Lectures 2016

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m'a grandement réconcilié avec John Irving

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Relecture indispensable après mes vacances au Viêtnam, où j'ai été obsédé par le passage où Thian est emmené déguisé faire le tour du Paris asiat par Stojil et où il revit involontairement sa jeunesse, entre pinard et opium. Cette saga Malaussène ne me lâchera décidément jamais !

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Conseillé par Étienne.

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Lu au retour du Viêtnam

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mouais, ça ressemblait quand même plus à un exercice de style qu'à un roman

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Toujours les mêmes thématiques "grishamienne".
Le type qui a l'occasion de mettre la main sur un tas de fric pour refaire sa vie ailleurs, en short.
Impossibilité de la réinsertion normale.
L'Etat c'est le mal.
La connaissance juridique, c'est le graal.

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Sans beaucoup d'intérêt, OSC tire pas mal sur la corde

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Toujours fan d'Outers !

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Je n'étais pas emballé, un peu lassé par FB mais bonne surprise.

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Pas accroché du tout, le ton, la pseudo parodie, le narrateur omniscient extérieur prolixe... m'a un peu embêté même.
Et une fois encore : un peu rien à foutre des personnages

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Comme "un pays à l'aube" et "ils vivent la nuit" c'est sympa à la lecture mais j'aurai sans doute tout oublié d'ici 10 jours.
D'autant que ce tome ci m'a semblé tirer sur la corde.

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des passages très accrocheurs, d'autres dignes d'une "saga de l'été", un final qui m'a peu intéressé.

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Je sais pourtant que Jean-Christophe Grangé réécrit toujours le même livre (+/-) et que chaque fois que j'en finis un, je suis déçu. Pourtant, je l'ai lu. Et, j'en lirai d'autres. M'énerve.

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Relu presque 20 ans plus tard, enfin compris, enfin apprécié

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les captures d'écran et autres articles sur e-book reader, ça n'a pas été la joie

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Commencé après avoir entendu le pitch, continué et terminé pour l'écriture.

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Bon ben voilà, ça c'est fait.

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Une impression de non abouti après les deux tomes de l'emprise.
L'impression aussi que les américains racontent ce type d'histoire tellement mieux.

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tout est dit en peu de pages

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Jim Harrison a l'air de se perdre en bavardages mais au final dresse un portrait large de l'amérique. Ces personnages ont l'air totalement réel.

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Les quarante dernières pages furent mes quatre derniers kilomètres.
Le Chemin, de plus en plus.

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L'écriture est très sympa, mais les notes de bas de page n'apportent vraiment rien.
Je pense que j'aurais préféré que le roman se termine avant l'épilogue.

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et après ?

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je m'entête alors que je ferais mieux de relire une fois encore le cycle original.

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J'ai détesté à peu près tous les personnages avec autant d'intensité (palme à l'inutile personnage de copain hacker ?) mais au final j'ai bien aimé le roman. Je ne l'explique pas. Est-ce une sorte de voyeurisme de ma part ou est-ce juste lié à la facilité de lecture ? No Se.

Mais pourquoi faut-il toujours un pote hacker au grand cœur ?