Le top des séries

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Parce que la vie, la mort, qu'Alan Ball a fait le mélange parfait entre humour et drame. Ce casting, ces personnages devenus membres de notre famille. À tous.

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La construction du récit impériale, le propos socio-politique à chaque saison, cette gamme de personnages, la contemplation du quotidien de chaque sphère. Une série exigeante, universelle, humaine.

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La série qui joue sur des registres multiples, pour "conter" le drame tragique d'une jeune femme. Une lutte entre le bien et le mal passionnante, terrifiante.

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Le visual storytelling en plein centre de Better Call Saul : tout a un sens, rien n'est précipité pour narrer cette progression vers le chaos des différentes trajectoires. Et... jusqu'à ce retournement inattendu puis logique, le détour vers le mélodrame. Une histoire d'amour, et de pardon.

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La quatrième a dépassé toutes mes attentes sur le show, Esmail élève dans son dernier acte les enjeux d'action/thriller psychologique à ceux de la condition humaine. La créativité est hors-normes, formellement évidemment, mais que dire de la cohérence et la qualité d'écriture de l'ensemble ?

Le "finale" est majestueux au sens où il ne ramène pas tous les personnages de la série, mais ceux répondant à l'identité d'Elliot. Jamais le créateur de la série ne perd de vue qu'il faut donner un peu d'universalité au récit, sinon d'objectivité sur la condition du hacker, du trauma, bref, aucune larme n'est gratuite. Et personne n'est complètement bon ni mauvais, en atteste le protagoniste.

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Le soap opera à chaque image sur les premières saisons, un humour irrésistible revoyant les classiques du film de mafia... et une descente psychologique d'un homme brisé par sa condition, ses démons. L'ancêtre de la série mentionnée plus haut c'est vrai, avec ce soupçon plus "planant" d'un enfer derrière ses personnages...

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Le pouvoir est le sujet essentiel de Breaking Bad, série jouant sur les scènes spectaculaires sans oublier la déconstruction d'un cauchemar familial, plus intime. Terrible.

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Une série brillamment écrite par le boss David Simon qui évoque l'effervescence du monde de la pornographie liée à la prostitution, les milieux de la drogue en faisant le lien avec la police (on ne cesse de penser à The Wire évidemment). Performances gigantesques et réalisation/photo irréprochable ! Absolument à découvrir.

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Dexter fut le premier TV Show que j'ai bingewatché, comme dirait l'autre. Et... bien que les deux dernières saisons soient plus faibles, aussi sympathiques soient-elles, l'intensité des péripéties reste assez inégalée dans son registre. Michael C. Hall, plus tard employé dans Six Feet Under, y est charismatique comme jamais.

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S'il y a un "rush" indéniable sur les quelques derniers épisodes de Rome, force est de constater que la série tient ses promesses. La déconstruction de l'échiquier politique, remplaçant ses hommes, inébranlable dans ses stratagèmes incessants et ruptures d'alliances est omniprésente. Le casting est à la hauteur des figures historiques : merveilleux.

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Parce que c'est toute mon enfance, c'est superbement écrit et animé.

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S'il fallait bien un show pour prouver que HBO peut encore s'asseoir parmi les grands candidats des séries à faire date, Succession en est la preuve même. Jesse Armstrong, qui en est le créateur, a une culture séries immense et en tire les leçons pour livrer une guerre familiale à l'ironie grinçante, jouissive, puis disons-le... plutôt bouleversante dans sa quatrième saison parfaite !

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Une adaptation de Sherlock Holmes revisitée à l'époque moderne, très prenante et incarnée subtilement par ses acteurs.

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Le constat est un peu semblable à Dexter, mentionné plus haut. Des dernières saisons aux épisodes regorgeant de facilités et d'ellipses au détriment d'une écriture plus posée, recentrée sur le drame entre hommes et femmes. C'est à la fois une qualité et un défaut de Game of Thrones, série devenue proche du "blockbuster" techniquement époustouflante, et moins passionnante sur l'intrigue.

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Voilà un show très peu apprécié à l'époque, puis revu un peu à la hausse aujourd'hui. Bon, je pense encore que c'est la meilleure production depuis T2: Judgment Day. Une ambition assez gigantesque, ça joue pas toujours super bien (quoique le casting est convaincant dans l'ensemble). À vous de voir...

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Très belle série animée également, mais je préfère la version 84.

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Ce qui pourrait s'apparenter à un récit convenu adolescent est une lecture sensible et attachante du sentiment amoureux et amical. Pendant que le temps passe à toute vitesse...

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Ce qu'il s'est fait de mieux sur le format télévisé pour Star Wars, les deux premières saisons sont anecdotiques également, comme Clone Wars, mais ça relève la barre haute beaucoup plus rapidement. Un final grandiose.

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Une très belle mini-série, le duo est excellent.

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Si les deux premières saisons sont assez anecdotiques et oubliables, les suivantes travaillent les problèmes politiques de Star Wars en permanence. Vers une conclusion qui améliore à peu près tous les "blancs" de la prélogie Skywalker.

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Un prolongement de Dexter très réussi, bien qu'un peu maladroit par moments.

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Les dernières saisons ne sont pas catastrophiques mais à rayer quand même, sinon les six premières sont très solides et valent le détour. Un classique.