Liste de

16 films

créée il y a 17 jours · modifiée il y a 1 jour
La Ronde
7.7

La Ronde (1950)

1 h 33 min. Sortie : 27 septembre 1950. Drame, Romance, Sketches

Film de Max Ophüls

Peaky a mis 6/10.

Annotation :

1/1

J’ai trouvé le film assez répétitif, le schéma narratif est annoncé et inlassablement répété (un homme est amoureux d’une femme, qui elle-même est amoureuse d’un autre homme, qui lui-même est amoureux d’une autre femme etc.). C’est très pessimiste comme vision de l’amour, presque nihiliste, comme si c’était impossible de trouver son âme soeur.

C’était quand même très intéressant dans la réalisation. Il y a des angles de caméra très osés. Max Ophuls n’hésite pas à pencher la caméra, à faire des plongées / contre-plongées appuyées (et même à combiner les deux). C’est perturbant mais c’est le but.

Les décors de studio sont impressionnants (on ne sait plus si on est à l’intérieur ou à l’extérieur tellement ça rend bien).

L'Odeur de la papaye verte
7

L'Odeur de la papaye verte (1993)

1 h 44 min. Sortie : 8 juin 1993 (France). Drame, Comédie musicale, Romance

Film de Trần Anh Hùng

Peaky a mis 4/10.

Annotation :

2/1

Je pense que c’est comme HHH ou Apichatpong (ou WKW, TML voire Ray), c’est un cinéma particulier auquel il faut que je m’habitue. Et plus j’en vois, plus y a des chances que j’aime. Mais pour le moment, ce n’est pas du tout la vision que je me fais du cinéma, c’est pas mon cinéma. J’ai l’impression qu’il n’a pas grand chose à m’offrir.

Le gamin qui pisse dans les pots, pète après chaque bêtise, l’autre qui torture des fourmis en gros plans. C’est juste non. Je ne suis pas du tout fan de la musique, presque désagréable, dissonante et qui prend une place énorme. Puis le fait que ce soit tourné exclusivement dans des studios de Boulogne (alors que tout le film doit se dérouler dans un petit village vietnamien), vous m’excuserez mais ça se voit terriblement et ça inhibe complètement l’immersion.

Je n’avais déjà pas du tout aimé La passion de Dodin Bouffant, du même Tran Anh Hung, on retrouve ici son obsession pour la nourriture. Mais curieusement, je me trouve très étrangement attiré par continuer à explorer les films de ce réalisateur.

Juré n°2
6.7

Juré n°2 (2024)

Juror #2

1 h 53 min. Sortie : 30 octobre 2024 (France). Drame, Thriller

Film de Clint Eastwood

Peaky a mis 5/10.

Annotation :

3/1

Je sais pas, ça fait 20 ans que le cinéma d’Eastwood me fatigue. Je le trouve tellement dépassé dans sa longévité par rapport à des Scorsese, Spielberg ou même Ridley Scott. Celui-ci ne m’offusque pas comme ça a pu être le cas par le passé, c’est même pas désagréable à regarder. Mais de là à dire que c’est le meilleur film de l’année, faudra se lever tôt.

C’est vrai que le pitch de départ est intéressant (un juré qui se rend compte que c’est lui l’auteur du meurtre dont est accusé le suspect du procès). Mais quand on y réfléchit, une fois les 15 premières minutes posées (une fois ce cadre posé), il ne se passe plus rien. Le film découle machinalement. Il n’y a plus aucun retournement, on connait déjà le dilemme. Il ne reste que le verdict. Après les 15 premières minutes, c’est le néant total et terme de cinéma.

Puis l’hommage à 12 angry men est quand même très très appuyé, sois plus discret frérot (11 jurés qui décident que l’accusé est coupable, la plupart parce qu’ils veulent juste rentrer chez eux vite et un juré qui veut quand même discuter).

