lecture 2021

Annotation :

Sur le couple Aryen/Sémite, que l'on rencontre beaucoup dans la science des religions et la philologie. Au travers de quelques revues de travaux (ceux de Renan, Max Müller), Olender montre que la vision providentialiste de l'histoire n'a pas disparu au XIXème siècle, on le voit notamment dans la figure du "Christ aryen" qui ressurgit.

Annotation :

Des nouvelles qui deviennent de plus en plus intéressante, au fur et à mesure que j'ai avancé dans le livre. Certaines très courtes (celle sur le chien), d'autres plus longues (la première, quasiment un court roman).

Annotation :

Offert à Noël. Ma curiosité n'a été maintenu que par le désir de comprendre l'anomalie du titre. Si des réponses n'ont pas été apporté en tant que tel, le côté très "sf goncourtrable" m'a vite agacé.

Annotation :

Une approche assez originale, qui combine les sources littéraires, et les travaux universitaires, sans oublier les enquêtes statistiques. Cependant ce mélange détonnant ne m'a pas convaincu à 100 %. Certains chapitres sont plus intéressants que d'autres (voir par exemple celui sur les chambres mortuaires, comparé au premier sur la chambre royal de Louis XIV)

Annotation :

Un roman noir policier et politique, avec un sympathique retournement de situation vers la fin.

Annotation :

Une satire de la guerre, en gros ce que produit Vonnegut, mais sans science fiction, pour une fois.

Annotation :

Parfois assez étrange dans ses interprétations pour un historien (je pense notamment à l'idée que la bibliothèque d'Alexandrie si elle n'avait pas été détruire aurait éviter le Moyen Âge), reste une prose et un côté sarcastique assez plaisant.

Annotation :

Une professeure de piano sado masochiste, tombe amoureuse du jeune Walter, un de ses élèves. Ai je mentionné qu'à 36 ans, elle vit encore chez sa mère et dort dans le même lit qu'elle ?. Ce n'est pas pour le récit d'une descente aux enfers (nous y sommes déjà), mais plutôt pour le style qui développe une véritable esthétique du dégoût avec force détails morbide.

Annotation :

Une satire de la société anglaise des années 20, au travers du portrait circulaire de Paul Pennyfeather, qui après bien des (més)aventures se retrouve à son poids de départ c'est à dire l'université d'Oxford.

Annotation :

Malheureusement lu dans l'édition Champ, moins illustré que la précédente, ce qui gâche le plaisir d'un livre très bien fait, qui raconte sans trop détails, les "inventions" des summériens.

Annotation :

Janvier

Annotation :

Janvier.
Très médiocre, très journalistique, les entretiens (peu structurés) occupant à peu près 30 pages sur un livre qui en compte 110.

Annotation :

Le parcours tragique des frères Bernheim. L'un, Paul est considéré dès son plus jeune âge comme un génie, au détriment de Théodore. Paul se tournera vers les affaires (en spéculant sur l'inflation), son frère deviendra un crypto nazi (bien qu'aucune appartenance politique claire ne soit donné par Roth, le port des croix gammés et les influences politiques mentionné laissent penser qu'il représente le parti nazi). Perdu dans un monde qu'ils ne comprennent plus, les deux frères croisent la route d'un émigré juif Nikolas Brandeis, qui les accompagne, avant de faire le choix de la disparition dans un désir de vivre une autre vie.

Annotation :

Janvier, voir ma critique.

Annotation :

Une très belle réflexion sur la continuité et sur le long Moyen Âge, à défaut de beaucoup d'originalité.

Annotation :

Un roman gothique sans fantastique, qui remplit les critères du genre : des secrets, des intrigues amoureuses, des prêtres suspects, une descente aux enfers, des châteaux écossais non pas hanté mais néanmoins inquiétant.
Le Fanu reste très peu connu en France, à l'exception peut être de Carmilla, ce qui est dommage car le mélange de satire de la société victorienne et de gothique est pour le moins intéressant.

Annotation :

janvier

Annotation :

Recueil faisant partie de la grande anthologie du fantastique, il contient des nouvelles classiques et moins classiques avec notamment M. R. James ("Le comte Magnus") peu traduit en France, Stevenson, A. C. Tolstoï (pas celui là l'autre).

Annotation :

Très vieilli, mais que peut on attendre d'un essai de 1938. Reconnaissons lui le mérite d'avoir quasiment inventé l'histoire des mentalités.
Febvre reconstitue l'univers mental d'un homme du XVIème siècle au travers de l'analyse de l'oeuvre de François Rabelais. Il démontre que ce dernier n'était pas un athée, mais resté dans des bornes quasi infranchissables de la "bien pensance" chrétienne.

Annotation :

Février.
Issu de "L'histoire de la vie privée", Perrot restitue à merveille la vie privée familiale au XIXème siècle, en entrant dans l'intimité des chambres à couchers de la bourgeoisie, de la paysannerie, des ouvriers ...