L’ascension du néophyte cinéphile (2020)

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5 Janvier: 7/10

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30 Janvier:7/10

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2 Février: 9/10

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9 Février: 5/10
Alors j'ai pas mal de problèmes avec ce film. Si l'on en croit les critiques dithyrambiques ce serait une prouesse technique du à son plan séquence qui s'étale tout le long du film. Problème étant que la technique du film entraîne irrémédiablement un autre problème, à savoir celui de la cohérence . J'ai déjà du mal à croire que l'on envoie deux jeunes soldats seulement pour sauver la vie de tout un régiment mais soit; en revanche tu ne me feras pas croire qu'en 3 minutes de trajet à camion vous avez atteint la ville censée être à plusieurs kilomètres, ni que les allemands étaient tous des gros connards à cette époque mais pas les gentils anglais, ni qu'en tombant dans une rivière le protagoniste arrives pile au régiment qu'il cherchais et parviens à donner la lettre du général toute sèche comme si elle était imperméable. En privilégiant le technique aux dépens du scénario on se retrouve avec un film qui ne brille que par son aspect technique ce qui entraîne des facilités et incohérences aberrantes pour se faire. J'ai pas fais la première guerre mondiale ni une prepa histoire hein, mais je suis quasi persuadé que la première guerre mondiale c'était pas gentil anglais contre méchant Allemand. La comparaison avec le film Birdman d'Iñárritu est à la fois tentante et hors de propos en ce qui concerne l'utilisation des plans séquences. Dans Birdman, les plans séquences servent le propos symboliquement en donnant de la théatralité au film dont toute l'histoire repose sur une piece de théatre; cette théatralité permet ainsi de mêler la fiction au réel. Or dans 1917, à quoi sert le plan sequence?à donner un aspect irréel à la guerre?à quoi bon? C'est presque antinomique a ce niveau là. Je me doute que ce plan-sequences est fait pour qu'on puisse suivre la progression pas à pas des protagonistes à travers les tranchées et les décombres des villes. Seulement, cette progression aurait été interessante à suivre si le film s'encrait un minimum dans une réalité tangible. À force de rappeler indirectement au spectateur par le biais de son plan sequence ou de ses incoherénces que ce sont des acteurs qui jouent et non des soldats de la premiere guerre mondiale qui se battent, on finit par ne plus s'investir dans le film. Tout est trop fictionnel et improbable pour un film historique.

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13 Février: 8/10
Les Enfants du temps c'est un peu tout ce que j'aime dans la japanimation: des personnages naïfs et attachants dont se dégage l'extravagance propre à l'animation japonaise. Certes, le film exagère beaucoup et force sur les émotions de ses personnages, mais c'est le genre de critères que je rangerais dans les points positifs sur un tel médias. C'est cette exagération qui insuffle de la puissance aux scènes fortes et qui nous attache aux personnages. L'animation est assez sublime elle aussi, ça faisait longtemps une j'avais pas vu quelque chose d'aussi propre et techniquement parfait dans le domaine de la japanimation. Je ne dis pas non plus que le film est la perfection incarné, il y a beaucoup de facilités et de trous dans le scénario qui rendent le film très improbable si on le transpose dans notre réalité; mais c'est peut être ça qui en fait sa force au final, ce film c'est une ode à une jeunesse et un univers idéalisé, celui de la japanimation.

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8 Mars: 6/10

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22 Mars: 1/10 :Welcome to Nanarland 1
Un chef d’œuvre sortit de la tête d'un génie intemporelle à savoir BHL. Le jour et la nuit est un conte philosophique qui nous happe et nous transporte dans les hautes sphères de l'intellect humain en nous ouvrant à une multitude de possibilités que nous n'aurions pu soupçonner. On retiendra notamment le jeu d'acteur sulfureux de la séduisante Arielle Dombasle ainsi que le fulgurant Karl Zéro qui ferait pâlir Henry Fonda. Le monologue du random est d'une justesse et d'une magnificence inégalable. Et puis la fin et les adieux déchirants qui me chamboulèrent à vie.

