Lectures 2024

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Ça pue la rue, c'est mené tambour battant, on est tout de suite happé par l'histoire et par les personnages hauts en couleur, clairement identifiables tout en étant suffisamment profonds pour s'y accrocher (ou les détester). L'intrigue est efficace. Le contexte historique du Boston de la déségrégation et la connaissance de l'auteur sur sa ville permettent de nous imaginer arpentant les rues, raser les murs pour ne pas croiser les types à la gueule patibulaire à la sortie du bar. Une réussite !

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Je ne pensais pas que la vie puisse être aussi douce en Afghanistan...jusqu'à l'arrivée, par la force, des Talibans à la tête du pays.
Ce roman raconte avec justesse le passage de l'enfance à l'âge adulte, l'amour, l'amitié, le déracinement, la relation père-fils, la religion, la reconstruction... Les mots sont parfois durs mais n'est-ce pas là la nature de nos vies ?
Un joli livre, porteur d'espoir, je l'espère pour ce pays.

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Des nouvelles qui en disent bien plus sur l'humanité que bon nombre de roman.

À vous glacer le sang, tant notre destin semble scellé.

Mais ce n'est que de la science fiction n'est-ce pas ?

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Qu'est-ce que la paternité ? Comment surmonter les épreuves que la vie nous envoie ? Faire des choix et s'y tenir ?

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Court et puissant. Comme une mandale de Spartak dans ta face.

Entre dystopie et enquête policière, j'ai retrouvé l'écriture de Laurent Gaudé qui m'avait beaucoup plu lors de ma lecture de "La mort du roi Tsongor".

On y retrouve certains des ses thèmes ici : destin, vengeance, notamment.

Peut-être que la dystopie aurait pu être approfondie, le postulat de base de multinationales qui achètent des pays en faillite l'aurait mérité.

Sans doute aurions-nous alors perdu la puissance du texte, concis et qui nous fait tourner les pages à toute vitesse.

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Bienvenue dans l'antre de la folie...ou bien ne serait-ce là qu'une image de nos séparations ?

Tour à tour drôle, inquiétant, oppressant, triste, un roman original plus profond qu'il n'y parait

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Beau et touchant

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Pas mal, ça se laisse lire, une version romancée du paradoxe d'une société qui se veut écologique sans s'en donner les moyens Un bémol sur les personnages féminins peu approfondis et cantonnés à des rôles "sommaires".

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Roman policier original dans son approche mais dont l'histoire reste toutefois assez sommaire. Ce qui n'empêche pas de passer un bon moment en compagnie de Landis - le sheriff qui va mener une enquête très délicate dans les états du sud des Appalaches - et d'apprécier les dialogues finement écrits par Ellory. Un bon moment, les pages défilent alors que le rythme ne s'accélérera que dans les toutes dernières.

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Sensation douce amère après avoir refermé le livre. D'un côté c'est du déjà vu (elle et lui que tout oppose, lui qui devra lutter pour exister....), d'un autre côté c'est assez rafraichissant. Peut-être grâce aux beaux mots semés ici et là (avec parcimonie car le style reste assez quelconque). A vous de vous forger un avis sur le Goncourt 2023.

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Quelques touches d'humour bienvenues autour des réactions de l'IA face à l'humain. L'intrigue contenait de bonnes idées mais le dénouement est plus que convenu et vient malheureusement gâcher le tout.

Une v2 d'Alfie ?

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On devine le déroulé du livre dès le début.
Moyen. Style quelconque, ficelles scenaristique grossières. Se lit vite et reste relativement divertissant. Il m'a fait penser aux séries que Netflix sort à la pelle.

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Pour un livre de développement personnel c'est bien : c'est court, légèrement romancé, des concepts simples mais pertinents

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Ce livre m'a complètement laissé de marbre. Entre le style incertain : est-ce un documentaire, un roman, un policier ? La vacuité du propos : ce qui aurait pu être intéressant n'est pas approfondi (psychologie de la mère et de ses enfants surtout, tout juste balayé par une séance chez le psy en fin de livre). Et le remplissage : l'enquête policière ne sert à rien tout comme le personnage de la greffière, de trop nombreuses pages pour nous expliquer ce qu'est une vidéo YouTube et le principe de monetisation associé. Non vraiment je n'ai pas compris l'engouement...