Lectures 2017

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BOf, bonds dans le temps trop important, mal construit.

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Roman parfait stylistiquement, très fluide.
1er tome parfait, l'amour, l'amitié les sentiments et la construction de l'individu. j'adore

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chaque nouvelle est une respiration dans le style de Jean TEulé, cru et poétique !

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Savoureux selon les auteurs généralement (Levy à bannir ???? )

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Toujours divinement écrit! On se passionne pour la complexité des relations, surtout de LA relation entre Lila et Lenù !
On grandit avec elles, on en envie une, puis finalement c'est l'autre. Leurs destins surprennent, attristent et on est pris d'un besoin vital : lire la suite.

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La fugue de l'enfance par temps de guerre antisémite.
je n'arrive pas à dire si le manque d'émotions dans le livre est une prouesse ou me déçoit...

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Comment faire souffler un vent de liberté dans un camp français en 1940 ? Ouvrir un cabaret !
C'est une ode à la liberté, à l'entraide et ce sont dans les pires conditions que peuvent aussi se nouer des liens indéfectibles.
Eva et Lise tissent une relation d'abord presque dans le silence, avec seulement un mot : ananas. De ce mot, va naître une relation fraternelle.

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c'est plat, il ne se passe rien... on tourne autour du pot et finalement rien ne se débloque, on est bien comme ca. je me suis vraiment ennuyée

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La vie de June et Angela autour de 4 événements new yorkais majeurs : la mort de Lennon, l'ouragan, l'affaire Lewinski et le 11 septembre. chacun de ces événements va faire écho (aussi impacter) à la vie des deux héroïnes. la narratrice est Angela. c'est fluide, bien écrit, pleins d'interrogations sur le sens de la vie, selon différents​ points​ de vue. Top, super moment de lecture.

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Le style est très brutal à l'image de ce que l'héroïne vit et s'inflige.

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Sentiments partagés... intéressant de se mettre dans la peau d'une dame de 90 ans mais ça ne me donne pas forcément envie de vieillir ;

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la seule nouveauté c'est le couple. mais tout est prévisible...

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vrai coup de coeur pour cette auteure ! c'est féminin sans tomber dans le gniangnian
c'est un livre sur la remise en question de soi, de la vie routinière, de la mélancolie mais aussi sur la passion et le véritable amour !
à travers Marylin et Zelda, Hanna se reinvente !

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quelle joie de retrouver Hannah et d'éclaircir à la fois le mystère de Zelda Zonk et sa vie ! L'auteur a su me donner envie de ne pas lâcher son roman encore une fois !

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Pas pu terminer, le sujet tombe très mal.

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C'est frais, drôle et parfois inattendu ! Une comédie "romantique" qui fait du bien au moral, parfait pour l'été !

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Ou comment résoudre une affaire criminel en cuisinant. l'idée est intéressante, mais pas transcendant. manque de rebondissement dans l'intrigue pour nous tenir en haleine. rien de vibrant en fait mais pas trop désagréable à lire.
Le cadre par contre est sympa, l'Afrique du Sud, son dialecte, son climat, sa faune et sa flore nous font voyager !

Lectures suivantes (rentrée littéraire 2017):
-Mon amie Adèle :
- Sa mère, Azzeddine : Rythme soutenu, on ressent les émotions pour le personnage ! quelques bonne citations notées, Tableau social très pessimiste à travers les yeux de Marie-Adélaïde.
-Luwak, Pierre Derbré : Igor Kahn, contremaître dans un atelier de fabrication de bidet est licencié. Peu de temps après il gagne une coquette somme au loto. Il décide alors de quitter son appartement de Bordeaux pour s'installer dans une maison d'artiste située sur les bords de l'estuaire de la Gironde. Il cherche alors à donner un sens à la vie par les arts : littérature (bien qu'on en parle peu dans le roman), la peinture, un peu de musique, la décoration... Il s'acclimate parfaitement dans son nouveau village, mais à la moitié du roman, il commence à s'ennuyer et s'installe une dépression fulgurante. Le seul moyen d'en sortir selon lui est de trouver LE grand projet de sa vie. Le dernier quart du roman est finalement la partie la plus intéressante, celle qui donne un nouveau souffle au personnage. Igor Kahn, se lance dans une exploitation de caféiers dont les fèves, mangées par les luwaks (sorte de martres indonésiennes) se retrouvent dans leurs excréments. Ainsi le héros produit un café très onéreux et trouvent une jolie assistante. FIN

