Journal JV 2023

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2 janvier

Un bon jeu de plateforme, fait peut-être un peu tard puisque je ne vois pas trop où est le génie. C'est très classique, même si bien foutu.

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3 janvier

Un travail impressionnant fait par un développeur solo. La dernière partie est selon moi plus faible que les 3 premiers chapitres, mais sinon l'ambiance est excellente.

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10 janvier

Très bien réalisé, mais quelques faiblesses : narration et dialogues envahissants, personnage secondaire à trimballer partout avec soi, ce qui casse le rythme.

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14 janvier

C'est Stalker + Escape from Tarkov en pve, et c'est très bien. Le jeu est vraiment difficile et exigeant, surtout au début.

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18 janvier

Un mauvais dungeon-crawler/rogue-like où l'on répète ad noseam le même chemin, encore et encore.

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24 janvier

Difficile de se faire une place après Binding of Isaac dans ce type de rogue-like. Undermine est l'un des seuls à réussir brillamment. C'est juste dommage que le développeur ne souhaite pas faire d'extension.

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28 janvier

Une extension sympathique pour être le décorateur d'intérieur le plus sadique de la planète.

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31 janvier

Un peu du gâchis, les développeurs ont fait le plus dur : de jolis graphismes, un gameplay solide, mais malheureusement le jeu pêche par sa répétitivité, son manque de level design et surtout par son écriture de très mauvaise qualité.

Il serait temps d'engager un scénariste pour refaire tous les dialogues.

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15 février

Un FE sympa avec de bonnes mécaniques de jeu, malheureusement l'histoire est nulle à chier (vraiment, c'est affligeant) et la difficulté en dents de scie n'est pas très agréable (trop facile jusqu'au chapitre 16, ensuite ça devient trop difficile).

J'ai abandonné au chapitre 17 au bout de 35 heures de jeu, mais je compte reprendre dès que j'en aurai la motivation.

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6 mars

Le seul intérêt du jeu : une cité moyen-orientale mouvante, ça change un peu d'ambiance par rapport aux éternels jeux moyenâgeux/antiques européens, mais malheureusement le jeu est bien trop basique et court (même pas 10 heures pour le terminer).

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7 mars

Un petit jeu court et sympathique, mais pas bien captivant sur la durée.

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23 mars

Bien loin d’être bancal (« jank ») comme j’ai pu le lire un peu partout, Northern Journey est un jeu certes très étrange, mais parfaitement cohérent dans son univers et son gameplay.

C’est une aventure horrifique intense et hallucinante, avec de très bonnes trouvailles de mises en scène. Pas mal de moments marquants (le fond du lac, la forêt des tiques géantes, la poursuite dans le marais…), une progression fluide où l’on ne tourne jamais en rond pour chercher un objet.

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23 mars

Abandonné. J'y ai joué quelques heures en mars. Le jeu n'est pas intéressant. Un truc qui m'a fait éclater de rire, c'est que l'héroïne se fait arracher un oeil et juste après quand on sauvegarde elle dit un truc du style "cher journal, oh là là cet endroit est vraiment pas cool", ou une bêtise du style, ça va elle n'a pas trop l'air choquée.

C'est très mal écrit et c'est banal à en pleurer au niveau gameplay et DA.

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1er avril

Allez, encore une partie. Allez, encore une partie. x 10.

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12 avril

Une physique très impressionnante et crédible, avec de nombreux véhicules différents (sans compter les mods). C'est très bien, mais sans doute un peu trop bac à sable pour le moment. Un mode carrière devrait arriver prochainement, j'ai hâte de voir ça.

Je vous déconseille cependant d'y jouer si vous n'avez pas de volant, parce que les contrôles manette ou clavier sont infâmes.

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16 avril

Le meilleur de tous les Souls. En fait, je trouve que From Software s'améliore à chaque nouveau jeu. Si je devais donner un ordre de préférence, ce serait donc : Demon's Souls < DS1 < DS 2 < DS 3.

J'y joue seulement en 2023 et pourtant Dark Souls III est toujours aussi beau, grâce à sa DA de folie.

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22 avril

Un jeu bourrin et étonnamment assez réaliste de destruction de bagnoles.

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22 avril

Pas facile, la sœur Friede. Fallait pas lui laisser un seul temps mort pour qu'elle ne fasse pas son horrible attaque quand elle devient invisible.

À part ce boss très bien fait, le DLC est quand même très court et je ne l'ai pas trouvé très intéressant.

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27 avril

Le dernier combat, contre Gael, est juste fantastique.

Ringed City est un très bonne conclusion à cette saga, et j'arrive à lui pardonner des choses que j'aime moins : les passages avec les anges insupportables, ou avec le type qui invoque les archers, frustrants pour pas grand-chose. Finalement, le plus dur dans ce DLC est la progression entre les zones plus que les boss.

