Lectures - 2017

Annotation :

Trois tomes en 1 gros volume de plus de 1000 pages. J'ai cru ne jamais voir la fin.
En réalité c'est plutôt une bonne surprise. Une très bonne. Je n'ai pas particulièrement appréciée l'histoire globale et l'univers. Mais la narration et les personnages... On suit Toubib, l'annaliste et médecin de la compagnie Noire, des mercenaires plutôt violent et à la réputation sanglante.
Ils sont engagés par un des Asservis de la "Dame" afin de l'aider à soumettre les rebelles. Toubib admet lui-même qu'ils ne sont probablement pas du bon côté de l'histoire sur ce coup ci.
Comment expliquer sans raconter toute l'histoire? Toubib raconte ce qui se passe, on sent l'évolution des personnages, les hommes qui meurent, ces compagnons de vies, les années qui passent malgré tout. C'est très réaliste.
Le premier tome est plus lent et m'a semblé moins intéressant. Le second tome permet de mieux comprendre l'enjeu de toute cette histoire. Et cette intégrale se ferme sur un troisième tome absolument magistral, glen cook n'ayant pas peur de mettre ses personnages dans des situations vraiment désespérantes/désespérées et de renverser la vapeur à de nombreuses reprises.
Je me demande vraiment ce qui m'attend dans l'intégrale 2!

1113 pages
décembre 2016-janvier 2017

Annotation :

Voici donc venir le temps du préquel de la Belgariade.
Tout le monde sait (ou pas, mais du coup maintenant tu sais) que j'ai une grosse faiblesse pour la Belgariade. J'ai beau savoir que l'histoire, l'univers et les persos cassent pas trois pattes à un canard, j'adore cette série. J'adore l'écrituree, j'adore les personnages et leur interaction de groupe, et c'est la seule série du genre où je peux dire que j'adore le héros.
Donc voici le préquel, on suit Belgarath le sorcier et l'histoire du monde! C'est cool bien que je ne le conseillerais pas à n'importe qui. C'est vraiment pour les initiés à la Belgariade, qui ont envie d'approfondir le truc.

650 pg
janvier 2017

Annotation :

Bon j'pense qu'on avait tous plus ou moins compris que je suis une incurable mijole romantique.

Mais voilà quoi; Meyer m'a surprise.
Déjà le postulat de départ est très intéressant. Lié à ça, il y a pas mal de pistes de réflexions intéressantes aussi qui sont abordées dans le roman, notamment sur la condition d'humain, notre violence, le bien/mal etc. Bon ça reste au stade embryonnaire car c'est surtout là pour servir l'histoire (d'âââmouuur).
Je n'avais pas trop aimé Twilight parce que les personnages étaient vraiment nuls (à défaut de termes plus appropriés; Bella étant une Mary-Sue en puissance) et qu'il y avait bcp de raccourcis (Edward ne peut pas lire les pensées de Bella, du coup il s'intéresse à elle). Ici notre héroïne est vraiment très intéressante, à contre emploi des perso féminins "forts" auxquels on est habitué. C'est une femme forte et courageuse, mais aussi pondérée, réfléchie et altruiste; combinaison rarement employée. Mélanie est plus "classique", mais l'interaction des deux est intéressantes. Ensuite Jared est imbuvable dans tout le roman, mais ça passe bien bizarrement. Et gros coup de coeur pour Ian. Il y a vraiment une vrai réflexion sur l'évolution de ce personnage. Alors il est un peu fini à la truelle hein, c'est Meyer quand même, mais bon franchement c'est pas mal.
Bon évidemment la SF est juste un joli prétexte à une belle histoire d'amour et a une jolie morale (les humains sont beaux, complexes, violents car ils ont la capacité d'aimer). Dans les mains d'autre auteurs ça aurait donné un roman beaucoup plus sombre et ça ne finirait pas si joliment; mais ça reste une bonne histoire gentille.
Sinon, je dois avouer que le style est pas mauvais (traduction?). J'ai été bien prise dans l'histoire, et même lors des scènes d'action (if you know what I mean) quelques frissons ont été au rendez vous (et peu de livres ont réussi à bien faire ça; aucune idée de ce qui fait qu'un enchainement est payant ici).
Sinon c'est la fin du monde, et faut croire que les survivants sont tous mannequins Hugo Boss, mais c'est assumé alors ça passe mieux ^^
Il y a du progrès chez Meyer avec ce roman, peut-être n'est elle pas perdue après tout!

