Journal de visionnage : 2015 (+ Avis)

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29/12

Ce film m'a foutu en PLS. C'est clairement le The fault in our stars de 2015, la comparaison est logique, tant les deux films se ressemblent, mais ce n'est pas du tout une copie loin de là. Un film qui traite très légèrement d'un sujet lourd, sans être trop léger justement et lui faire de son impact. Olivia Cooke est de loin la grosse révélation de ce film, superbe performance de sa part, très touchante. C'est bizarre en fait, j'ai quasiment rien à dire sur ce film alors que c'est juste une de mes plus grosse claque de l'année. A vivre tout simplement.

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28/12 (revisionnage)

J'aime bien ce film, mais c'est une catastrophe, j'ai passé toute la durée du film à en rire, notamment le massacre de Venom et Emo Peter (que j'adore, c'est tellement ridicule, mais justement c'est extraordinairement marrant), mais ça reste 1000X meilleurs que les bouseux TASM.

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28/12 (revisionnage)

Un de mes films de super-héro préféré, avec notamment un méchant mémorable superbement incarné par Alfred Molina.

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28/12 (revisionnage)

Malheureusement le film souffre des années qui sont passées, mais reste un énorme plaisir avec Tobey Maguire dans le rôle et l'excellente composition de Danny Elfman.

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27/12 (vu au cinéma)

Petite déception, avec tout le bien que j'entendais dessus, je m'attendais à mieux, ça me rappelle un peu les deux dernier O Russel au niveau de la hype foirée. Les acteurs sont bons, sans être excellents, à part pour Steve Carell qui confirme après Foxcatcher qu'il est bien plus qu'un génie de la comédie. Le gros problème du film pour moi, c'est qu'il est incompréhensible, mais qu'il essaie de se rendre compréhensible par divers moyens, qui ont l'effet inverse à celui voulu. Ça passe principalement par un cassage constant du 4ème mur, qui marche une fois sur deux, car à peu près tous les personnages le font, et qui alourdit énormément le tout, ajoutant des caméos sans réels intérêts, après Margot Robbie nue dans son bain qui explique la finance, même moi ça m'intéresse. Mais à force de vouloir expliquer des termes et concepts incompréhensibles pour un mec qui n'est pas du milieu, le film se perd et devient confus. C'est intéressant, mais ça le serait plus avec un format documentaire ou un seul personnage principal. Par un immanquable pour ma part, c'est drôle, mais trop incompréhensible pour être inoubliable.

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27/12 (vu au cinéma)

Tout simplement l'un des meilleurs films de l'année ! J'en attendais beaucoup avec les excellents retours, surtout que je suis un gros fan de la série animée qui avait occupée une partie de mon enfance, ainsi que des dessins de Schulz que j'ai découvert de façon beaucoup plus récente, et bien quel film ! Y'a tellement à dire, non seulement ça respecte parfaitement l'oeuvre de Schulz, mais ça arrive à "étirer" le tout sur un format long sans jamais perdre en rythme. En plus de retrouver tous nos personnages préférés, ces gags cultes, ces particularités qui font le charme des Peanuts, l'animation est sans doute l'une des plus réussie que j'ai pu voir de ma vie. L'animation en 3D était risquée pour ce film, il y avait un gros risque qu'elle puisse trahir tout l'esprit de la BD, mais au contraire, elle le sublime, à la fois assez travaillée pour ne pas faire pauvre, mais assez dépouillée pour respecter la simplicité de l'oeuvre, c'est un plaisir visuel comme j'en ai rarement vu. Pour le coup, j'ai vu le film en 2D, car pour une fois mon cinéma ne passe pas ce film en 3D, et j'aurais largement préféré le voir dans ce format, qui aurait sans doute ajouté une touche en plus à ce film. Seul bémol, les scènes d'action entre Snoopy et le Baron rouge, qui pour moi n'étaient pas très bien intégrées au sein du film, et ne m'intéressaient pas trop.
Merci bordel, merci.

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27/12 (vu au cinéma)

Bonne surprise, un beau film sur l'amitié à un âge où tout est futile, mais où tout est important. Ces personnages, on les a tous connu, ils ont tous fait partie de nos vies, quelque soit leur importance, et c'est ce qui rend ce film aussi vrai. Max Boublil est encore une fois un vrai plus, il apporte à de nombreuses reprises l'élément comique, sans jamais en faire trop. La surprise de cette fin d'année, et définitivement l'un des meilleurs films français de l'année !

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26/12

Objectif atteint, 400 films vus cette année ! Bon, dommage que ce soit sur un film aussi oubliable, les personnages sont vides, l'histoire prévisible dès le début, les dialogues à se crever les tympans, mais ça passe rapidement quand on regarde d'un oeil. Mais 400 films !

