Joué en 2015

Annotation :

Commencé sans aller très loin. Je suis une quiche en jeu de plateformes et l'aspect personnalisation qui m'aurait sans doute bien occupée fut un temps m'intéresse nettement moins, je ne suis plus prête à investir autant de temps pour ce type de manipulations.

Annotation :

Joué uniquement en multijoueurs, c'était assez fun même si nous n'avons pas été beaucoup plus loin que le premier monde. A reprendre à l'occasion (en ayant travaillé mes compétences en plateforme au préalable !)

Annotation :

Arrêté au bout de 5 minutes. C'est trop bourrin pour moi, il ne me sera donc pas donné de découvrir Rapture. (Et les chrosomes sont quand même sacrément dégueulasses).

Annotation :

Prenez :

- Des QTE créées à l’encontre de toute logique (qui a eu l’idée d’attribuer des touches différentes selon les moments pour une seule et même action ?!)

- Des enchaînements d’actions pas toujours lisibles qui poussent à l’échec (ce n’est pas du tout frustrant de voir un personnage mourir comme une merde parce qu’on n’a pas compris ce que le jeu attendait de nous)

- Un scénario incohérent qui annihile toute immersion (nan mais c’est parce qu’il devait y avoir un aspect plus fantastique qui a été supprimé en cours de développement, je n’y comprends rien, ce n’est pas comme si un créateur prétentieux crachait à la face des joueurs qui trouvent à redire sur son œuvre ludique, qui oh tiens, repose entièrement sur son scénario)

- Le traitement vulgaire du seul personnage féminin qui doit donc être une pupute pour exister

… et vous obtenez un rage quit avec la ferme intention de ne jamais y revenir.

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Juillet
Un bon tiers du jeu de fait et je me suis arrêtée quand les décors ont commencé à moins me plaire. Je ne suis pas très fan de base de FPS, seule l'ambiance m'avait motivée, mais de savoir que des hordes de combattants m'attendaient désormais jusqu'à l'indigestion m'a fait me mettre en pause (je m'étais déjà méthodiquement spoilé le scénario auparavant, donc pas de regrets de ce point de vue là).

Mais quelle ambiance ! Je regretterai toujours que Bioshock soit un FPS, avec moins de combats et plus d'exploration j'aurais été une joueuse comblée.

Je tenterai sans doute de m'y remettre en le recommençant du début, pas sûr que j'arrive à son terme...

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Et on remercie bien fort l'acolyte qui m'a permis de passer ce combat ultra relou dans un simili ascenseur !

J'ai terminé le jeu d'une traite et malgré les combats qui traînent en longueur, je peux dire que j'ai kiffé ma race. Le jeu a étonnamment bien vieilli, les contrôles sont d'une souplesse surprenante, on sent que le jeu était assez avant-gardiste quand il est sorti. J'y ai retrouvé ce sentiment d'exploration de mondes antiques que j'adorais dans les Tomb Raider et que je n'ai trouvé nulle part ailleurs (Uncharted c'est plus la joie du voyage autour du monde avec des fois une connotation archéologique et Assassin's Creed c'est la recréation de temps disparus mais ce n'est pas exactement la même chose). Et puis je crois que c'était aussi d'une certaine manière une rencontre nostalgique avec une oeuvre qui représente bien cette catégorie de jeux avec lesquels j'ai découvert et aimé le jeu vidéo.

Annotation :

GLaDOS !

J'aime tellement l'univers de Portal ! Les énigmes ne représentent plus une difficulté mais on y retourne rien que pour retrouver cette chère GLaDOS !

Je rêve d'un Portal 3 tout en ne sachant pas si cette concrétisation est réellement souhaitable, je ne suis pas certaine qu'un nouvel opus aurait beaucoup à raconter (mais je serais ravie d'avoir de nouvelles énigmes à résoudre).

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Septembre

La carte est assez sympa et la simplification de la procédure pour descendre est la bienvenue. Pour le reste... Un héros transparent, des missions ratées, une maniabilité très aléatoire, un traitement de la Révolution française honteux et limite irrespectueux... Je ne comprends pas comment à partir d'un tel matériau Ubisoft a pu à ce point passer à côté de son sujet. C'était bien la peine de faire saliver les joueurs avec la Révolution depuis 5 ans pour massacrer en beauté son jeu.

