Lectures [2020]

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Janvier

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Janvier
Deuxième lecture.
Encore plus savoureuse que la première, l'aspect bouffon amer de Corbiere vient mettre un balayette au romantisme tire-lyre des Lamartine et autres "mussets", pourtant il n'est pas difficile de voir que le cœur de Corbiere est romantique. De là lyrisme criant d'ironie et un rire jaune décapant. Plus qu'amer, le recueil est acide et vous pique la langue.
Dommage de l'avoir résumé dans la catégorie territoriale du bretonnisme et en même temps Armor et Gens de Mer sont de vraies pépites poétiques.

Juin. Troisième lecture

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Janvier
Seconde lecture

Mai
Troisième lecture

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Janvier
Seconde lecture et je ne pige toujours pas l'intérêt. Promis je fais des efforts, j'ai depuis longtemps posé mes lunettes gauchistes mais rien n'y fait. Je m'y ennuie profondément.
A la limite j'aime bien ces jeux de répétitions des actions (que l'on retrouve déjà chez Roland), le temps semble bégayer, se figer légèrement, ce qui confère à l'ensemble un rythme étrange... qui ne l'en rend pas moins chiant.

Mai
Troisième lecture

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Janvier
Seconde lecture

Mai
Troisième lecture

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Février
Longtemps j'ai eu du mal avec Candide (et plus largement avec Voltaire). Mais force est de constater que Candide n'est ni Zadig ni l'Ingénu, et j'ai commencé à prendre goût à ce rythme martelé, à ces pantins articulés que sont les personnages, à ce violence qui érode peu à peu les corps et le discours. Les personnages de Candide sont sans cesse catapultés d'un château l'autre, tantôt fessés, tantôt découpés, tantôt violés, tantôt tués (mais ils reviennent). Et ce jardin final que l'on se doit de cultiver n'apparaît en rien comme une réponse ou une illumination (ce que l'on m'avait faire croire étant lycéen) mais plutôt comme un pâle "c'est toujours ça" qui ne console guère et rend le conte philosophique assez peu philosophique en soit.

Mai
Troisième lecture

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Février

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Février
Quatrième lecture.
Je suis toujours assez sensible à cette façon dont les personnages sont prisonniers du passé et peinent à s'en défaire (à l'exception d'Auguste à la fin). Emilie songe à son père assassiné, Cinna à son vieux Pompée, et Auguste marmonne, la voix tremblante, que "ptin c'était mieux avant" et qu'on peut plus prendre le pouvoir par la violence en paix.
Si Maxime est assez ridicule et peu évoqué dans la pièce, si Cinna est un "héros empêché" qui se rêve en héros et si Auguste est un astre trop lumineux pour être touché, c'est bien Emilie qui me semble le personnage le mieux écrit de la pièce. Ajout de Corneille, elle pue la colère et le ressentiment et il m'arrive de regretter ce retournement final (c'est quand même pas mal Rodogune...)

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Février

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Février

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Février
Mise en scène (lourde) de Thomas Jolly

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Mars

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Mars.

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Mars.

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Mars.

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Mars.

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Mars

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Mars

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Avril.
Seconde lecture

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Avril.
Gros + pour Sylvie qui transpire le plus beau de Rousseau, de même pour Angélique qui me fait penser à du Borges dans son goût labyrinthique du livre.
J'ai un peu somnolé devant Jemmy et Corilla.

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Avril.

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Avril.

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Mai.
Quand je pense qu'on a loué son style...

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Mai.
Deuxième/troisième lecture

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Mai.

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Mai.

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Juin.

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Juin.

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Juin.

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Juillet.