La liste à Marc

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La dernière fois que je me suis endormi devant un film, j'avais tous mes cheveux et pas de poils au bide - jusqu'à cette aventure pathétique de l'homme-mouche ! Même ma belle-mère n'a pas voulu terminer cette purge sauce fromage grand choix, j'ai dû l'emmener au H&M pour faire diversion... à ne pas manquer si vous avez le rateau qui colle au bac à sable.

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J'ai coloré mon slop au premier décollage d'ornithoptère ! Le pied pour un vieux con de ma trempe de voir enfin une adaptation réussie de la bible d'Herbert - tous ces jeunes qui s'empoignent le balai en regardant Netflix feraient bien de sortir leurs huitres du baluchon et de retourner au cinéma pelleter du pop-corn (sucré bien sûr) devant ce chef d'oeuvre !

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A part le slibard cuirassé de Sting et une chevauchée de ver qui fait pleurer ta belle-mère, pas grand chose à se mettre sous la dent dans cette adaptation perchée d'un monument. La détresse de Lynch pendant la réalisation de ce nanar en phase terminale se voit comme le nez d'Elephant-Man (j'ai pas pu m'en empêcher...) au milieu de sa tronche zinguée.

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Ca déménage sous la couette de sa Majesté ! Film bien couillu qui a pas peur d'aligner un casting bien bandant (oups) et de sortir l'artillerie lourde pour épater les badauds tout juste sortis de "Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu partie 6". J'avais pas été aussi épaté par un film français depuis le Petit Baigneur de Louis de Funes(te), c'est dire !

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Matt: un jeune réal qui a sa caméra dans une main et une paire de ballons ronds comme la Lune dans l'autre. Après nous avoir fait aimer les singes et leur Planète (oui oui), il nous régale avec un Batman du style veine qui palpite au milieu du front (et pas ailleurs bande de coquins !). Dommage qu'au milieu des paires de baffe de l'homme chauve-souris on perde notre temps avec les énigmes du Riddler qui sont dignes de la foire du village le dimanche sur la grand-place de Béhoust.

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Un film qui donne envie de tisser ! Même si la bande-son aurait pu être plus à mon goût (Jean-Louis Aubert tu nous manques !), on est bien obligés de rendre les armes devant l'étalage de fruits confits sortis du four que partagent avec nous les réalisateurs de ce dessin-animé. Pendant un moment je me suis senti comme un jeune premier accompagnant sa belle-mère à la première du Roi Lion !

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J'ai pas tout compris à cet ovni sorti du Carlos d'un one-hit wonder, et les masques de lapin je les préfère au Playboy Mansion (vous voyez l'idée ?). Mais bon, j'ai plus 20 ans, et me palucher devant ce scénar imbitable ça m'a rappelé les grandes heures de Tonton Lynch et sa palanquées de persos improbables... alors je valide !

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Tonton Lynch à la rescousse ! Punaise le pied qu'on prend devant ce film, et je dis pas ça juste parce que les actrices principales sont un régal (allez, je le dis un peu quand même !) - pendant 2h30 l'artiste nous tricote un pull en laine qui gratte, du genre que t'offre mamie, mais qui tient chaud ! A voir et revoir, de préférence avec un bon cru de Bordeaux (bah quoi, j'ai fait 150k cette année, faut bien les boire)

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Putain j'ai joui ! Alors comme ça Adam Sandler ne sait pas que faire le pitre dans des comédies en streaming sur Netfroc ? Le mec nous balade d'aventure en aventure avec la grâce d'un trapéziste lesté au mazout, et on en redemande. Des gangsters en goguette façon Papa Ventura (eh oui, j'ai mes classiques) version américaine: où qu'on signe ?

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Une belle daube comme on les fait d'habitude plutôt en France: Moon nous montre la face cachée de la Lune, et elle est bien ridée, style belle-mère qui crame au soleil. Ce flop raconte l'histoire sans intérêt d'un gus lunaire qui découvre qu'il a des frères (quoi ?) et nous arrose de poncifs vus et revus, de quoi faire déborder Ariane 5....

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Tout est dans le titre du film, Viggo casse des crânes et ça déménage façon camion-benne. Calbuts blancs déconseillés, vous risqueriez de commettre un crime qui part pas au lavage !

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Montrez cette bouse aux jeunes cons qui vénèrent Pedro Pascal, ça les calmera - désolé je suis plus Papa Ventura que prince Oberyn, eh oui... Le premier volet était déjà pas fameux, mais alors dans celui là on se demande ce qui a bien pu passer entre les deux soucoupes du producteur pour que son poulet ponde un navet pareil. Sans rancune, mais j'irai pas voir le 3 !

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Rocky, ça reste Rocky... les "producteurs" Hollywoodien (mais qu'est-ce qu'ils produisent ?) ont beau diluer tant qu'ils veulent le personnage dans une franchise sans queue ni tête, tout est dans Rocky ! Pourtant pas mon style de de vénérer des étalons italiens, mais on se refait pas... :) Allez, on se revoit pour Creed 4: la Revanche (j'y crois !)

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Des profs de fac qui passent leur journée à se bourrer la gueule.... j'ai l'impression qu'on me décrit mes études à la fac de Clermont ! Mais comme disait mamie, les apparences sont parfois trompeuses... Un sacré film qui parle d'amitié, et d'alcool. C'est moi ou il fait chaud ce soir ? Pastis ?

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L'idée a beau être complètement timbrée (faire exploser le soleil ? ben voyons, pourquoi pas y envoyer belle-maman), la réalisation est tellement bonne qu'on se laisse prendre au jeu :) Moi qui suis plutôt du genre crème solaire écran total: quel kif ! un film à tartiner et retartiner sur son écran OLED (c'est la période des bonus...)

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Une question me taraude... pourquoi Kong et Godzilla voudraient-ils s'empoigner la gueule façon foire des vins de Brives ? Pour montrer qui est le plus fort, pardi :) C'est mascu et testostéroné à souhait, donc j'adore (PS: je suis un vieux con) - dommage que l'histoire soit bonne à endormir une marmotte empaillée...