PS: A la fin le "Emmet." "Oui papa ?" "Ferme ta gueule s'il te plait." m'a tellement pris au dépourvu que j'ai éclaté de rire

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26/12

Un bon moment quand on regarde d'un œil, pas un grand film mais un divertissement honnête, le film évite pendant un moment les plus gros clichés possibles, même si le dénouement est assez feignant, on sent bien l'ambiance des fêtes.

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26/12

La mère de Bambi début janvier, la mère de Littlefoot fin décembre, l'année est complète en terme de tragédies familiales. J'ai chialé comme une merde. Jusqu'à ce triste évenement, le film touchait la perfection, peu de dialogues, beaucoup de contemplation avec pour fond l'excellente composition de James Horner, puis ça devient presque banal, certains personnages étant même irritant à force de l'ouvrir à tort et à travers. Enfin niveau technique les paysages et les dinosaures sont superbement dessinés, mais colorisés avec les pieds, j'ai l'impression qu'ils changeaient de couleurs comme d'angle de caméra, j'ai même cru repérer à 2/3 moments un des personnages principaux qui dans une scène clé n'était pas colorisé. Si c'est un choix délibéré du réalisateur je vous laisse vous moquer de moi dans les commentaires, mais je trouve quoi qu'il arrive que ça reste très con.

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25/12 (revisionnage)

Le classique ultime de Noël, un plaisir de mater ça le jour même de la fête, le jour où il est le plus appréciable, c'est drôle, frais, efficace, sans être lourd. Même le gros coup de racisme sur la fin me fait bien rire. Au passage rien à voir, mais je suis à la fois fier et déçu de moi cette année, j'ai vu qu'un seul téléfilm de Noël, c'est indigne de mon addiction habituelle.

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24/12

Très bonne surprise, c'est court, bien rythmé, marrant, fidèle à la série, mon seul vrai reproche est la mise en retrait de Carlo, qui a toujours été mon personnage préféré. Et l'apparition totalement WTFesque de David Hasselhoff aussi, j'en reviens toujours pas tellement c'était con.

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23/12 (revisionnage)

Ce film c'est du pur génie putain. Le duo Lord/Miller c'est vraiment la crème de la crème actuellement, les blagues ne s'arrêtent pas pendant toute la durée du film, si tu relaches ton attention 2 secondes, t'en manques une. Le casting vocal est tout bonnement phénoménal et bien choisi, surtout Chris Pratt. C'est drôle, frais, imprévisible, ultra bien foutu, et surtout ça me donne envie d'acheter les jouets, réussite complète.

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23/12 (revisionnage)

Film qui frôle la perfection. Des dialogues dantesques, des situations cocasses très bien gérées, la scène de la montre, les performances de tous les acteurs. Le film échappe au 10 car la partie avec Bruce Willis a quand même quelques défauts, dont cette chieuse de Fabienne.

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22/12

Je comprends ceux qui ont vu ce film petit et qui le considèrent comme un bon divertissement. Cela dit je vous regarde avec un mépris non exprimable.

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22/12 (revisionnage)

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22/12

Quand le premier apportait un message intéressant, nous montrant qu'avoir tous les pouvoirs du monde ne rendait pas forcément la vie meilleure, ce spin-off apporte plutôt un message douteux, avec un dieu qui fait tout pour gâcher la vie d'un mec qui n'a rien demandait, en justifiant tout par la croyance aveugle et stupide. En plus c'est pas drôle, donc pour une comédie, c'est raté, nous affligeant de tous les clichés vus et revus, en particulier la femme afro-américaine qui ouvre sa gueule durant tout le film sans raison valable pour essayer d'arracher un rire au pauvre spectateur qui pleure le départ de Jim Carrey.

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21/12

*Slow clap*
Why Jake ?
Why ?

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21/12 (revisionnage)

Bien plus drôle que dans mes souvenirs, et surtout très engageant, Jim Carrey est dantesque, tandis que Morgan Freeman est le choix évident pour jouer dieu. Quant à Steve Carell je me pisse dessus à chaque fois devant la scène où Jim Carrey lui bousille ses news.

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21/12

De bonnes trouvailles, un humour qui fait mouche, malheureusement j'ai l'impression que le film ne s'assume pas en tant que pure comédie débile et cherche à intégrer une intrigue romantique qui malheureusement ne marche pas vraiment sur moi. Simon Pegg est génial comme à son habitude, en revanche la fin est un peu trop ratée, ils sont passé à côté d'une fin bien wtf qui m'aurait étalé par terre avec le chien (Robin <3).

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20/12 (revisionnage)

L'humour devient de plus en plus débile au cours du film, bizarrement ça coïncide avec l'utilisation de plus en plus abusée des minions. A la fin c'est plus drôle, le méchant est encore une fois doublé comme un pied dans la VF, et puis il n'y a aucun enjeu qui m'a intéressé. Heureusement c'est 1000X meilleur que la bouse qu'est le spin-off sur les minions, faut pas abuser.

