Kinuyo Tanaka - Réalisatrice

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1/6 Rétrospective Tanaka.
En avant-première, copie restaurée.
Avril 2022 pour la sortie en salles (Février vraisemblablement).

Annotation :

2/6
Première grosse production de Kinuyo Tanaka, soutenue par la Daiei, qui relate une partie des mémoires de Hiro Saga, jeune japonaise devenue princesse mandchoue par la force du destin. Mariée dans les années 30 au frère de l'empereur du Mandchoukouo, sur ordre d'une armée impériale japonaise alors à l'apogée de sa puissance politique, et forcée de fuir face à l'avancée de l'Armée Rouge soviétique lors de la chute de cet État fantoche et la retraite des troupes japonaises de Mandchourie en 1945.
Le rôle est brillamment interprété par la star Machiko Kyo.

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3/6
Profondément magnifique. Une prostituée repentie comme incarnation de la pureté dans une société qui s'avère souillée jusqu'à la moelle.
Comme en miroir inversé des Femmes de la nuit (1948) du mentor ami-ennemi, j'ai nommé Mizoguchi.
Le chef d'œuvre de Tanaka il est bien là. Y a pas à tergiverser.

Annotation :

4/6
Fulgurances de mise en scène, petit caméo des familles et une fin un chouia abrupte : coup d'envoi insolite.

Annotation :

5/6
Sur un scénario original d'Ozu, il m'a pas fallu bien longtemps pour le comprendre.