Journal FILMS Edition 2021

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Voilà un de mes Carpenter préféré, autant j'avais eu du mal avec d'autres films de Carpenter employant ce ton de second degré sans aller au bout du délire autant là j'ai réellement était embarqué par l'humour et les acteurs.

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Ça fait combien de temps que Scott n'avait pas fait un film correct ? 57 ans c'est ça ?
Hormis Ben Affleck qui m'a complètement sorti du film par moment, sérieusement on dirait qu'il est sur une plage de Pearl Harbor par moment, j'ai trouvé le montage du film par chapitrage très intéressant tout en développant le point de vue de chaque personne du triangle central du film.
Si vous attendiez un film de guerre médiévale passez votre chemin.

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Un des films les plus louche que j'ai eu la chance de voir. Je n'ai pas lu le roman de K.Dick donc je ne peux argumenter sur la potentielle correcte adaptation ou non mais le résultat tel que l'on peut le voir donne au film une saveur toute particulière et je ne sais toujours pas si j'aurai plutôt souhaité de vraies captures d'images plutôt que ce rendu tout bizarre sorte de dessin/CGi/liquide appliqué par dessus les acteurs mais grâce à cela et au scénario bien surprenant on se retrouve face à un film au cachet unique qu'on garde clairement en mémoire, mais je serai curieux de voir ce film sans aucun filtres et artifices visuels.

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Bientôt 50 ans... C'est fou de se dire ça et de voir comment celui-ci est encore tout à fait dans les clous pour rester pertinent en 2021, ironiquement les faits se passent en 2022 et s'en aller dans la comparaison à tout va, et qui ne n'aurait pas vraiment de sens (à moins que mes gâteaux LU...) le film pose quand même des bases solides et propose une analyse d'une société dystopique très intéressante à étudier. En dévoiler plus serait gâcher le plaisir à chacun.
Bien-sûr le film datant de 1973 vous ferez face à certaines mimiques de l'époque qui ont moins bien vieillies mais qu'importe, l'intérêt de l'œuvre n'est pas là mais bien dans son analyse, son développement et jusqu'à sa conclusion très forte.

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Et oui j'aurai du le voir depuis un bon bout de temps et sous l'impulsion de ma femme choquée pour la 73ème fois que je ne l'ai toujours pas vu il était temps de se pencher dessus. Au-delà de tout ce qui a pu être écrit sur "The Professional" et sur son réalisateur j'ai simplement été absorbé par ce New York filmé au travers des yeux d'un Frenchie sans attaches particulières à cette ville et des protagonistes qui semblent tout autant réussis les uns que les autres. Chaque acteur vit son rôle de manière passionnée et on ressent une direction d'acteurs solide à l'écran et bien-sûr sans revenir sur la performance tout bonnement sidérante de Portman le reste du casting transporte le film vers un niveau au delà du simple bon film sympathique.

Que cela soit l'image, l'écriture, la relation entre Léon et Mathilda et cet antagoniste de folie j'ai vraiment apprécié ce Léon comme beaucoup d'entre nous.

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Un classique que je n'avais pas encore regardé en entier et surtout avec le recul et l'attention nécessaire que j'ai aujourd'hui.

Il n'y a pas grand-chose à dire au vu que près de 50 ans après le film reste toujours aussi passionnant à analyser. Si tout n'est pas parfait notamment un montage sur le début qui a du mal à garder une certaine cohérence entre les plans et une qualité de pellicule qui s'effondre lors de la dernière partie du film, on ne sait trop pourquoi, finalement ma seule vraie déception viendra du fait que l'équipe du film a tranché quant à la vraie fin du film qui à mon avis restera un homme décédé et qui ne rêve que de ce qu'il aurait souhaité devenir et non pas une critique de la starification des meurtriers et autres psychopathes, mais à chacun le plaisir de saisir cette fin comme il le souhaite.

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C'était plutôt agréable à regarder et le huis clos fonctionne bien cependant le film verse beaucoup trop dans les archétypes de personnages vus et revus et je n'ai pas trouvé de traitement particulier des infectés qui me ferait dire que le film révolutionne ou apporte de nouvelles idées au genre.
En somme un bon moment sans fulgurances.