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20/12 (revisionnage)

Sympathique au mieux, on des kilomètres au-dessus de la catastrophe qu'était Les Minions, et ceux-ci me font de nouveau rire dans le film, ce qui fait qu'à petite dose je n'en suis finalement pas si dégouté que ça. Eric Métayer est catastrophique au niveau du doublage français, c'est littéralement la même chose que ce qu'il fait dans Monstres & Cie, mais avec un personnage qui n'a rien à voir, du coup ça plombe chacune de ses scènes. On est loin du doublage de Jason Segel, qui sans être parfait arrivait à rendre le personnage plutôt attachant.

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19/12

Ça démarrait bien, on aurait pu avoir un bon drame familial sur fond de fêtes de fin d'années, malheureusement ça part plus facilement en comédie totalement conne comme le dernier Vacation (j'en profite pour replacer une nouvelle fois que cet étron a réussi à faire PIRE QU'ALADIN BORDEL), et ça essaie entre deux vannes foireuses de glisser un peu de conflit familial, avec une résolution bidon, et un Robin Williams qui n'y est pas, mais qui reste attachant.

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16/12 (vu au cinéma)

Voir critique.

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14/12 (vu au cinéma)

Un film très solide, dont les 2h20 passent en un éclair, ce qui est d'autant plus remarquable que le film ne tient quasiment que sur des dialogues, à par deux scènes où ça bouge un peu, ce n'est que du blabla. Et c'est réussi car l'écriture des frères Coen associée à la très bonne mise en scène de Spielberg arrive à rendre le film captivant du début à la fin, avec en plus de ça deux performances monumentales de Tom Hanks et Mark Rylance, sans avoir droit au classique usa = gentils capitalistes et urss = méchants communistes, ce qui n'est pas négligeable.

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10/12 (vu au cinéma)

Sympathique, ça casse pas trois pattes à un connard, mais ça passe le temps. Les acteurs sont bons, en particulier Finnegan Oldfield qui m'a fait penser à un Norman talentueux. Par contre la morale finale est ridicule, je vais pas spoiler, mais je m'attendais presque à voir un message anti-FN à ce moment là.

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10/12 (vu au cinéma)

Je m'attendais pas du tout à ça. Au mieux un bon film pour passer le temps, mais là je me retrouve carrément avec un de mes films préférés de l'année, et vu tout ce que j'ai vu, c'est pas rien (pour la qualité de ce que j'ai vu, c'est une autre discussion qu'on aura plus tard). Suburra est un film qui n'a peur de rien, sexe, drogue, violence et corruption sont au centre de ce film qui prend aux tripes comme il faut. Le casting est fantastique, je ne connaissais aucun des acteurs (en même temps vu mes connaissances en cinéma italien, c'est perdu d'avance), et pourtant ils sont tous facilement reconnaissables, et attachants. Même un politicien pourri amateur d'orgie avec des mineures est rendu intéressant grâce à la fois à Pierfrancesco Favino, très bon dans son rôle, et charismatiquement monstrueux, mais aussi grâce à l'écriture parfaite, qui fait un peu penser à du Scorsese dans son traitement de toutes ces ordures. Car au final, il n'y a qu'un seul personnage d'humainement correct dans ce film, joué par Elio Germano, mais qui au fur et à mesure des événements va devoir faire ce qu'il faut pour survivre et devenir de plus en plus dur lui aussi, dur mais réaliste, pour en revenir à l'écriture, il n'y a pas un seul personnage qui semble faire un choix irréaliste, de mauvais choix oui, mais qui ont tous une logique que pourra comprendre le spectateur. Suburra est un film à déconseiller aux âmes sensibles, mais il est clairement une de mes plus grosses surprises de l'années, le seul défaut sera l'implication dans le film du Vatican, façon de dire que tout le monde est mouillé, mais qui n'est pas assez développée.

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08/12 (vu au cinéma)

Point positif du film: mon record de personnes dans la salle durant un film a été égalé, on était deux dans la salle, une première depuis Freddy (2010).
Points négatifs: le reste.
Je me suis barré au bout de 40 minutes, j'en pouvais plus, j'ai donné niveau santé mentale cette année, il y avait de bonnes idées de mise en scène, mais le reste, que ce soit les acteurs (Anais Demoustier se tape son deuxième 1/10 de l'année, même Kev Adams a fait mieux !) ou l'histoire, c'est du niveau 0. J'avais presque envie d'éclater de rire sur certaines scènes, malheureusement je n'étais pas seul, sinon je serais rester jusqu'au bout à me fendre la poire devant cet étron.

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08/12 (revisionnage)

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07/12 (revisionnage)