Jeux vidéo : Top X-2

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Est-il bien nécessaire de faire son éloge ? Bon, puisqu'il le faut, allons-y Alonso : Suiko2 c'est un système de combos qui tue la gueule, avec ses 115 personnages tous plus attachants les uns que les autres. C'est de la joute en 3D isométrique bien classos et de la Customisation de QG. C'est une bande son inoubliable de Miki Higashino. Et par dessus tout, c'est un scénario de barge mental.

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Mandale d'un autre genre. Retro Studio, malgré une gestation plus que douloureuse, accouche d'une transposition miraculeuse de Metroid dans un univers 3D. En vue subjective, qui plus est. On redécouvre les mécaniques éprouvées de la fameuse saga, sous un jour totalement nouveau. Sérieusement, le level design est ahurissant de perfection. La direction artistique casse du Ripley en 4, et la musique est enchanteresse. Epic Win.

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Je vote pour les deux en même temps. J'ai retrouvé cette sensation de foisonnement dans aucun Red Skyrim Redemption. Approbation du balai anal conférant à Ryo Hazuki une allure des plus martiales - en accord avec son tempérament de bon samaritain probe sur lui -, et lui assurant une prise en main délicieusement oldschool. Je me délecte du cadre 80's, de la mise en abyme perpétuelle, et de cette histoire de vengeance surannée qui frappe aux portes du TV soap nippon. Comble de l'ironie : les QTE's sont un bonheur.

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Mikami s'est donné les moyens de ses ambitions, en congédiant toute logique scénaristique. Les mécanismes du commissariat de Racoon City vous semblaient atrocement fantaisistes ? C'est franchement le degré zéro de la loufoquerie en comparaison de RE4, avec son château hispanique rempli de magma en fusion et ses moines zombards. Le survival outragé, le survival martyrisé, mais le survival libéré.

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Un beau matin au réveil, un gang de développeurs Suédois s'est dit qu'ils allaient réinventer le platformer. Et comme ça leur semblait encore un peu léger, ils ont décidé de l'affubler d'un style racé et d'un background orwellien. Quelques années plus tard, DiCE distribue les pains et me laisse KO dans mon fauteuil design. Une expérience tellement pure, diverse et fignolée que je m'y collerais huit fois d'affilée avant de ronger l'excellent Time Attack.

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Le bien nommé.

Multitude de tonalités graphiques pour cet ensemble nocturne auquel Michiru Yamane prête son ensorcelante baguette. A la fois Lugubre et chamarré, galerie de somptueux pixels en putréfaction et autres sprites délétères, cet opus scelle dans la partition des Castlevania une toute nouvelle approche de gameplay. Alucard en sera l'étincelant protagoniste, alignant les kilomètres dans ce dédale aux mille et un pièges mortels (et autant de secrets). Instant classic.

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Aaah, Psygnosis... toute une époque. Sans doute leur plus grand jeu. Une aternative de choix à F-Zero. La partie visuelle, tout d'abord, hérite d'une griffe futuriste peu commune. Ensuite, la gestion des items requiert autant de skill que la conduite elle même. Et puis le tuner radio affiche des grands noms de la scène dite "électro" (combien d'heures passées à dézinguer ses adversaires en sirotant du Firestarter...). Mais ce qui fait de 2097 un épisode exceptionnel, c'est avant tout la folie pure de ses dénivelés.

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Alors cette alternance entre combats classiques et combats en mécha, j'ai jamais été fan. Non j'déconne, c'est génial. Comme tout le reste du jeu, faut bien le dire. Mais c'est dans le scénario que réside le génie véritable de Xenogears. Et le mot n'est pas trop fort. Complexe, porté par une écriture admirable de fluidité, et rythmé à merveille tout au long d'une aventure riche en évènements, lieux et personnages. Sans oublier le score flamboyant de messire Mitsuda.

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Que dire ? J'y ai passé des dizaines d'heures en solo. Le concept est on ne peut plus simple, la forme est adorablement minimaliste, une seule musique sans prise de tête malgré le remue-méninges continu. Addictif au possible.

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Découvert la série avec cette mouture GBA, premier épisode sorti en Europe. La gifle, direct. Graphiquement ça va à l'essentiel, c'est lisible et c'est ce qui importe. Quoique, le chara design est cool, et c'est pas négligable vue la prépondérance du scénario. Un scénario de très bonne facture, d'ailleurs. Nombre de protagonistes sont charismatiques, certains d'entre eux mourront entre vos mains sans que vous ne puissiez les ressusciter. Après sept épisodes, l'inventeur du S-RPG reste son plus bel ambassadeur.