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Difficile d’avoir une vision claire de ce que vaut le film en connaissant toute la filmographie des Wachowski qui a suivi. Sans penser à tout ce qui a été créé par la suite, force est de constater que le film propose une mise en scène plutôt impressionnante et surprenante et pourtant cela ne se déroule qu'en majorité dans le même environnement tout au long du film mais la force de Bound c'est que ce montage exemplaire nous fait oublier que cela fait 30mn qu'on navigue dans de deux salles différentes...
Certains plans et leurs enchaînements proposent des idées de mise en scène propre à ce qu'on retrouve dans The Matrix sorti plusieurs années après et apporte un réel dynamisme à l'œuvre.
Le film comporte son lot de surprises, car si les 20 premières minutes peuvent paraître inquiétantes sur ce que film nous racontera, au final l’ambition du film est bien plus large que ce qu’il pourrait laisser penser.
C’est un film sans grand budget qui regorge de bonnes idées et propose une histoire d’amour intéressante mise en abîme au travers d’une histoire mafieuse pour des billets vert, en somme rien de transcendant mais parfaitement construit à la sauce Wachowski ce qui servira de tremplin à 25 ans de carrière fructueuse.

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L'invasion de l'Afghanistan par l'Union Soviétique reste une part de l'histoire peu abordé au cinéma et même si le film arrive peu de temps avant l'effondrement du bloc en pleine propagande anti URSS et que celui-ci ne peut s'empêcher de traiter les soviétiques de manière caricatural, il ne verse que peu dans le tout noir ou tout blanc traitant et abordant d'une façon très brute la souffrance subit dans les deux camps.
Film sans grandes prétentions au budget ridicule de 8 millions de dollars et qui fera un flop monumental à sa sortie, "The Beast" n'en est pas moins une expérience plus qu'honorable et surtout unique. Le désert est filmé avec honnêteté et naturel qui nous ferait presque croire que tout ce cela c'est bien tourné en Afghanistan (le film a été tourné en Israël) mais c'est surtout la place du tank dans le récit qui m'a particulièrement plus. Véritable personnage à part entière celui-ci est mis en valeur par la caméra sous une forme que je n'avais pas encore vu. La souffrance sur le tournage a du être telle que je plains les caméras placées au coeur de la bête.
Véritables chars T55 dans leurs versions israélienne achetés directement par le réalisateur on ne peut que saluer ce choix tant à l'écran la sensation de vivre au coeur de la machine est percutante.
Le twist autour d'un certain personnage est visible de loin mais le film réserve son lot de surprises.
Seule Inconnue j'aurais aimé avoir l'avis d'un Afghan concernant les acteurs américains parlant afghan avec leurs accents forcément présents pour un natif.

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Dire que j’aime la filmographie de Denis Villeneuve serait un bien petit mot au regard de l'affection que je porte à chacune des ses œuvres. De Polytechnique en passant par Incendie, au détour d’un Prisoners et pour finir avec 2049 chaque œuvre de Denis Villeneuve à su me marquer à sa manière et encore une fois Dune n’aura pas loupé le coche.
Beau à en pleurer, pensé à la frame près et monté comme une horloge je trouve quasi rien à reprocher à celui-ci, comme une anomalie de notre temps Denis s’impose malgré le budget faramineux du projet mais à la manière de Blade Runner 2049, Dune est un film de réalisateur et uniquement créé à partir de la vision de celui-ci rien d’autre. Certains choix ne plairont pas, d'autres vous feront soulever de votre siège mais Dune fait du bien c’est la réalité, délivrer encore des œuvres de SF d’une telle manière dans la bouillasse numérique des 20 dernières années et il apparait comme un messie.
Dune ne décrochera sûrement pas la couronne de mon film préféré à 2049 mais à coup sûr deviendra une des plus grande dilogie. Une seule chose, j’ai hâte de voir la suite.

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Un calvaire

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Ne résidant pas en France j'avais complétement loupé la soit disant polémique autour du film et l'extrême droite que j'ai découvert avant d'écrire ces lignes...bref c'est marrant car à la vu de celui-ci je n'ai pas du tout ressenti un parti pris pour un "côté" ou l'autre, juste un docu film très intense qui nous fait transpirer devant notre écran.
On se sent presque épuisé par certaines séquences tellement elles paraissent réalistes.
Le casting est juste parfait et me confirme encore une fois tout le talent de François Civil que j'avais découvert dans Burn Out et par la suite le Champ du loup. Lellouche rien à dire toujours aussi juste et frappant et les autres sont tout aussi bons.
Une très bonne surprise qu'à été ce Bac Nord, je recommande.