Mon futur moi
6.4

Mon futur moi (2024)

My Old Ass

1 h 28 min. Sortie : 7 novembre 2024 (France). Comédie

Film de Megan Park

Peaky a mis 5/10.

Annotation :

4/1

J’avais absolument adoré le premier film de Megan Park (The Fallout), un coming of age enivrant et bouleversant). Ce second film m’ a paru bien plus quelconque, sans âme ni dessin. C’est carrément deux pas en arrière.

C’est clairement ultra autobiographique comme film, ça se ressent à mille à l’’heure. Mais du coup, on a vraiment l’impression que la réalisatrice fait un film pour elle-même. C’est même le concept qui veut ça (une jeune fille reçoit la visite de son elle du futur, laquelle va la conseiller - du coup Megan Park s’adresse à elle-même). Même l’actrice principale ressemble physiquement à Megan Park à cet âge. La scène hallucinatoire « Justin Bieber » c’est d’un cringe pas possible, d’autant que ça n’a rien à faire dans le film. Puis j’aime pas dire ça, mais si le film se voulait « woke », il coche toutes les cases possibles. C’est pas juste l’utilisation des pronoms, l’exploration du spectre sexuel, la transidentité, c’est vraiment tout le film qui roule sur des oeufs.

Hundreds of Beavers
7.6

Hundreds of Beavers (2024)

1 h 48 min. Sortie : 30 octobre 2024 (France). Action, Aventure, Comédie

Film de Mike Cheslik

Peaky a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

7/1

Y a 1000 idées à la minute, c’est certainement le film le plus inventif de l’année. Avant toute chose, c’est très drôle. Il me fait surtout penser aux Looney Toones, à Bip Bip et Coyote… mais il est aussi capable d’invoquer à la fois Charlie Chaplin (Les Temps modernes surtout), Buster Keaton (Cadet d’eau douce) puis Les Minions dans la scène suivante.

Il y a cependant quelques retombées mollassonnes dans le rythme, c’était un peu compliqué à regarder d’une traite (les gags deviennent répétitifs, l’histoire tourne littéralement en rond). Mais heureusement, la fin est totalement dantesque et nous laisse avec une impression largement positive.

Exhuma
6.6

Exhuma (2024)

Pamyo

1 h 57 min. Sortie : 22 février 2024 (Corée du Sud). Épouvante-Horreur, Thriller, Fantastique

Film de Jang Jae-Hyun

Peaky a mis 7/10.

Annotation :

12/1

Film démoniaque coréen, dans la vibe de The Strangers. Comme d’habitude, c’est très maitrisé, très joli à regarder, très carré dans l’axe. Il y a des bonnes idées horrifiques, notamment dans la première partie où les fantômes n’apparaissent que dans les reflets. Les frissons sont présents.

Ca manque quand même de « rugueux », c’est trop propre. Quand on pense à The Strangers, à Cure (de Kurosawa), ) The Witch, il y a quelque chose de mystique qui se dégage de l’image. Il y a des aspérités, du caractère. Là j’ai trouvé ça vraiment trop lisse. Une fois que le démon apparait, on n’est pas trop chamboulé par ce que l’on voit.

Ca reste de bonne facture et intéressant pour ceux qui aiment le genre.

Mamma Roma
7.6

Mamma Roma (1962)

1 h 46 min. Sortie : 7 janvier 1976 (France). Drame

Film de Pier Paolo Pasolini

Peaky a mis 5/10.

Annotation :

15/1

Ca m’a un peu fait penser aux Nuits de Cabiria (de Fellini), sorti cinq ans plus tôt. On reste évidemment dans le néo-réalisme italien le plus pur, mais surtout on parle de deux prostituées hautes en couleur, résiliantes, qui se battent pour leur indépendance et leur bonheur. Puis faut compter le nombre de films italiens où les personnages se promènent de nuit et on voit seulement la lumière alignée des réverbères. La marque de fabrique est connue.