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15 mai

Meilleur jeu de 2017.

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2 juin

Un nouveau Survivors-like, très bon mélange entre Diablo et Vampire Survivors. Halls of Torment propose un gameplay plus étoffé et une meilleure DA que VS, il manque juste un peu de contenu pour le moment.

Sans doute ce qui se fait de mieux parmi tous les clones de VS.

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6 juin

Fastidieux, back tracking incessant, mécaniques cryptiques et jamais expliquées (comme dans la plupart des jeux Atlus), n'y jouez pas. La proposition est intéressante, l'exécution est bancale et a très mal vieillie.

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13 juin

Sympa mais très court (2h).

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1er juillet

J'y ai joué une vingtaine d'heures, je ne pense pas que j'y retoucherai.

Certes le jeu est joli et la DA est excellente, mais c'est à peu près les seuls points positifs que je retiens de mon expérience de jeu.

Je n'ai pas trouvé l'écriture formidable, contrairement à ce que j'ai pu lire, notamment chez CanardPC.

Le plus merdique reste quand même la conduite des véhicules, c'est atroce. Tout comme le gameplay en général, les combats sont nuls, y a tout un tas de sous systèmes rpg-esques inutiles, où faut se faire chier à changer d'arme tout le temps, à mettre des implants qui donneront +10 % de puissance dans je sais pas quoi. Pitié, que c'est chiant.

Et le problème c'est que ça casse l'immersion, on a un monde vraiment beau et réaliste, et à côté on conduit des voitures en carton et on tire des balles en mousse sur les ennemis tout en changeant de fringues et d'armes toutes les cinq minutes.

Bref, je me suis fait chier sur Cyberpunk.

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13 juillet

Un mauvais VS-like, rien d'autre à dire.

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20 juillet

Très bon remake, mais j'ai quelques reproches. On sent un certain lissage par rapport au jeu d'origine : les musiques sont inférieures (trop convenues, trop proches d'un blockbuster ordinaire), les personnages moins charismatiques (sauf Ada), le gameplay est standard pour un jeu de 2023, y a pas vraiment d'originalité, la mécanique d'infiltration trop peu approfondie et donc inutile.

Le jeu est très propre, peut-être trop. Disons que ça ne tente rien de novateur, sans doute pour ne pas froisser les fans. Tellement fidèle que la dernière partie du jeu (sur l'île) est toujours aussi faible, peut-être même encore plus rushée dans ce remake.

Ca reste globalement une expérience très agréable pour un triple A.

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24 juillet

Vous aimez Factorio ou Satisfactory ? Eh bien... continuez d'y jouer, c'est mieux que Captain of Industry.

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3 août

Pseudoregalia est l’un des meilleurs metroidvania 3D, et c'est peut-être le meilleur jeu indé de l'année.

Très fluide, il se démarque surtout par le fait qu'il n'y a pas besoin d'un pouvoir spécifique pour accéder à une nouvelle zone. C'est la maîtrise de chaque nouveau pouvoir qui vous fait comprendre que certains obstacles sont franchissables en l’exécutant parfaitement.

Et ça, franchement c'est fort, car ça corrige selon moi le pire défaut du Metroidvania où il faut faire sans arrêt du backtracking, jusqu'à avoir LA technique utile.

Non seulement Pseudoregalia est très bon dans son level et game design, mais il possède une DA très marquée qui ravira tout nostalgique de la N64. Que ce soit dans ses graphismes ou sa musique, tout rappelle l’ère 64.

Mais là où ça pourrait être un simple appât pour nostalgiques, Pseudoregalia ne garde que nos bons souvenirs de la N64. Exit, donc, le brouillard à 5 mètres, la caméra calamiteuse, la framerate aux fraises. Non, tout est résolument moderne. Les déplacements et autres cabrioles sont très fluides et c’est vraiment jouissif de parcourir le monde avec tout un tas de techniques à maîtriser pour aller toujours plus vite.

Maintenant, Pseudoregalia possède un très gros défaut (qui sera corrigé d’ici peu, selon le développeur) : il n’y a pas de carte. Et si c’est déjà compliqué sans carte dans un environnement 2D, je ne vous dis pas l’enfer que c’est en 3D, surtout que Pseudoregalia n’est pas avare en chemins multiples et passages secrets.

En l’état, mon cerveau n’est pas capable de mémoriser correctement tous ces espaces 3D, donc j’abandonne provisoirement tant qu’il n’y aura pas une carte.

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7 août

Un TD mignon et sympathique, mais qui n'invente rien et est dispensable.

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17 août

Une belle DA, un gameplay sympa, mais le jeu est trop répétitif et court, même pour un VS-like.