Le père dû

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L'Archétype. Ses parents sont morts alors qu'il était jeune. La figure paternelle qui remplace les originaux reste un employé qui reprend sagement sa place d'employé qu'on peut ignorer au besoin par la suite. Et naturellement Batman se place au-dessus de toute autorité.

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Autre exemple type, qui n'a pas connu ses parents tant que ça et dont la figure d'autorité remplaçante meurt par sa faute juste après un conflit moral entre les deux.

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Exemple anecdotique dont le père meurt sous ses yeux et qui se retrouve à devoir gérer la toute-puissance ou presque.

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Figure d'autorité tuée par le fils. Classique. Maman est évacuée en trois secondes, toute puissance en sus.

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Festival de jeunes rejetés par leurs parents. De la méchante figure d'autorité remplaçante dans l'un des épisodes à l'un des jeunes : "Tu es un dieu, ceux qui disent le contraire sont des fous".

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L'autre Archétype qui déchire avec le fils qui cause la mort de la figure d'Autorité, qui doit finalement s'affranchir de son double maléfique pour prendre la place de son père à la tête de tout le royaume. Et ouais.

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Le fils ne connait pas son père, survit à la mort du père de remplacement (deux fois) ..

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.. finit par découvrir que son père est vivant et qu'il devra l'affronter ..

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.. et finit par forcer son père biologique à choisir entre vivre ou mourir pour sauver son fils.

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Le héros dont le père n'est pas seulement inconnu, il n'existe pas. Le père de substitut meurt et on en trouve un autre ..

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.. dont il se détache progressivement, alors que sa mère meurt ..

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.. pour finalement affronter ce père de substitut dans un duel à mort qui se conclura dans le film suivant.

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Les parents sont rayés de la carte, mais les figures de remplacement sont légions. L'exemple est néanmoins atténué par la suite puisque le personnage s'affranchit de la plupart des modèles (quoique fondamentalement via le support indéfectible du meilleur ami)

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Le père insignifiant par excellence, rapidement mis en opposition et totalement effacé par le protecteur de substitut. S'agissant d'une relation père-fille, pas étonnant qu'il s'agisse immédiatement d'une relation amoureuse et même de LA relation amoureuse par excellence (ce n'est même pas une question de sentiments, le mot fascination devrait être substitué par filiation mais le côté incestueux ferait un peu mal) ...

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.. sauf qu'on va encore plus loin avec le loup-garou à la tête d'alpagua qui après avoir dragué maman, découvre lui aussi son lien de filiation avec la fille de celle-ci. Ramassez votre vomi s'il vous plait.

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Père de substitut pour bébé éprouvette et conflit fatal avec sa progéniture spirituelle pour celui-ci lors de l'émancipation de celle-là. Classique.

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La, on pourrait penser que non, puisque papa est vivant et maman morte. Le chemin pour s'affranchir se fait sans drame familial ..

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.. sauf que par la suite la situation s'inverse dramatiquement pour finir dans le schéma classique d'opposition à l'autorité avec les conséquences habituelles. Un père mort et un enfant grandit.

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L'orphelin qui grandit suite à sa rencontre avec la figure d'autorité de substitution ..

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Personne n'a de parents dans ce film, sauf la fille qui n'a que sa mère, jusqu'à ce que, surprise, on apprenne que son père était ----. Elle s'attache à la même époque au superhéro le plus falot de l'univers dont le père de substitution meurt pendant le film. Et encore, on a pas parlé des origines de Rorschak.

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Là on cherche clairement la merde avec un père qui sacrifie tout pour que son fils survive. Ça tombe bien, ça en fait un dieu en suspens avec l'aide de la figure de substitut qui va, devinez quoi ...

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Père falot et père viril mais mort sont à la base d'un duo improbable mais 'fraternel' ?

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Jusqu'à ce que l'autre orphelin ne tente de se venger.

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Père inconnu et figure de substitution vite éliminée au début du film pour être remplacées par un pirate qui a servit de modèle déviant avant d'être bien entendu trahit pour que fiston puisse trouver sa place (en porte à faux avec l'autorité naturellement) dans le monde.

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Vrais et faux pères finissent par régler leurs comptes à distance par l'intermédiaire de l'héroïne dont les parents ont été tués, permettant à l'autre orphelin de s'affranchir enfin de tout ce lourd héritage ... en flinguant une autre figure d'autorité. Et ouais.

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Fantastique ! Père mort et remplacé par un oncle et sa clique, qui ne comptent finalement aucunement puisque tout se joue en vertu de l'ADN de l'orpheline qui peut alors s'affranchir de l'humanité toute entière pour mieux la sauver (enfin, via son mec mais c'est une autre histoire).

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Quand tout le monde est orphelin, la gestion de conflit et l'identification prennent beaucoup de place dans les conversations.

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Un père mort en héro et un fils en rébellion contre tout, versus un rival au père sévère qui joue à la lettre selon les règles, limite phase anale.

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Les orphelins sont les psychopathes les plus fonctionnels, c'est bien connu ? Mais l'évocation de leurs parents les rendent éperdument amoureux. C'est comme ça.

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L'ultime fantasme du type : l'orphelin révolté qui retrouve papa, ne s'affranchit d'aucune figure d'autorité sinon en surface et ne revient qu'à moitié avec la fille. Troublant.