Je dois avouer avoir eu beaucoup de mal avec celui-ci. Je préfère très largement le style plus fluide, poétique et esthétique de Fellini que celui de Pasolini (j’avais déjà eu du mal avec L’évangile selon Saint-Mathieu et l’horrible Salo). Les enfants jouent particulièrement mal, on voit que le mec a seulement été recruté pour sa gueule (Chuck Bass en puissance). Il y a quelques moments mémorables mais vraiment je trouve ça assez bancal.

Late Night with the Devil
6.5

Late Night with the Devil (2023)

1 h 33 min. Sortie : 28 août 2024 (France). Épouvante-Horreur

Film de Cameron Cairnes et Colin Cairnes

Peaky a mis 5/10.

Annotation :

19/1

Le concept était vachement intéressant. On est dans le monde des Talk Shows américains et on va assister à une représentation complète. C’est donc un huis clos total, en temps réel. C’est une semaine cruciale pour les audiences, on est en pleine période d’Halloween et le présentateur est prêt à tout pour faire de l’audience.

Malheureusement, mes attentes n’ont pas été comblées. Ca manque de frissons, de moments forts, de retournements de situation. Ca reste très plat très longtemps, le climat prend beaucoup trop de temps à se mettre en place. Alors oui, ça part enfin totalement en cacahuète à la fin, façon The Substance. Mais même là, c’est pas du tout satisfaisant.

La Party
7.3

La Party (1968)

The Party

1 h 39 min. Sortie : 13 août 1969 (France). Comédie

Film de Blake Edwards

Peaky a mis 4/10.

Annotation :

23/1

Film considéré comme culte par beaucoup, il raconte la soirée d’un petit acteur indien, invité par mégarde à une grosse party bourgeoise. C’est totalement du M. Bean dans l’humour. Il y a beaucoup de gags sans paroles, comme à l’époque du muet. Le mec est hyper maladroit, se met dans des situations pas possibles, se fout la honte. Sauf que contraient à M. Bean , c’est juste pas drôle, et du coup c’est juste embarrassant. Le comique d’humiliation c’est pas du tout mon type d’humour. Alors oui, finalement le mec trouve sa place, renverse in fine la situation à son hommage mais que ce fut long.

La fin est toutefois complètement folle, en mode Babylon au pic de la soirée, dans une soirée mousse d’anthologie. Mais c’est le dernier quart d’heure, et c’est trop tard

Sing Sing
7.2

Sing Sing (2023)

1 h 45 min. Sortie : 29 janvier 2025 (France). Drame

Film de Greg Kwedar

Peaky a mis 7/10.

Annotation :

23/1

C’est chouette de voir, pour une fois, un film « positif » sur le milieu carcéral (pas dans le sens où la prison c’est super chouette, mais dans le sens où il y du positif qui s’y passe, ce n’est pas seulement de la violence). Le ton est même presque réjouissant. Ca se base sur une histoire vraie, sur des ateliers de théâtre en prison. Et ce côté authentique est d’autant plus grand que les acteurs jouent presque tous leur propre rôle (et sont donc d’anciens incarcérés).

Je suis ultra content d’apprendre que l’acteur principal (Colman Domingo) ait obtenu la nomination aux oscars, c’est vraiment la première chose qui m’a frappé dans le film. Il dégage une aura exceptionnelle, c’est une prestation marquante dès sa première prise de parole.

Le film n’est pas vraiment une grosse claque pour moi (pendant longtemps, j’avais le même avis que pour Green Book) mais c’était un très bon moment. Puis le dernier quart d’heure est magnifique et, pour le coup, prend vraiment aux tripes.

