LA SEXUALITÉ TRANSGRESSIVE au cinéma

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Maniaque sexuel tueur de petites filles. L'homme se réalise sexuellement à travers la violence et le meurtre. Tuer reste la transgression ultime. L'horreur est accentuée par le fait que la victime soit une enfant (symbolisant l'innocence).
Sans doute le premier film (à vérifier) sur les déviances sexuelles.

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Zoophilie suggérée (amour malheureusement impossible entre la Belle et la Bête ! Question de taille...)

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Tératophilie (qui aime les monstres) : les amours impossibles entre un monstre poilu à tête de chat et une jeune fille...

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Viol et ses conséquences psychologiques.
Merci à Anilegna

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Relation interraciale ("le film fit scandale à l'époque").
Merci à Anilegna

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Homosexualité sous-jacente (à une époque où cela tombait sous le coup de la censure aux Etats-Unis - le Code Hays). Tony Curtis et Jack Lemmon, travestis en femmes, jouent comme s'ils formaient un vieux couple homosexuel. On reste cependant dans le registre comique, ce qui atténue le côté transgressif du film et rend l'homosexualité acceptable par le public américain, alors très majoritairement homophobe.

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Homosexualité sous-jacente (à une époque où cela tombait sous le coup de la censure aux Etats-Unis - le Code Hays). La scène de retrouvailles entre Ben-Hur et Messala a été scénarisée comme une scène entre deux amants. L’acteur Stephen Boyd (Messala), au courant de cette double lecture, joue en lançant des regards langoureux à Charlton Heston, qui lui, n'était pas dans la confidence !

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Homosexualité et pédophilie suggérée (merci à Cro_Magnon)

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Viol. Les relations sexuelles forcées sont un thème récurrent du cinéma.

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Voyeurisme mortifère (psychopathe tueur de femmes)

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Psychopathe tueur de femme. L'homme se réalise sexuellement à travers la violence et le meurtre. Tuer reste la transgression ultime.

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Une jeune servante, amoureuse de son employeur, détruit la cellule familiale par un jeu pervers.
Le film scandalisa toute la Corée à sa sortie.

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Détournement de mineure.

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Sado-masochisme

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Amours lesbiens (à une époque où c'était mal vu par la société japonaise).

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Fétichisme (chaussures de femmes) ; viol et meurtre d'une petite fille

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Tentative de viol par deux soldats français en juin 1940 (poche de Dunkerque). Scène qui souligne la barbarie des hommes plongés dans la violence de la guerre.

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Psychopathe nymphomaniaque.
La femme - surnmommée la "mante religieuse" - enfermée et traitée au dispensaire, pour avoir tué trois de ses serviteurs après avoir couché avec eux.

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Séquestration.

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Sadisme (employée ligotée, séquestrée, puis fouettée et violée, par son patron).
La société japonaise est une société en proie à la frustration sexuelle (surtout pour les hommes). Du coup, le fantasme sous toutes ses formes prend le relais et le cinéma nippon est le reflet de cette réalité sociale.

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Prostitution volontaire. Film du coup scandaleux, puisque la prostituée (interprétée par Catherine Deneuve) est une bourgeoise sans soucis d'argent, qui se prostitue, non par nécessité, mais par désoeuvrement et pour assouvir un fantasme.

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Esclave sexuelle.

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Traite entre autre (comme le roman de Diderot) de l'homosexualité au Couvent. J'imagine que cela a du faire scandale chez les catholiques à l'époque !

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Homosexualité aux dents pointues (le fils du comte Dracula est amoureux du personnage interprété par Polanski).

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Amour interracial (à une époque où cela choquait la majeure partie des Américains)

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Liaison entre un jeune homme et une femme mariée plus âgée (cougar).

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Pulsions mortifères (psychopathe tueur de femmes)

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Relations malsaines entre un jeune homme et tous les membres d'une même famille