Journal de joueur 2021

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Janvier
C'est un peu toujours le même problème avec les vieux cinematic plateformer, j'aime bien l'œuvre, mais pas trop le jeu..
C'est du die and retry de la frustration absolue sur le plan purement ludique.
Par contre l'univers est vraiment stimulant, intéressant et immersif.
Les graphismes et la musique se complètent magnifiquement et offre vraiment une expérience qui rend la frustration assez supportable en fait.
C'est pas assez diversifié et un peu plus fadasse dans la contré des mudokons mais je chipote.

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Janvier
J'ai pas fait plus d'un tiers du jeu mais j'ai plus la patience, en dehors des 30 premières minutes, ce fut d'un ennui mortel.
C'est visuellement fade, en découle que les musiques n'ont aucun impact.
Le level design est pas intéressant, les allez retours sont abusés, ça ne propose rien de bien neuf, ça a même tendance à faire un nivellement par le bas comparé aux opus PS1, bref, game design à la con.
Le scénario est insupportable, il n'a pas ce côté over the top marrant des précédents ou des suivants.
Les ennemis sont aussi insupportables en dehors des zombies de base. Ultra frustrants à gérer avec un gameplay plus lourd que jamais.

Le seul truc qui peut être sympa c'est la relative liberté de la caméra face aux décors précalculés.
Ca fait peu, du coup c'est vraiment chiant comme la mort.

Après en avoir pris connaissance, autant dire que je suis bien content de ne pas avoir pousser plus loin, la suite fait pas rêver, c'est vraiment un jeu qui a globalement un assez mauvais game design..

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Fevrier
C'est...heu...oui.
En fait je crois qu'il faut un peu de temps avant d'avoir envie de parler de ce jeu pour quiconque y a joué avec un minimum d'investissement psychique.
Ca ne se débat pas ça s'intériorise, se rumine ,se digère, et enfin éventuellement, se libère, et peut-être qu'à ce moment là, ça se discute.

Pour le premier, j'avais envie de crier mon amour du jeu et de le recommander à la terre entière, mais ici, j'ai besoin de garder ça pour moi.

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Fevrier
Un remake intelligent, qui refond le game design dans son entièreté pour ne garder que la moelle du jeu d'origine, sa structure de metroidvania et le stress inhérent à un jeu au moins vaguement horrifique. Au final, le level design est assez mortel et le jeu est plus intense et diversifié que son ancêtre. Je serais tenté de dire heureusement pour un remake mais ça n'est clairement pas la norme alors saluons Capcom tout de même.
C'est la première fois que je fais un survival horror en ayant un stock de munition régulièrement tendu (je joue toujours en normal), et malgré tout on peut toujours s'en sortir, souvent au pris d'une situation finale encore plus tendu.
C'est probablement le jeu le plus équilibré que j'ai pu parcourir, car malgré tout je ne suis mort que 6 ou 7 fois dans le premier scénario ainsi que 2 ou 3 fois dans le scénario bis, mais en étant presque toujours sous tension avec un stock de soin limité et des munitions presque à sec (surtout dans le scénario bis).
Le défaut du jeu pour moi est d'avoir gardé la structure narrative du premier, malgré la réécriture globale qui est plutôt sympathique et fidèle, on garde toute la partie incohérence globale entre les deux scénarios qui passe beaucoup moins dans cette version, avec des visuels beaucoup moins abstraits.
Si vous êtres frileux sur les réinterpretations dans les remakes ça fera votre bonheur mais moi ça m'a dérangé, quitte à réécrire le script autant essayer de rendre plus symbiotiques les deux scénarios.

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Mars
C'est surtout une superbe expérience visuelle et auditive mais c'était aussi très agréable en tant que jeu de plateforme, avec des mécaniques très bien utilisés et parfois originales.

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Mars
Back to the JRPG's buisness !
J'ai vraiment du mal à adhérer aux nouvelles mécaniques mais je viens de commencer alors on verra.
Bon, 7/8h passés, toujours aussi chiant comme la mort. Le gameplay me procure un inintérêt absolu. Le scénario et les personnages me laissent tristement de marbre, au mieux.. (les personnages sont assez souvent agaçant, en dehors de Linoa éventuellement).
En fait de manière générale je trouve le jeu froid, fade, lointain..
Aller au bout serait vraiment le marathon de la torture mentale, autant laisser tomber..
C'est dommage parce que la bande son est fabuleuse. Et la technique est bonne, supérieure à FF7, même si la DA de ce dernier m'apparaît incroyablement meilleure.

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Mars
Gargoyle's Quest transposait à merveille les jeux de plateforme/action de la nes, arrivait peut-être même à proposer plus avec un personnage disposant d'une agilité et de capacités remarquables pour l'époque toute plateforme confondue ce qui lui conférait de quoi rivaliser en dépit de ses graphismes et sonorités.

