Jeux vidéo et médecine (ECN)

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Item 61 : Trouble schizophrénique de l'adolescent et de l'adulte.

Le personnage principal, Alex Mason, est clairement psychotique et est en proie à de nombreuses hallucinations accoustico-verbale, un automatisme mental, une désorganisation de la pensée tout au long de l'histoire, le tout sur fond de paranoïa et de théorie de complot.

La série Call Of Duty a la réputation d'être une série de jeux de guerre s'adressant à des adolescents débiles, mais ce titre est fascinant si on s'intéresse à la psychiatrie, notamment pour sa description des troubles délirants de façon subtil et crédible.

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N° 141. Deuil normal et pathologique

Le personnage principal a perdu sa fille. Ca a évidemment un impact important dans l'histoire.

N° 154. Septicémie/Bactériémie/Fongémie de l'adulte et de l'enfant

Les zombies sont infectés par des champignons = fongémie
A un moment de l'histoire, un des personnages se choppe un bon sepsis = bactériémie. Et on part en quête d'antibiotiques.

Chef d'oeuvre absolu du jeu vidéo.

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N° 73. Addiction au tabac.

Snake est tellement addict au tabac qu'il a caché un paquet de cigarette dans son estomac pour pouvoir plus tard s'en griller quelques unes pendant la mission.

N° 75. Addiction aux médicaments psychotropes (benzodiazépines et apparentés) (voir item 319)

Snake traverse toute une base militaire pour se dégotter quelques pilules de Diazépam, parce qu'il a besoin de ça pour ne pas trop trembler quand il vise au fusil sniper.

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N° 168. Parasitoses digestives : giardiose, amoebose, téniasis, ascaridiose, oxyurose

Le thème des parasites prend une place importante dans l'histoire.
A un moment donné, un soldat fait une référence à un parasite bien particulier -non traité au programme de l'ECN- que seuls quelques passionnés de biologie peuvent saisir, avant que ce soit explicité plus tard dans l'histoire.

N° 141. Deuil normal et pathologique
Il est clairement question de deuil.

N° 131. Bases neurophysiologiques, mécanismes physiopathologiques d'une douleur aiguë et d'une douleur chronique

C'est le titre du jeu.

N° 66. Troubles du comportement de l'adolescent

Joue une grande part dans l'histoire. (Ou aurait dû)

N° 86. Trouble aigu de la parole. Dysphonie
N° 146. Angines de l'adulte et de l'enfant et rhinopharyngites de l'enfant

Je ne voudrais pas dévoiler l'intrigue...

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N° 329. Prise en charge immédiate pré-hospitalière et à l'arrivée à l'hôpital, évaluation des complications chez : un brûlé, un polytraumatisé, un traumatisé abdominal, un traumatisé des membres, un traumatisé du rachis, un traumatisé thoracique, un traumatisé oculaire, un patient ayant une plaie des parties molles.

On passe toute l'aventure à se soigner de toutes sortes de traumatismes subit avec les moyens du bord.
C'est assez bien foutu : On a un descriptif des troubles, une image du squelette en 3D, il faut choisir le traitement adapté pour récupérer de la santé. Parfois, on a une petite vidéo qui nous montre Snake en train de se soigner.

Par ailleurs, on est en contact radio permanent avec un médecin qui nous donne des informations sur toutes sortes de sujets et qui parle parfois de cinéma.

N° 158. Infections sexuellement transmissibles (IST) : gonococcies, chlamydioses, syphilis, papillomavirus humain (HPV), trichomonose :
Les -nombreux- antécédents médicaux de Eva mentionnent une rectite, sans plus de précisions.
(Merci à Nagendra pour le tuyau !)

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N° 74. Addiction à l'alcool.
N° 76. Addiction au cannabis, à la cocaïne, aux amphétamines, aux opiacés, aux drogues de synthèse

Max passe toute l'histoire à s'enquiller des bouteilles de whisky jusqu'à finir ivre-mort et à se shooter d'antalgiques (probablement des dérivés d'opiacés).
Les effets secondaires de ses addictions sont traduits par des effets visuels assez particuliers.

N° 141. Deuil normal et pathologique

C'est le thème de la série (Sa femme et sa fille ont été massacrées par des toxicos).

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N° 168. Parasitoses digestives : giardiose, amoebose, téniasis, ascaridiose, oxyurose

Les ennemis sont infectées par des parasites fictifs assez agressifs.
Au cours de l'aventure, on trouve des notes écrites par un chercheur qui font références à de vrais parasites, notamment la petite douve du foie qui est évoqué furtivement dans nos cours.

