui clignote sur la mini-map ou l'absence de choix bloquants rendent la traversée d'un jeu comme Terranigma frustrante. Je suis sûr que parcourir ce jeu au temps de Secret of Mana aurait été une expérience marquante de mon expérience de jeune joueur. Aujourd'hui, je suis juste content d'avoir terminé un action-RPG qui compte dans l'histoire de la SNES...

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17 juillet 2021
Terminé sur la console d'origine, dans la foulée de Terranigma. Je parcours donc la série en sens inverse.
C'est ce qui m'a permis de remarquer qu'Illusion of Time est vraiment un proto-Terranigma. On y retrouve les mêmes thèmes : l'écologie, l'interrogation sur l'évolution des sociétés humaines modernes, l'héritage familiale et civilisationnel. Idem pour le gameplay même si la prise en main est plus rigide et les combats moins dynamiques que dans Terranigma.
Globalement le jeu est moins riche que son successeur dans tous les domaines : donjons labyrinthiques sans réelles énigmes, pas de déplacements libres sur la carte, un scénario très linéaire et apparemment plus niais, pas de magie (qui ne sert d'ailleurs à rien dans Terranigma), pas de quêtes secondaires (à part les rubis de feu). Pourtant, j'ai le sentiment d'avoir pris plus de plaisir sur cet épisode que sur l'épisode suivant.
Le personnage fait partie d'une bande de jeunes qui voyagent à travers le monde pour retrouver six statues. Certes le joueur n'a pas la possibilité d'influer sur le déroulement de ce parcours mais l'atmosphère générale du jeu est plus légère, moins "sérieuse", que dans Terranigma. L'aventure étant moitié moins longue dans cet opus, on va à l'essentiel, sans quêtes annexes. Graphiquement, c'est plus lumineux grâce à une palette de couleurs variées, Terranigma étant d'ailleurs plus terne, voire triste, de ce côté-là. J'ai aussi apprécié de ne pas être confronté à des errances sur la carte du monde comme c'était le cas dans Terranigma où je me suis perdu dans les méandres du scénario et des quêtes secondaires. En ce qui concerne le ton du jeu, je ne le trouve pas plus niais que cela (la séquence de fin en est le témoin) surtout que, à posteriori, je trouve que Terranigma se prend peut-être un peu trop au sérieux. La VF est également mieux finie, il faut dire qu'elle est assez mauvaise dans Terranigma. Mention spéciale à l'utilisation du passé simple dans les parties narratives ! (Lire "Vous vous rencontrâtes..." dans un jeu vidéo, ça n'a pas de prix...)
Reste à noter le jeu et là, ça se complique. Terranigma, que je ne veux pas dénigrer car, encore une fois, c'est un jeu vraiment plus riche de possibilités qu'Illusion of Time, a obtenu 7/10. 8/10 pour Illusion of Time alors ? Ca me parait trop car il ne restera pas dans mon cœur. J'opte finalement pour le 7 + Coup de cœur en raison de sa simplicité rafraichissante.

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23 juillet 2021
L'opus 2 de la série, terminé en 9 heures. Les enquêtes sont plus longues que dans l'épisode précédent, il n'y en a que 6 pour l'instant mais la septième est déjà annoncée. La difficulté est un peu plus relevée du fait de la structure en tiroir de chaque enquête (on résout un problème qui entraine une autre situation qu'il faut à nouveau résoudre, etc.). Rien d'insurmontable et on retrouve avec plaisir l'inspecteur McQueen et son acolyte Dooley.

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25 juillet 2021
Ai-je fini ce jeu ? En solo, il y a un mode histoire, vraiment pénible à terminer. On alterne dialogues pour faire avancer la pseudo-histoire et épreuve sportive. Une sorte de long didacticiel ennuyeux de 6-7 heures.
Il n'y avait pas de mode tournoi dans Rio 2016, j'ai espéré qu'il soit implanté pour cet épisode. Aucune trace de ce mode qui me parait pourtant essentiel, au moins pour le multijoueurs... Il faut que j'arrête d'acheter chaque nouvel épisode en espérant retrouver ce qui me plaisait dans les jeux de JO durant mon enfance. Jeu terminé, au placard.

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2 août 2021
Un jeu de rythme original avec une bonne appropriatoion des codes de la série The Legend of Zelda.
J'ai lu des critiques à propos de sa courte durée de vie. J'y ai tout de même passė 20 heures.

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27 août 2021
45 heures pour terminer cette version HD de Wind Waker. Les premières heures ont été assez décourageantes notamment à cause de la faible vitesse de déplacement du bateau et de l'obligation de changer le sens du vent assez fréquemment. L'achat de la super voile permet de remédier à cela et c'est à partir de ce moment là que j'ai apprécié le jeu : il devient plaisant de chercher les trésors et de résoudre les mini-énigmes de certaines îles. Par contre, les donjons n'ont rien d'extraordinaire. J'ai d'ailleurs trouvé la caméra trop proche du personnage pour avoir une bonne vue d'ensemble des salles. Les graphismes en cel-shading sont très agréables à l'oeil. Encore un bon jeu pour la Wii U et pas encore porté sur la Switch !

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2 novembre 2021
Hypnotique. J'adore les nonagrammes et Pictopix en propose une bonne quantité, sans compter ceux disponibles dans le Workshop, ce qui fait de ce jeu le Picross ultime. Plusieurs niveaux de difficulté permettent d'aborder les puzzles à sa manière. J'y ai passé 90 heures en deux mois, ça devenait obsessionnel, il fallait que j'ai ma dose quotidienne. 90 heures de jeu en deux mois...