La Fièvre du samedi soir
6.1

La Fièvre du samedi soir (1977)

Saturday Night Fever

1 h 58 min. Sortie : 5 avril 1978 (France). Drame

Film de John Badham

Peaky a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

29/1

J’ai complètement adoré, premier degré. En sous-texte, il y a de vrais sujets (l’avortement, le consentement, la pression de la religion, la pression des parents, la pression sociale, tout cela dans une quête d’identité en pleine entrée dans l’âge adulte). C’est une très belle capsule de son temps et pourtant j’ai trouvé que ça n’avait pas du tout vieilli, que ce soit dans les thèmes ou les visuels.

C’est un vrai bon film, même dans la technique, les scènes de danse sont très bien éclairées, il y a de la machinerie intéressante. Il y a un plan iconique d’un pont en arrière-plan ayant plus que probablement inspiré celui du Manhattan de Woody Allen deux ans plus tard.

Travolta est finalement attachant, c’est un bon gars et la réussite du film tient beaucoup là-dedans. Puis la musique originale des Bee Gees est iconique (Staying Alive, How deep is your love, Night fever…), c’est peut-être top 10 des musiques de film les plus cultes de tous les temps.

Et dans tout ça, il y a de vraies bonnes morales qui ressortent (notamment le message anti-raciste). On oublie aussi à quel point le film est violent. Oui on s’amuse, on danse mais ça reste très trash, c’est jamais niais, ça tombe jamais dans la facilité.

Non vraiment, c’est à des années lumières des Grease ou Dirty Dancing, revoyez-le, vous risquez d’être surpris.

Le Cuisinier, le Voleur, sa femme et son amant
7.7

Le Cuisinier, le Voleur, sa femme et son amant (1989)

The Cook, the Thief, His Wife and Her Lover

2 h 04 min. Sortie : 1 novembre 1989 (France). Policier, Drame

Film de Peter Greenaway

Peaky a mis 3/10.

Annotation :

31/1

J’ai passé un très mauvais moment, c’était très compliqué, jusqu’au supplice de la scène finale. En fait, le personnage principal est tellement insupportable, rude et grossier, que le film en devient insupportable, rude et grossier. Il prend toute la place, il n’y a que lui qui parle. Alors oui, il y a des moments de grâce et de poésie, mais ils sont tout de suite réprimés par un personnage écoeurant.

Ca m’a fait penser à du Leos Carax en fait, en mode les amants du Pont-Neuf (curieusement sorti deux ans plus tard). C’est très particulier et c’est pas du tout pour moi. Puis y a une monde où en fait je n’aime juste pas les films sur la bouffe (surtout quand il s’agit de gaspillage - c’est tellement de mauvais goût).

Les Sans-Espoir
6.9

Les Sans-Espoir (1966)

Szegénylegények

1 h 26 min. Sortie : 17 décembre 1966 (France). Drame

Film de Miklós Jancsó

Peaky a mis 6/10.

Annotation :

1/2

Film hongrois des années 60, Les sans-espoir désigne les individus ayant participé à la révolution hongroise de 1848. 20 ans plus tard, ils sont pourchassés. Mais difficile de les retrouver pour les autorités, ils se sont fondus par la masses des paysans. Au moindre soupçon, ils sont rassemblés dans des forts à ciel ouvert. Entre suspicions, interrogatoires, vraies et fausses délations, mises à mort, le climat n’est pas très joyeux.

L’esthétique épurée, un peu gothique, fait penser à du Bergman, style Le septième sceau. Il y a une grosse technique, hyper maitrisée. Les larges scopes dans les champs sont très impressionnants. Le seul petit point négatif, c’est la prise de son, qui subit un bourdonnement constant. Y a des cris d’oiseau en continu pour les scènes dans la campagne (alors qu’il n’y a pas d’arbres à trois kilomètres à la ronde), c’est un peu frustrant.