Metroid 2 arrive tout aussi bien à transposer l'expérience Metroid sur GB en ajoutant lui aussi des mécaniques qui vont venir compenser les faiblesses de son support, en plus d'adapter intelligemment le world design.
Malgré tout, il ne fait pas force de proposition assez marquante pour mériter autant d'attention que l'opus nes à mes yeux.
Le fait est que dans Gargoyle's Quest, les visuels et sonorités sont plus enclins à la diversité que dans Metroid. Car le problème ici est que tout à l'air de se ressembler, car en noir et blanc, un souterrain reste un souterrain, malgré un effort certains des devs. Le son est aussi d'une importance capitale ici, bien plus que dans Gargoyle's Quest.
Et même si les rares musiques peuvent se montrer correctes, les sons ont tendance à être vite désagréables.

Malgré tout ça, le noir et blanc est bien utilisé via une DA d'un sens de l'esthétisme certains, ça se joue aussi bien que le premier Metroid et globalement il s'en dégage quand même une ambiance qui marche.
Mais tout cela semble quand même complètement étouffé sous les contraintes du support.

Go écouter la BO de Gargoyle's Quest au passage, c'est de la bombe pour de la game boy.

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Mars

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Mars
Playdead m'aura encore bien marqué avec une expérience beaucoup plus aboutie que Limbo, grâce à l'expérience, le budget et le temps investis, tout en proposant finalement des sensations similaires.
Je suis resté bouche bée d'un bout à l'autre devants les visuels, le son, l'animation et l'élégance des énigmes, où Limbo pêchait un peu en étant frustrant pour pas mal de joueurs.
La narration environnementale est plus que jamais maitrisé mais gardé assez abstraite, quelque peu indicible dans ses événements, mais clairs dans ses sensations.
Un second jeu Playdead, qui pour moi, comme son père spirituel, est universel et recommandable à plus ou moins toute personne ayant un minimum d'éveil artistique.

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Mars
Le côté baveux des graphismes ne me plait pas vraiment et ne me plaisait déjà pas dans Donkey kong Country. Ca mérite le coup d'oeil pour le ton (c'est mignon et arrive parfois à me faire sourire) atypique pour un jeu de la ludothèque Squaresoft, l'introduction du système de combat dynamique qui fera la renommé des jeux mario rpg à venir et une première tentative de créer des liens scénaristiques plus développés que d'habitude entre les personnages, même si ça reste simple et enfantin.
Le gameplay est un peu trop simpliste à mon goût, alors que le jeu n'est pas forcément facile non plus ! J'ai toujours l'impression de ne pas pouvoir y faire grand chose quand je perds, à part grinder un niveau éventuellement. Les pouvoirs, équipements et magies ne sont pas très intéressants et même si ça marche pas mal, tout est assez basique si l'on omet l'univers Mario, dommage.
La bande son relativement répétitive et quelconque n'aidant pas, aussi.
J'ai déjà ma dose après avoir battu le gâteau, à un tiers du jeu, c'est le soucis avec les rpg, ils sont souvent bien trop long à mon gout..
Un rpg fabuleux peut m'accrocher 30/40h éventuellement (FF7?), un rpg vaguement sympathique (comme celui-ci, ou FF8 ?) aura du mal à m'accrocher ne serait-ce que 10h..

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Mars
J'ai abandonné au niveau de l'horloge, je pourrais avancer avec la soluce mais ça ne m'intéresse pas des masses, il y a surement d'autres environnements qui valent le détour mais je m'en contenterai.
C'est un jeu techniquement très faible mais c'est bien son seul défaut.
C'est avant tout une virée très prenante dans un ensemble d'architectures brutalistes, cryptiques qui propose une narration environnementale à une époque où l'on employait pas encore ce terme couramment.
Du coup les énigmes sont souvent plus compliqués à déchiffrer qu'à résoudre. Mais vraiment cette horloge, j'ai rien compris.

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Mars
En tant que jeu, c'est fort mal fini, fort peu approfondi, sacrément frustrant.
Frustrant car il y a de l'idée, et sur tous les plans !
Le système de jeu n'a aucune profondeur en l'état mais il est vraiment original et pourrait donner un résultat très intéressant dans une œuvre plus complète.
Le scénario est plutôt sympathique sans être très remarquable mais il a surtout le bon goût d'être très différent de ce qui se fait d'habitude dans le style et d'avoir une direction artistique très inspirée.
On y joue pas parce que c'est un bon jeu mais parce que c'est une œuvre qui vaut le détour. En plus c'est court.

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Avril
J'avais oublié à quel point Dishonored est bon ! Arkane c'est vraiment des dieux du game design bondiou.
Et en plus ils arrivent généralement à proposer un univers et une trame plutôt étoffé, pour ce dlc et le suivant on a le droit à un personnage beaucoup moins effacé que Corvo, et pour moi, c'est tant mieux ! Du coup c'est moins fidèle à l'esprit Immersive Sim mais ça rend la narration plus captivante, à voir selon les gouts de chacun si la perte surpasse le gain.