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N° 76. Addiction au cannabis, à la cocaïne, aux amphétamines, aux opiacés, aux drogues de synthèse

Gay Tony a un petit problème de cocaïne.

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N° 64. Diagnostiquer : un trouble dépressif, un trouble anxieux généralisé, un trouble panique, un trouble phobique, un trouble obsessionnel compulsif, un état de stress post-traumatique, un trouble de l'adaptation (de l'enfant à la personne âgée), un trouble de la personnalité.

Emma Emmerich a la phobie de l'eau et il faut l'extraire d'un bâtiment inondé.

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N° 251. Obésité de l'enfant et de l'adulte

Carl Johnson peut manger plein de burgers et devenir obèse ! On peut faire du sport pour perdre du gras.

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N° 61. Trouble schizophrénique de l'adolescent et de l'adulte

Alex Mason semble moins souffrir de troubles schizophréniques que dans l'épisode précédent mais il y a clairement un enkystement du délire.

N° 141. Deuil normal et pathologique

Deuil très pathologique chez le méchant de l'histoire.

Les troubles psychiatriques sont tout à fait anecdotiques par rapport au précédent Black Ops, mais c'est cependant un très très bon Call Of Duty (Probablement le meilleur de la série).

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N° 108. Troubles du sommeil de l'enfant et de l'adulte

Puzzle-game avec un personnage insomniaque. L'histoire semble couvrir d'autres aspects de la psychiatrie mais je n'ai pas assez exploré le jeu pour pouvoir en dire plus.

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N° 108. Troubles du sommeil de l'enfant et de l'adulte

Puzzle-game ayant lieu dans les cauchemars du personnage principal.

Je n'ai fait que la démo.

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N° 166. Paludisme

Le personnage principal a chopé le paludisme et doit apparement soigner ses accès palustres en pleine partie. Ayant sauté cet épisode, je ne saurai en dire plus.

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N° 62. Trouble bipolaire de l'adolescent et de l'adulte

Selon moi, c'est une histoire de délire maniaque. Jason Brody et ses potes de la jeunesse dorée se font capturer par des pirates modernes sur une île paradisiaque, et après avoir consommé de la drogue chez les autochtones, il se met en tête de massacrer des centaines de pirates et de mercenaires pour libérer les populations locales. Quelques séquences de jeux se déroulent dans les délires mystiques du héros. La libido est exacerbée et le héros semble s'extasier des scènes d'ultra-violence auquel il prend part, ce qui suscite l'incompréhension de ses amis qui ont gardé les pieds sur terre. Le héros est clairement dans un épisode maniaque.

C'est un très bon FPS qui reprend les mécaniques de jeu addictives de la série Assassin's Creed. Le scénario est de prime-abord profondément stupide et cliché, et c'est ce que semblait revendiquer le scénariste qui a plus tard révélé que l'histoire était ironique et sensé susciter une réflexion sur l'absurdité des jeux vidéo. Je dois avouer ne pas avoir capté l'ironie du scénario lorsque j'ai fini le jeu, mais l'aspect stupide, absurde et démesuré de l'aventure colle bien avec ce qu'on peut observer parfois dans les troubles maniaques.

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N° 11. Soins psychiatriques sans consentement

L'aventure se déroule entièrement dans un hôpital psychiatrique. Il s'agit d'hospitaliser le Joker sans son consentement.

Jeu d'action-exploration-infiltration très inventif qui fait honneur à l'univers Batman. Un jeu quasiment parfait.

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N° 55. Maltraitance et enfants en danger. Protection maternelle et infantile

Il faut sauver et protéger les petites soeurs.
On peut aussi choisir de les chasser et de les massacrer, on a le choix au final. Mais c'est mieux de les protéger.

Chef d'oeuvre du FPS. La direction artistique est remarquable, le gameplay est addictif.

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N° 125. Arthrose
N° 126. La personne âgée malade : particularités sémiologiques, psychologiques et thérapeutiques

Solid Snake a les télomères un peu courtes et a subit un vieillissement accéléré depuis MGS2. Il est perclus de rhumatismes et c'est pas la grande forme.

Le jeu en lui même est très bien, mais le scénario et la mise en scène sont d'une stupidité abyssale. Les scènes cinématique sont trop longues et les dialogues s'éternisent. Les gags sont envahissants. J'ai eu l'impression de jouer à une fanfiction indigeste.

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N° 234. Troubles de la conduction intracardiaque
Black Mask a un syndrome du QT long (congenital?) et porte un pace-maker.

Cet épisode est essentiellement un recyclage du contenu de Batman Arkham City avec une histoire totalement originale, par un autre studio. Les bases étant très solides, c'est un jeu qui reste excellent mais sans l'effet de surprise des épisodes précédents.