Non en fait c'est nul.

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22 Mars: 1/10 Welcome to Nanarland 2

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31 Mars: 8/10

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1er Avril: 7/10

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2 Avril: 2/10 Welcome to Nanarland 3
Le pire c'est qu'il devait même pas faire partie des films nanars de cette année...

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4 Avril : 6/10

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5 Avril: 1/10Welcome to Nanarland 4

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7 Avril:5/10

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8 Avril: 6/10

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9 Avril:4/10

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10 Avril: 8/10

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11 Avril:7/10

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13 Avril: 7/10

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18 Avril: 6/10

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19 Avril: 4/10

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6 Mai: 7/10

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13 Mai: 3/10
Promare est à l'image du studio Trigger, un studio qui a certes une animation relativement bonne mais qui constitue malheureusement le seul et unique point fort du film car soyons honnêtes, si vous avez déjà vu Gurren Lagann ou Kill la Kill vous avez déjà vu Promare tant les trois se ressemblent sur tout les points à certains petits détails près qui relèguent Promare derrière ses deux confrères.
La particularité de cette nouvelle production d'Imaishi est la CGI (ne me tapez pas dessus les experts de l'animation) qui se trouve au cœur de son esthétique. Si je trouvais Kill la Kill et Gurren Lagann toujours cohérents dans leur bordelisme, j'ai trouvé Promare très brouillon et parfois incompréhensible. La CGI rend l'eau, le feu et la glace presque indissociables du reste tant leurs couleurs sont criardes et ne sont en fait qu'un ensemble de "cubes" qui ont la même structures que les solides qu'on voit à l'écran, ce qui les rend presque indissociables du reste par moment.
En ce qui concerne les combats, c'est du Trigger tout craché à ça près que les enjeux sont cette fois ci minimisés, les personnages n'étant que très peu développés, on se fiche complétement si l'un d'entre eux meurt ou si le méchant triomphe d'où l’intérêt du format de série pour les productions Gainax et Trigger qui développaient bien plus le reste. Les musiques sont relativement bonnes cela dit et donnent un rythme entrainant aux combats qui sans cela auraient été très fades à mon avis.
Je pourrai parler pendant longtemps de ce film en mal, entre le rythme effréné qui donne la nausée, mes tympans explosés par les cris d'ahuri des personnages principaux ou encore les thématiques qui tombent à l'eau à cause de l'univers complétement loufoque qui les contextualise ; mais on peut résumer ça à une grosse critique: le film en fait des caisses tout le temps… et c'est insupportable.

Vous adulez Studio Trigger au point de vouer un culte à la daubasse Ninja Slayer the animation, dans ce cas vous avez probablement déjà acheté le film en blu-ray que vous mettrez à coté de votre autel à l'effigie du bonhomme et tout ce que je dis ne vous sert probablement à rien.
Vous n'aimez pas Imaishi et ses montées de testostérones lors des scènes de combats; spoil:Promare contient tout ce que vous détestez.
Vous ne savez pas quoi pensez de ce studio et vous aimeriez vous penchez sur son cas un peu plus en profondeur? Dans ce cas regardez Kill la Kill a cote duquel Promare fait pâle figure.

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15 Mai: 5/10

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18 Mai: 3/10

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21 Mai: 6/10
Un début excellent qui se retrouvera rapidement éclipsé par des ellipses ridiculement longues qui empêchent un développement correct du scenario et des relations entre les personnages. On se retrouve donc avec un dernier quart du film qui joue la carte de l'émotion sur des éléments à peine introduits. Avec plus de temps pour développer son univers, ses personnages et surtout leur évolutions les scènes d'émotion de la fin auraient pu faire mouche.

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24 Mai: 8/10

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25 Mai: 8/10

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26 Mai: 8/10

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28 Mai: 8/10