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Avril

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Avril
Un jeu ma foi fort attachant !
En terme de design, c'est assez proche de Resident Evil premier du nom, un grand bâtiment qui sert de donjon, plus "zeldaesque" ici j'trouve, qui fait parfaitement son travail sans être au niveau de son ainé. D'ailleurs, tout se ressemble un peu mais on arrive quand même à se repérer assez bien sans allez zieuter la map, mieux que dans Resident Evil, c'est fort.
Le scénario est assez en retrait et se déroule tranquillement à un rythme parfait pour finir dans une mélancolie et une retenue tout à fait adéquate.
Bon, thématiquement c'est soit un peu creux, soit je suis passé un peu au dessus, n'ayant qu'une connaissance de profane sur les références du jeu.
En tout cas j'en ai été assez détaché en dehors de l'intro et la dernière heure.
Le gameplay est original, bien trouvé et sacrément bien implémenté, en plus d'être un peu près intégré dans la diégèse du jeu.
Un plaisir de jouer à un survival horror avec un gameplay si agréable à prendre en main.

Annotation :

Avril
Mouais, comme Donkey Kong, c'est bien laborieux et bien tape à l'oeil.
Le level design est vraiment pas très intéressant, mais Donkey Kong était déjà très moyen là dessus aussi alors pas trop de surprise.
Mais en plus, c'est insupportable a quel point ça rame, les interactions pour réaliser les objectifs sont abscons, et globalement, le jeu ne procure pas grand chose, c'est mou..

Par contre, le film est vraiment bien référencé, les interactions avec le décor, annoncent les prémices des fps plus libres à venir très peu de temps après, la localisation des dégâts sur les ennemis est impressionnante et ça restait du tâtonnage les fps sur console.
Plus simplement, l'idée de faire des missions à objectif est bonne.

Mais à l'exécution c'est juste chiant, infiniment plus que Donkey Kong qui restait assez sympathique. Ouais, je crois que j'ai un soucis avec Rare.
Ce jeu vieillit mal, et c'est bien à cause des défauts qui étaient là depuis le début qui se voient de plus en plus je trouve.
D'autant plus que je n'ai pas fait plus d'un tiers du jeu mais plus j'avance, pire c'est, alors mon temps ira a d'autres jeux, j'en ai marre de rager d'exaspération.

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Avril
Premier jeu en coop depuis très longtemps, des années en fait.
Le scénario m'aura bien fait rire, au première degré au début, par un décalage qui semble volontaire, puis tout cela est vite devenu assez fade jusqu'à devenir ridicule quand le jeu se donne l'ambition d'entrer dans une sorte de méta style Far Cry 3 sans en avoir les épaules.
Le gameplay des combats est fun quand on a des armes de CaC efficaces, mais mou et chiant dans n'importe quel autre contexte, voir pire, avec les armes à feu, dont l'implémentation est une aberration de design absolue.
Le parkour est relativement fun, sans avoir la fluidité de Mirror's Edge non plus, même si l'ajout du grapin compense pas mal.
Grapin qui a tendance à rendre le parkour un peu plus hasardeux par contre.
Le level design est variable mais globalement c'est plutôt un bon point, sauf pour les phases de plateforme un minimum précises qui sont quand même une tanné.
Pas si mal foutu mais très quelconque.

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Mai

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Mai
L'immersive sim sans le sim finalement.

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Mai
Alors, je suis tout à fait d'accord pour dire que le jeu est creux. Je suis aussi d'accord pour dire que deux ou trois séquences sont assez hors de propos.
Pour tout le reste, c'est plutôt du caviar.
C'est une véritable antithèse du 7 pour moi, et j'espère très fort qu'on puisse retourner, autant pour la série que le jeu d'horreur à la première personne en général vers un consensus général qui creusera la voie engagé par le 7, que je préfère largement.
Malgré tout ce RE8 fut terriblement rafraichissant et.. fun, en fait, tout bêtement. C'est un cas très exceptionnel de jeu que je recommence très peu de temps après l'avoir fini.

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Mai

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Mai

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Mai

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Juin
Le dernier de la trilogie, de loin le plus horrifique des trois, mais aussi celui qui m'aura le moins touché, faute à un ton plus frontal et une trame moins riche, malgré tout dans mon panthéon des œuvres les plus importantes du jv.

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Juin

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Juillet

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Novembre

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Octobre

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Septembre
Terriblement envoutant, terriblement mystérieux, terriblement beau, un peu mélancolique, complètement ma came.

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Septembre
Coop.
Bouah c'est vaguement sympathique, c'est assez cassé, que ça soit l'ia, le level design ou le gameplay, mais souvent de manière assez comique et pas spécialement frustrant. Fun par ses qualités parfois, fun malgré lui d'autres fois, ça reste un petit jeu court, mignon et honnête.