Les 86 rôles de Maggie Cheung

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Pour son premier rôle, elle joue dans une comédie sans prétention, le film fonctionne bien au box-office et on lui proposera rapidement d'autres rôles.

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Une romance un peu banale , mais fort sympathique, où le trio d'actrices, Leslie Cheung, Anita Mui et Maggie Cheung, belles, jeunes et naïves donne une certaine fraîcheur au film.

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Girl With The Diamond Slipper, est une de ces comédies romantiques sans prétention dont l'histoire s'apparente à celle de Cendrillon. On y retrouve une Maggie Cheung aux mimiques juvéniles qui va tomber amoureuse d'un "prince" un peu trop charmant pour être foncièrement honnête. L'actrice nous offre deux moments de bravoure : la démonstration de BMX au début du film dans une tenue plutôt sexy, et cette audition pour une série TV durant laquelle elle simule toutes les émotions humaines (colère, joie, peine...) avec un style qui lui est propre.

(Source : Hong Kong Cinemagic)

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Sous les traits de la fiancée de Jackie Chan, vaillant officier de police, on reconnaît avec amusement la toute jeune Maggie Cheung jouant le rôle d'une gentille idiote. Jackie Chan s’éloigne de l’univers du kung-fu traditionnel pour se tourner vers le film d’action contemporain. Il pense ainsi pouvoir élargir son public et notamment séduire les spectateurs occidentaux, peu rompus aux films d’arts martiaux.

Ce premier Police Story est considéré par les cinéphiles comme l'un des meilleurs films de Jackie Chan. Il connait à l'époque un grand succès en Asie. Dans son autobiographie, I Am Jackie Chan, celui-ci considère ce film comme son meilleur film d'action.

(Source : Wikipedia)

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Le triomphe de Police story lui apporte rapidement la renommée. Sa carrière se partage dès lors entre comédies, bluettes sentimentales et films d'action, autant de genres qui font l'apanage de la production cinématographique, très conséquente, de Hong Kong. A une certaine époque de sa carrière, la comédienne tourne jusqu'à douze films par an, en plus des séries télévisées où elle continue d'apparaître régulièrement. Malheureusement, de cette abondante filmographie ne parviennent en France que les films de Jackie Chan. Maggie Cheung reste donc simplement, pour les Européens, une "Hong Kong star" sans intérêt particulier.

(Source : magazine Ciné Live n°82)

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Avec Lost Romance, Yonfan offre à Maggie Cheung son premier rôle romantique à l'écran.

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Ce film est le meilleur d'une série bien flaiblarde, Maggie Cheung y interprète une jeune chanteuse, alors starlette en devenir et qui passe son temps à sourire.

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Pour ce film au scénario chaotique et mélangeant les genres cinématographiques, elle entre en scène dans le rôle d’une journaliste pourrie gâtée prête à tout, et se mettant toujours en danger. Elle en fait des tonnes, tout en étant charmante, comme à son habitude en ce début de carrière.

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Une comédie maritale où Johnnie To tourne une nouvelle fois dans l'ombre de Raymond Wong. Maggie Cheung y faisant une apparition éclair (caméo).

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Un film mineur où elle joue un rôle secondaire. Cette comédie romantique et fantastique ne restera pas dans la mémoire de ses admirateurs.

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Heartbeat 100 est un film qui peut passer assez facilement inaperçu dans la mouvance de l’époque. Assez quelconque d’un point de vue scénaristique, il n’en demeure pas moins sympathique à regarder car il est subtilement monté et assez déconcertant pour un thriller tendant vers la comédie. La légèreté et la naïveté sont parfaitement mises en scène par Maggie Cheung.

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Dans cette comédie décalée hilarante, un mécanicien tombe amoureux d'une belle fille riche (joué par Maggie Cheung). Quand il découvre que son ami l'aime aussi, il doit se battre pour attirer son attention.

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Après Police Story, Jackie Shan réutilisera Maggie Cheung, dans le rôle d’une vendeuse de fleurs œuvrant afin de récolter des fonds pour une révolution, pour au final un rôle encore assez figuratif, comme souvent au début de sa carrière.

Inférieur au premier opus, cette suite reste un excellent moment, démarrant doucement pour être explosif au fur et à mesure. Cascades, combats, comédie, le cocktail magique fonctionne encore et toujours.

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Dans ce film elle ne fait qu'une courte apparition. (cameo)

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Ce film raconte l'histoire de cinq femmes dans le monde de la prostitution. Du jour au lendemain leurs vies vont basculer, et le futur qui leur est réservé est loin d'être des plus heureux.