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L'intrigue qui se repose sur bien plus de clichés que les deux premiers épisodes possède surtout un antagoniste peu intéressant vis à vis de ce qu'on aurait pu attendre de ce dernier épisode. Mais voilà encore une fois, de superbes musiques, une animation comme je n'en ai rarement vu et surtout cette richesse visuelle si bluffante. La série des Dragons aura été une belle surprise en tout cas, seul ou en famille, DreamWorks nous démontrent encore toute l'étendue de leurs talents.

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Quel gâchis, c'est ce qui me vient en tête en repensant à No Time to Die. Une intro incroyable jusqu'au lancement, le développement du couple Craig/Seydoux plutôt très intéressant, le personnage de Bond plus humain que jamais, une photographie et mise en scène percutante et marquante par moment mais voilà le film se perd complètement dans son intrigue qui est il faut bien l'avouer assez ridicule, en plus d'être terriblement mal écrite et confuse. Sans oublier que celle-ci est rongé jusqu'à l'os tellement on a déjà aperçu ce schéma des dizaines de fois.

Oui on côtoie le meilleur comme le pire dans ce James Bond et même si le bilan global reste plus positif que négatif je repars avec un goût amer en bouche, au moins l'adieu à Daniel Craig sur la fin du film, si il est cliché, est réussi. L'honneur est sauf mais tout cela n'est clairement pas à la hauteur de ce qu'on était en droit d'attendre, surtout pour ce que Craig aura apporté à James Bond.

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De navet à chef d'œuvre de puceau à proxénète, 1 h 30 de montagne russe, enivrée par son atmosphère onirique donnant la sensation de vivre chaque moment autant que Joël (Tom Cruise) se laisse aspirer au gré de son évolution.

L'air de rien, le film m'a transporté par sa musique, l'aura de Cruise à son plus jeune âge, des situations plus étranges que jamais, mais enseveli sous une tonne de clichés du teen movie idéal et une morale si malsaine ou bête que j'en viens à me demander où j'ai vraiment mis les pieds avec ce film.

C'est envoûtant pour chaque sens, certains tranchent vers le navet d'autres vers le chef-d'œuvre personnellement, je ne sais toujours pas par contre j'ai adoré et surtout gravé son image profondément au fond de moi.
Le vrai Tom à commencé sa carrière ici, un peu normal quand on voit comment il vole la vedette à l'ensemble du casting du haut de ses 21 ans.

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Le premier mot qui me vient à l'esprit est l'authenticité. Éclairage naturel, filmer à la pellicule, patience propre au film du genre japonais et costumes sans excès hollywoodien. 13 Assassins est un bel hommage au cinéma de Kurosawa et à la culture japonaise dans son ensemble, et cela, jusqu'au dernier tiers du film. À partir du début de celui-ci et pendant la majeur partie de l'affrontement final, le film part un peu dans tous les sens prenant même le contre-pied de ce qui avait réussi à établir jusqu'alors, avec une utilisation certe rare mais complètement raté de CGI et des explosions en tout genres qui tranchent radicalement avec les deux premiers tiers du film qui se voulaient peu tourné vers un cinéma spectacle.

Heureusement la fin du dernier tiers revient sur des bases plus saine et sur ce en quoi on était en droit d'attendre d'un vrai film de samurai.

13 Assassins reste cependant dans son ensemble un film assez rafraîchissant dans le paysage filmique japonais de ces dernières années, sans grande ambition, la faute à un budget ridicule de 6 millions de dollars, le résultat reste plutôt admirable et suffisamment marquant pour mériter une bonne note d’autant que certaines scènes sont d'une rare intensité visuelle.

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Pas grand chose à sauver dans ce Carpenter. Vide d'intérêt, l’heure et demi est interminable et surtout rythmé par des jump scares totalement ridicules et je viens clairement à me demander qui à réellement dirigé le film au point qu’on dirait un train fantôme pouet pouet des plus infantile.
Passer votre chemin.

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Une magnifique mise en image, des acteurs impeccables et surtout un concept de prendre à revers les attentes du spectateur juste parfait cependant et je suis le premier à le regretter je n'ai tout simplement pas rigolé quasi tout du long... d'où la note légèrement plus faible que la moyenne. Allez savoir pourquoi pourtant je suis friand de ce genre d'humour presque aussi absurde par moment qu'un OSS mais là ça n'a pas fonctionné dommage.