Les Graines du figuier sauvage
7.6

Les Graines du figuier sauvage (2024)

Daneh Anjeer Moghadas

2 h 46 min. Sortie : 18 septembre 2024 (France). Drame

Film de Mohammad Rasoulof

Peaky a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

3/2

Furieusement politique, dénonciateur et revendicateur, Les Graines du figuier sauvage est courageusement ancré dans son époque. C’est au péril de liberté (voire de sa vie) que Rasoulof sort ce film, dénonçant sans détour un régime autoritaire qui réprime les libertés fondamentales, la violence de l’Etat, l’intégrisme religieux qui pousse les femmes à se cacher, à s’effacer. La réalité transpire littéralement à travers la fiction (le film est entrecoupé de vraies vidéos de manifestations).

Face à cette violence, c’est une sororité qui fait face, sororité qu’on a déjà dans d’autres films (Mustang pour la Turquie mais aussi Les nuits de Mashad et Tatami si on veut rester en Iran). Peut-être la preuve que la révolution face à l’oppression est et continuera d’être menée par les femmes.

Il y a clairement deux films qui se succèdent. La petite histoire (une arme qui disparait dans l’appartement) prend le pas sur la grande histoire (la révolution en Iran). D’un côté, on perd de vue le spectre de quelque chose de grand, et d’un autre, le film devient un véritable thriller paranoïaque, assez passionnant à suivre. L’escalade la tension, la paranoïa du père, tout ça fonctionne très bien. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de penser que ça allait trop loin pour finalement pas grand chose.

The Apprentice
6.9

The Apprentice (2024)

2 h. Sortie : 9 octobre 2024 (France). Biopic, Drame

Film de Ali Abbasi

Peaky a mis 6/10.

Annotation :

5/2

On a beaucoup parlé (à juste titre) de la prestation de Sebastian Stan. Elle est en effet bluffante, on voit totalement les mimiques, les tics de langage, la gestuelle de Trump. Mais curieusement, ce n’est pas celle qui m’a le plus marqué. Je trouve qu’il se fait éclipsé par la performance exceptionnelle de Jeremy Strong (en Roy Cohn, l’avocat de Donald Trump). La prestation très déroutante, surtout quand on l’a connu dans Succession, mais finalement très touchante. C’est parfait qu’il soit aussi nommé aux oscars.

Pour le film, je suis quand même un peu déçu, je ne sais pas ce que j’en attendais. Je n’ai jamais ressenti de l’empathie pour le personnage (même si ce n’est pas le but du film), ni de la colère, ni rien du tout. En fait, le mépris on l’avait déjà et tout ce qu’on voit (le racisme, la misogynie, l’orgueil, l’ego…), on le savait déjà ou on s’en doutait.

Et donc, encore une fois, c’est le personnage de Roy Cohn que je retiens avant tout. D’ailleurs, même la phrase clé du film (Attack, attack, attack. Deny, deny, deny. Claim you won, even when you didn’t - laquelle traduit assez bien la politique de Trump aujourd’hui), vient de Cohn.

Le Diable
7.1

Le Diable (1972)

Diabel

1 h 59 min. Sortie : 1972 (Pologne). Drame, Épouvante-Horreur

Film de Andrzej Zulawski

Peaky a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

7/2

Quel malade mental Zulawski. Ton premier film, ta première scène, tu nous sors une scène aussi folle. C’est une scène tout droit sortie des enfers, c’est hallucinant ce qu’on voit à l’écran.

Après l’expérience mouvementée et inoubliable du film « Sur le globe d’argent », c’est une nouvelle claque. C’est vraiment unique au monde, il y a une organisation du chaos incomparable. La photographie est exceptionnelle, les décors à couper le souffle. Il y a une ambiance énigmatique à la Tarkovsky.

Par contre, avec Tarkovsky tu as la sensation de toucher du doigt le sens. Ici c’est encore bien pus hermétique, ça ne fait aucun sens ou presque. C’est quand même plus accessible que Sur le globe d’argent, mais y a plein de choses qui nous échappent. Je dirais aussi que le rythme va decrescendo. Les scènes sont assez répétitives, et jamais on ne retrouve l’ampleur de la première scène.

Peaky

Liste de

Liste vue 9 fois

1