L'indispensable Tom Waits, chronologiquement...

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Morceau qui fit la fortune de Tom Waits... grâce à la reprise des Eagles, qu'il n'a cessé de critiquer !

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"Waltzing Matilda", "faire valser Matilda", est le titre d'une chanson folklorique irlandaise et une expression qui signifie être toujours sur la route. Matilda était le nom que donnaient les vagabonds à leur sac à dos.

L'une des rares chansons du répertoire post-Swordfish que Tom Waits chante encore sur scène.

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En 1988, la marque de chips Frito-Lay utilisa cette chanson pour un spot de publicité sans demander l'avis de son auteur (ultra réfactaire à la publicité !!!) : Tom Waits gagna son procès (en 92 !) et empocha plus d'argent que ne lui avait apporté jusque-là ses albums (2,6 millions de dollars).

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Le Jitterbug Boy de la chanson serait apparemment Chuck E. Weiss, qui avait toujours vu, entendu, fait plus de choses que les autres...

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Tom Waits joue son personnage jusqu'au bout : la chanson est chanté comme si il était bourré... mais c'est le piano qui l'est...

Le musicien blâme son piano pour cacher son alcoolisme, sa dernière excuse pour se mentir à lui-même.

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Première mention de la pluie sur "The Nickle", qui est une rue de Los Angeles pleine de sans-abris... les "Rain Dogs"...

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Le Romeo de l'histoire serait le véritable membre d'un gang mexicain de Los Angeles.

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Enregistré pour le film "Paradise Alley" de Silverster Stallone, dans lequel Tom Waits fait brièvement ses débuts d'acteur !

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Tom Waits passa une soirée à entendre une serveuse se plaindre et se plaindre encore, en bas de chez lui. Un client avait déchiré sa robe, qui lui avait couté...

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Une magnifique chanson autobiographique...

"J'ai grandi dans une rue qui s'appellait Kentucky Avenue, à Whittier en Californie. Mon père était prof à l'école de Montebello. J'avais l'habitude de réparer les bicyclettes du coin. J'étais comme le petit mécanicien du quartier. Il y avait un gars qui s'appellait Joey Navinski qui jouait du trombone et Dickie Faulkner qui avait toujours la goute au nez. Et il y avait une femme qui s'appellait madame Storm. Elle vivait avec sa soeur. Elle avait l'habitude de s'assoir dans la cuisine avec sa fenêtre ouverte avec un fusil à sa portée... Alors on faisait des détours."

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Tom Waits a assisté à la crise cardiaque d'une demoiselle dans le hall d'un hôtel. Elle s'est relevé quand quelqu'un lui a proposé de la soigner en lui offrant un verre...

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"Je n'aurais jamais imaginé chanter de "sha-la-la" un jour, confessait Tom Waits. C'est ma première expérience de "sha-la-la", un peu à la Drifters. Au niveau paroles, j'ai essayé d'aller droit au but : un mec qui remonte une rue pour aller voir sa nana."

La chanson est dédié à Kathleen Brennan, qui habitait dans le New Jersey.

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La chanson parle du gangster Bugsy Siegel.

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Symboliquement, le morceau de la rupture dans le style Tom Waits.

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Tom Waits se sépare de son producteur Bones Howe et décide de gérer sa propre carrière (avec l'aide de Kathleen Brennan, qu'il vient d'épouser). La musicalité avant-gardiste de cette histoire de nains mutants aura déconcerté fans et producteurs, après 10 ans d'un R&B jazzy sophistiqué... Le Marimba et les percussions en tout genre font leur entrée chez l'artiste.