Juillet 2020 / Cinéma

Annotation :

Remake de "La Fureur de vaincre", où l'énergie dandy de Bruce Lee est substituée par la virtuosité sèche de Jet Li, le face-à-face Chine / Japon qui s'entendait en 72 à des côtés un peu trop xénophobes pour les 90s.

Vu en DVD emprunté à la BM

Annotation :

2ème fois que je vois ce petit film de Curtiz. Toujours aussi étonnant dans sa façon de commencer comme une pièce de boulevard aux accents féministes et de se terminer avec un happy ending hollywoodien ultra canonique.

Vu au Lumière Terreaux avec Yuri

Annotation :

Tenant l'équilibre entre illustrations pop, avec extraits de film, et défilé d'intervenants experts, la grande force du film tient à rendre clairvoyant les mécanismes historiques et actuels du capitalisme et de ses impacts socio-politiques.

Vu au Lumière Bellecour

Annotation :

Le scénario, aux lectures multiples par rapport à l'actu, rendrait le film passionnant si tout n'était pas plombé par une photo qui élève à peine la mise en scène du niveau TVfilm de luxe et par un Dujardin tout en sous-jeu maniéré.

Vu en DVD emprunté à la BM

Annotation :

Les frottements de la chair et de la carrosserie, dans un tableau où la tôle se froisse autant que les corps frémissent, laisse percer à travers sa perfection d'apparat des plaies béantes dans lesquels on ne peut que s'y plonger avec délice.

Vu à UGC Ciné-Cité Les Halles avec Maxime

Annotation :

Court-métrage Disney de mon enfance, cette illustration de la célèbre fable de la Fontaine est dans ce Silly Symphonies un prétexte à dynamiser les animaux, à donner du rythme et de l'allant, dans une chorégraphie rythmée des corps.

Vu sur Disney+

Annotation :

En quatre après-midi d’automne, et jalonné par une musique qui loue avec spleen mais entrain les jours anciens. Chacun de ses personnages est confronté aux autres selon une logique qui a l’apparence joyeuse du hasard.

Vu en DVD avec Yoo-ran

Annotation :

À la croisée de la photo de mode et de l'épiphanie à la Malick, ce court-métrage ne tient pas toutes ses promesses. Il déplie un éventail d'une masculinité qui sort des carcans du genre, sans assoir clairement le
champs de ces possibles.

Vu sur Mubi

Annotation :

Plongée dans une très belle photo signée Hichame Alaouié, cette fable d'eros & thanatos, scindant le film en deux émotions fortes, pioche du côté de Rohmer mais avoisine plus les artifices de Pinoteau (tendance "La Boom").

Vu au Lumière Terreaux avec Alexia