Journal de lectures 2023

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Un petit recueil d'âneries du Gorafi reçu pour Noël et qui m'aura bien fait rire !

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Un peu partagée par cette lecture à la fois exaltante par moments (Mona Chollet est toujours généreuse en anecdotes et en références qu'on ira lire par la suite), et à la fois décevante par son goût d'inachevé. A mon sens il s'agit plus là d'un livre autobiographique en forme de léger mea culpa ou de justification (concernant sa consommation d'images/réseaux sociaux), que d'un véritable essai.

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Il y a des pages très inspirantes et très belles, et d'autres qui m'ont un peu plus décontenancée (je ne la savais pas si fervente en religion).

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Je découvre cette autrice et ce roman m'a vraiment séduite (pourtant j'ai eu un peu peur aux premières pages en découvrant le style).

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Trop compliqué de noter une lecture qui a son intérêt, mais qui m'a beaucoup trop déprimée (vraiment je me suis sentie mal plusieurs jours).

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Je suis furax contre Erik Orsenna : mais quel ennui (long de 460 pages tout de même)!! Extrêmement déçue par ce titre prometteur qui masque une histoire et des personnages frisant le ridicule. ça partait mal : se promettre le mariage après un rencard, c'est le genre de début qui me fait grincer d'emblée. S'ensuivent les portraits d'une femme insupportable (on devine donc pourquoi monsieur tombe amoureux...), les élucubrations pseudo-profondes d'un écrivain raté, les va-et-viens crispant entre narrateur intra et pseudo-extra diégétique, etc.. Maudit soit mon toc qui m' "oblige" à finir une lecture entamée !

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Je ne m'attendais pas à ce que ce roman soit si prenant et qu'il me fasse pleurer comme une madeleine !

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Plutôt déçue de cette lecture, dont j'attendais, d'après le titre et la 4e, beaucoup de profondeur. Au final, à part soupirer après sa dulcinée, Crozier n'écrit pas grand chose de transcendant.

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Bon, j'ai mille ans de retard dans mes notes (et dans mes lectures de manière générale). Difficile de noter "L'orageuse" : je l'ai dévoré, mais pas tant pour sa qualité d'écriture que pour mon côté "voyeuriste du XIXe", friande de ce Paris Match géant du monde littéraire d'alors. Difficile aussi de s'attacher à Louise Colet, et c'est bien ma grande déception (je pensais sortir de ce livre avec une Muse féministe). Mais bon les intrigues, les grandes figures qui traversent le roman, le rendent malgré tout intéressant.