Le récit est selon moi très mal proportionné, le sujet important du roman n'arrive qu'à la fin. Les trois premiers quarts ne servent que trop peu "l'intrigue".
Le résumé de la quatrième de couverture est finalement une fausse promesse, l'hapax existentiel reste un mystère, seulement évoqué brièvement.
Bien que l'écriture reste agréable, le style facile, le roman aurait eu besoin de quelques "réglages" supplémentaire.
-Leur séparation, Sophie Lemp : récit sur le divorce vu par l'enfant et ensuite par l'adulte. La description du déchirement, de la culpabilité...

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Le #findedingue est mérité, mais la fin est un peu trop mystique pour moi, mais bon scénario pour moi qui lit très peu de polar !

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Rythme soutenu, on ressent les émotions pour le personnage ! quelques bonne citations notées, Tableau social très pessimiste à travers les yeux de Marie-Adélaïde.

Annotation :

Igor Kahn, contremaître dans un atelier de fabrication de bidet est licencié. Peu de temps après il gagne une coquette somme au loto. Il décide alors de quitter son appartement de Bordeaux pour s'installer dans une maison d'artiste située sur les bords de l'estuaire de la Gironde. Il cherche alors à donner un sens à la vie par les arts : littérature (bien qu'on en parle peu dans le roman), la peinture, un peu de musique, la décoration... Il s'acclimate parfaitement dans son nouveau village, mais à la moitié du roman, il commence à s'ennuyer et s'installe une dépression fulgurante. Le seul moyen d'en sortir selon lui est de trouver LE grand projet de sa vie. Le dernier quart du roman est finalement la partie la plus intéressante, celle qui donne un nouveau souffle au personnage. Igor Kahn, se lance dans une exploitation de caféiers dont les fèves, mangées par les luwaks (sorte de martres indonésiennes) se retrouvent dans leurs excréments. Ainsi le héros produit un café très onéreux et trouvent une jolie assistante. FIN

Le récit est selon moi très mal proportionné, le sujet important du roman n'arrive qu'à la fin. Les trois premiers quarts ne servent que trop peu "l'intrigue".
Le résumé de la quatrième de couverture est finalement une fausse promesse, l'hapax existentiel reste un mystère, seulement évoqué brièvement.
Bien que l'écriture reste agréable, le style facile, le roman aurait eu besoin de quelques "réglages" supplémentaire.

Annotation :

récit sur le divorce vu par l'enfant et ensuite par l'adulte. La description du déchirement, de la culpabilité...

Annotation :

La formes est originale : chaque partie du livre est une partie du corps (les yeux, les jambes, la tête, l'âme, l'appendice...). L'écriture est délicate. Roman court sur la vie, le soin, l'altruisme. Bon moment de lecture.

-Je ne voulais pas écrire ce livre, Erwan Larhrer : Roman autobio sur l'attentat au bataclan. A la fois très intime et impersonnel, un livre sur tous les points de vue du drame. A l'intérieur, Erwan, dans la fosse du bataclan, à l'extérieur ses proches. Deux calvaires d'une nuit et après... C'est terrifiant, édifiant, en même très emprunts d'"HURLEMENTS" à l'amour.

Annotation :

Roman sur la solitude, et l'amour
imparfait.
Sortie en france aout 2017

Annotation :

Roman autobio sur l'attentat au bataclan. A la fois très intime et impersonnel, un livre sur tous les points de vue du drame. A l'intérieur, Erwan, dans la fosse du bataclan, à l'extérieur ses proches. Deux calvaires d'une nuit et après... C'est terrifiant, édifiant, en même très emprunts d'"HURLEMENTS" à l'amour.

Annotation :

triste occasion que sa mort pour relire son autobiographie. quel modèle de force, d'indépendance, de courage et de douceur..