610 pg
janvier 2017

Annotation :

Deuxième tome assez sympa. Evidemment avec pas mal de trou qui seront comblé par l'histoire de Polgara =)

460 pg
janvier 2017

Annotation :

Un petit roman de Jane Austen qu'on tend à oublier. Et pourtant. C'est, avec Lady Susan, le roman le plus drôle et le plus étonnant de cette auteure. Le personnage de Catherine, attachante et singulière de sincérité, naïveté et gentillesse, adore les romans d'horreur qui font fureur à l'époque. Tout le livre est ainsi bourré de références à ces romans, les notes en bas de pages permettant de compléter les lacunes de mon éducation. Jane se plait à défendre le roman comme genre tout aussi honorable que les essais d'Histoire; car à l'époque, les romans sont souvent considérés comme un "sous" genre, probablement car c'est un genre prisé, tant en écriture qu'en lecture, par les femmes. Jane choisit le personnage d'Henry, jeune homme accompli, érudit et surtout espiègle, pour prendre la défense de ce genre tout en taquinant notre héroïne.
Henry et Catherine font parti des personnages de Jane que je préfère; il y a une très bonne dynamique entre ces deux personnages, bien qu'on puisse regretter au final le côté "trop savant" d'Henry par rapport à la naïveté de Catherine.
Les autres personnages ne sont évidemment pas en reste, et je dois avouer que j'ai un faible pour la frivole Isabelle; dont les paroles dépassent de souvent sa pensée, caractéristique commune de beaucoup de personnes finalement (et malheureusement).
Ce n'est certes pas le meilleur de Jane Austen. Mais il est aussi tellement réjouissant!

280pg
janvier 2017

Annotation :

A réserver aux Janéite suffisamment passionnés par cette autrice; car il s'agit bien ici d'un recueil de lettres et de souvenirs de/à propos de Jane.
Personnellement, cela m'a beaucoup plu. Le livre étant très court, on a surtout un aperçu, mais même si cela ne suffit pas à se faire une idée précise du personnage, plus de lettres et de témoignages auraient pu être lassant. A moins évidemment qu'on écrive une thèse sur le sujet, auquel cas cet ouvrage ne remplit pas grand office.
J'ai beaucoup ris du témoignage de Fanny, la nièce préférée de Jane, qui est si peu élogieux et condescendant qu'il donne une résonance toute particulière à cette époque. Vraiment, Jane était comme ses héroïnes: simple, honnête et désargentée.

185pg
janvier 2017

Annotation :

janvier 2017

Annotation :

482pg
janvier-février 2017

Annotation :

442pg
février 2017

Annotation :

février 2017

Annotation :

C'est un très bon roman, surtout replacé dans le contexte de l'époque mais non de dieu qu'est ce que c'est sombre et déprimant.

Pour commencer, on laisse penser partout que Tess a été "séduite" par Alec D'urberville. Si seulement. Il l'a violée alors qu'elle dormait. J'ai beau savoir qu'à l'époque, on considérait plutôt la femme violée comme celle qui a cédé, n'empêche que cette grosse injustice m'a dégoutée tout du long du roman. Tout le monde considère que c'est la faute de Tess, même elle même. Elle pense qu'elle ne mérite pas le bonheur à cause de la faute d'un autre, et puis Angel lui donne raison en l'abandonnant comme une vieille chaussette. Franchement moi ça m'énerve. Je suis pas faite pour les drames sociaux faut croire. Trop déprimant, trop énervant.