Je ne sais même pas comment le noter, quelques rares missions permettent de retrouver le plaisir des assassinats et tirent parti des multiples possibilités pour parvenir à ses fins, c'est un tel gâchis que le reste ne suive pas, il y avait tant de potentiel...

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C'est la première fois que je le refais intégralement depuis son acquisition (j'ai en revanche parcouru certains niveaux un nombre... certain de fois). Il a un peu vieilli mais reste tout à fait jouable aujourd'hui et mon avis ne bouge pas d'un iota.

Annotation :

Allez soyons fous, lançons nous dans un "marathon" pour refaire tous les Assassin's Creed dans l'ordre (enfin au moins le premier et la trilogie d'Ezio, je ne pense pas pouvoir faire plus sans arriver à saturation).

Donc le premier Assassin's Creed. Il a des défauts horripilants qui ne permettront pas à un novice de pousser très loin ses velléités d'exploration et il faut mobiliser tout l'imaginaire qu'on a pu projeter dedans à sa sortie pour en venir à bout, mais je lui garde une tendresse particulière parce que ce qu'il laisse maladroitement entrevoir est porteur, ça ne sera jamais concrétisé parce qu'AC II est ensuite parti dans une autre direction mais il touchait du doigt une certaine grâce.

Annotation :

Pour la première fois en édition complète avec les fameux DLC amputés qui m'ont tant fait pesté contre Ubisoft. Une bonne chose de faite.

Annotation :

Une conclusion à l'issue d'ACB : réduire le volume de la musique fort agaçante de cet épisode aide à mieux l'apprécier.

Annotation :

Sur un coup de tête, j'ai voulu retenter. C'est toujours aussi vide et toujours aussi triste de constater que ce jeu aurait pu être tellement mieux...

Annotation :

L'Assassin's Creed le plus fun à jouer depuis le 2 ! Et oui, tout est possible.

On bénéficie d'ajouts bienvenus et même, je n'ose l'écrire, des améliorations ! Incredible. On a donc enfin un peu d'infiltration, un système de points de compétences pertinent (contrairement à Unity) et même si les missions secondaires sont répétitives, on prend plaisir à libérer la ville. Les deux premières missions mettent à elles seules la misère à l'ensemble des missions d'Unity et elles sont globalement mieux menées. Elles perdent en qualité sur la fin, la faute a un jeu auquel il aurait fallu 6 mois de développement supplémentaire, ce qui se ressent aussi sur la carte : la Londres industrielle n'est pas de base l'environnement le plus charmant qu'on ait croisé dans un Assassin's Creed, mais elle manque surtout de vie : difficile de croire à la cité industrieuse quand les larges rues ne sont occupées que par une poignée de passants (Unity grouillait de monde à l'excès, un juste milieu entre ces deux AC en matière de foule aurait été le bienvenu). Je regrette également la petite taille de la carte, qui ne nuit pas à l'immersion, mais frustre un peu le joueur amateur de voyage : à l'échelle de Londres, seul l'extrême centre est représenté (oubliez Hyde Park, le British Museum, la gare Saint-Pancras, Regent's Park, Bloomsbury...)

Le scénario s'éparpille moins, il se base sur une formule classique mais efficace et à le bon goût de ne pas s'encombrer d'enjeux inutiles. La méta-histoire dans le présent n'est guère pertinente, mais c'est un état de fait depuis la fin d'AC III qui n'a probablement pas vocation à changer et ce n'est clairement pas le coeur du jeu.

En résumé une très bonne surprise que cet Assassin's Creed auquel je ne voulais pas toucher au vu des retours mitigés et du fait des réticences quant à l'avenir de la licence que ne pouvait pas manquer de soulever Unity. Syndicate mérite qu'on s'y attarde, il serait dommage de ne pas y jeter un oeil sur la base de préjugés que nombre d'Assassin's Creed ont bel et bien contribués à créer.