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En cette année 1988, Maggie Cheung jouera dans pas moins de 12 films, avec plus ou moins de fortune.

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Pour cette comédie, Sammo, canadien d'adoption, accepte un mariage blanc avec Maggie Cheung. Bien évidemment, tout ne se passe pas comme c'était prévu : l'argent promis est indisponible, le faux couple qui doit faire semblant de vivre ensemble doit faire face aux soupçons des affaires sociales, une idylle improbable commence à éclore ... Le métrage prend la structure classique des comédies de l’époque, c’est à dire une longue première partie basée sur l’humour, allant souvent loin dans la crétinerie assumée, avant de faire bouger les choses dans sa dernière demi-heure en invitant dans le récit de nouveaux personnages, permettant ainsi quelques combats de bons niveaux.

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Double Fattiness est une comédie typique des années 80 : vous y trouverez les acteurs en vogue au moment du tournage, un certain humour bien caractéristique, un mélange total de genres (comédie burlesque, drame, fantastique, etc.)... tout ce qu'on aime ou qu'on déteste ! Dans ce style particulier, on peut dire que c'est un film réussi.

(Source : Hong Kong Cinémagic)

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Premier essai filmique du futur génie du cinéma Hongkongais, il est intéressant, au regard de sa filmographie de l’analyser pour se rendre compte de la façon dont le cinéma de Wong Kar Wai s’est construit.

C’est dans le choix du casting que réside toute l’essence du style de Wong Kar-wai. En arrachant la délicate Maggie Cheung de ses éternels rôles de potiche dans les films de Jackie Chan, il parvient grâce à son personnage à esquisser ses futurs thèmes d’auteur (l’histoire d’amour en particulier). Cette dernière est une fois encore touchante et belle et apporte au film ses meilleurs moments.

As Tears Go By est un très bon film, principalement pour sa merveilleuse première partie qui provoque déjà cette sensation de rêverie en apesanteur propre au cinéma de Wong. La suite du film rentre plus dans le créneau classique du film de triades ultra violent mais la qualité de l’ensemble parvient facilement à faire oublier un final expéditif. Et déjà au regard des autres films de triade de l’époque, Wong Kar-wai parvient à offrir un métrage bien au dessus de la moyenne car original et séduisant par son mélange entre drame intimiste et urbain.

De plus, As Tears Go By est un film intéressant qui dévoile les prémices d’un grand metteur en scène en devenir, peut-être déjà un génie en son époque. As Tears Go By n’est peut-être qu’un brouillon au regard de ses autres films, mais en tout cas il est une base solide qui servira de terrain d’expérimentation pour aboutir a son premier chef d’œuvre -Nos Années sauvages.

(Source : Hong Kong Cinémagic)

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Encore une comédie hilarante où deux jeunes venant de se rencontrer ignorent que leurs mères respectives se détestent depuis des années.

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Maggie Cheung tournera parfois dans deux films différents la même journée, un drame le matin, une comédie la soirée. Pas toujours pour un résultat réussi.

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Il y a une chose que l’on enlèvera jamais à Wong Jing, c’est son goût en matière de jolies filles. Fort de ce flair indéniable et convaincu (à raison) qu’un casting fort en présence féminine assurait de bons résultats au box office, le rusé réalisateur/producteur a régulièrement alimenté les écrans de Hong Kong en films à forte valeur féminine ajoutée. Bien sûr, ce qui est essentiel, c’est avant tout la plastique de ces demoiselles plutôt que leurs talents d’actrices car leurs rôles sont essentiellement ceux de jolies potiches. Les femmes fortes ne sont pas vraiment la tasse de thé de Wong … How To Pick Up Girls est une belle illustration de cette tendance. La réalisation de Wong Jing fait partie de ces nombreux films de « drague » qui occupaient avec succès les écrans Hong Kongais dans les années 80. La multiplication des acteurs et surtout des actrices était un moyen fort simple de procurer la petite touche d’originalité nécessaire pour que cette nouvelle production trouve son public. Avec plus de 12 millions de dollars de ramassés, on peut dire que le magnat Hong Kongais a encore eu le nez creux !

(Source : Hong Kong Cinémagic)

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Même si c'est la saga des Police Story qui l'a rendue célèbre, il faut bien avouer que l'on a encore droit au cabotinage peu amusant de Maggie Cheung, qui est ici pleinement utilisée comme faire-valoir d’un scénario binaire. Le film n'est pas mauvais, mais l'accent est plus mis sur les cascades et les explosions, au détriment de l'émotion.

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Le film met en scène un handicapé mental face à la société hongkongaise. Heureusement, Maggie, en tant que jeune et jolie assistante sociale va l'aider.