476pg
février 2017

Annotation :

387pg
février 2017

Annotation :

340pg
février 2017

Annotation :

1055pg
février-mars 2017

Annotation :

394pg
mars 2017

Annotation :

C'est, et de loin, pas mon préféré de Jane Austen. J'ai du mal à apprécier le personnage de Marianne qui est pourtant porté aux nues pendant tout le roman. On la décrit comme belle et intelligente lorsqu'elle se comporte comme une gamine immature et stupide non-stop. Elle est de plus extrêmement prétentieuse, refusant de voir des qualités chez des gens qu'elle juge vulgaire/indiscret/manquant de bienséance, lorsqu'elle même se comporte de la sorte avec son amoureux. En plus elle est complètement insensible aux malheurs des autres, considérant qu'on doit montrer ses émotions et ses malheurs, sinon c'est qu'on est pas vraiment malheureux; sans se rendre compte que la manière d'exprimer ses sentiments n'est pas forcément proportionnelle à la profondeur de ceux-ci. Elle est bête, stupide et condescendante envers ceux qui ne lui ressemblent pas (sa bien-aimée soeur comprise). Bref tout ce que je déteste chez les adolescentes.
Heureusement qu'Elinor est là pour rattraper le coup.

mars 2017

Annotation :

Edition spécial pour les 40 ans; chez Bragelonne

mars 2017

Annotation :

Dieu ce troisième tome!
Si je n'en étais pas déjà convaincu, ce tome ci aurait remporté tous les suffrages plaçant les annales de la compagnie noire comme une des séries fantasy les plus fouillées, originales et noires. Tout dans cette série est intéressant et réfléchi, même dans ses lenteurs et son inaction.

1018pg
mars 2017

Annotation :

1198pg
mars-avril 2017

Annotation :

650pg
avril 2017

Annotation :

Il y a dans Persuasion une mélancolie inattendue qu'on ne remarque pas dans les autres roman de Jane Austen. C'est son dernier roman, celui de la vieille fille, qui malgré une situation précaire ne s’enlise jamais dans la paresse ou la facilité. Dans le personnage d'Anne, il n'y a ni aigreur, ni rancoeur pour la jeunesse passée, les amourettes délaissées et les erreurs commises. Mais une grande maturité, une volonté de bien faire et d'être utile qui en dit bien plus sur l'autrice que sur son personnage.
Persuasion c'est un peu le roman méconnu de Jane, moins séduisant à première vue qu'une romance comme O&P, et pourtant bien plus riche et sensible. Jane, avec le temps, n'a ni perdue de son piquant, ni de sa superbe; et le prouve ici.
Parfois je me demande ce qu'aurait donné le reste de son oeuvre si elle n'était pas morte si jeune, et Persuasion nous en donne un avant gout, malheureusement jamais renouvelé et/ou égalé.

316pg
avril 2017

Annotation :

Je n'ai pas réussi à le finir. Ca ne m'arrive jamais, mais là c'était pas possible, ça m'a filé une panne de lecture en plus.
L'histoire de base était intéressante, une femme dans la chine de l'époque qui tente de tirer son épingle du jeu avec son moins-que-rien de mari etc. Sauf qu'en réalité cette histoire n'est que le prétexte à insérer le plus de sous-entendus sexuels, de scènes de viols et de métaphores végétales tout le long du roman. J'en ai lu la moitié que ça me sortait par les yeux. La seule fois où il y a une relation consentante, la scène n'est pas décrite, ce qui me laisse penser que l'autrice a un gros problème.

En vrac pour parler du pénis: Baton Fleuri, sa petite chenille blafarde, céleste pourrée, l'Oiseau Ecarlate, son Pinceau Pourpre;
Puis il y a eu aussi un viol entre homme et là l'anus c'est le Bubon Noir, que le Pilon Voyageur défonce et ressort pleins de boue.

Non mais c'était trop je vous dis;

avril 2017
pas terminé

Annotation :

mai 2017

Annotation :

825pg
mai 2017

Annotation :

mai 2017

Annotation :

446pg
mai 2017

Annotation :

mai-juin 2017

Annotation :

Mais c'est quoi ce dernier tome?
C'est fini à la truelle ou c'est juste moi? J'ai l'impression que l'histoire aurait pu tenir dans encore un tome supplémentaire tant tout est basardé super rapidement j'en reviens pas.Pleins de choses irrésolues, le combat final dans les 3 dernières pages, et quelques deus ex machina pour enrober le tout... Je sais pas mais euh. Non ca l'a pas fait.
Enfait ce qui me décoit c'est que toutes les parties non résolues me paraissaient les plus intéressantes à développer. Mais bon.

450pg environ
mai 2017

Annotation :

573pg
mai-juin 2017

Annotation :

814pg
juin 2017