Les autres bobines - Mars 2024

Annotation :

Spectacle filmé de Thomas VDB, dont j'avais déjà vu certains sketchs, c'est sympa, on passe un bon moment. Je n'ai rien de plus à dire à ce sujet.

06/10

Annotation :

Spectacle filmé de Mathieu Madenian, tournant essentiellement autour de lui et sa famille, c'est sympa, on passe un bon moment. Je n'ai rien de plus à dire à ce sujet.

06/10

Annotation :

Mike Leigh est un réalisateur qui comme Ken Loach aime donner la parole à ceux qui ne l'ont pas, c'est pourquoi j'aime tant son cinéma. "Naked" a une place toute particulière pour moi, car il est le premier film (de mon souvenir) que j'ai vu du réalisateur et au vu de sa vision cynique du monde, c'est un film qui m'a marqué et dont on ne ressort pas indemne. Certains trouveront ce film révoltant, outrancier, vain, pourtant il parlera à un grand nombre de personnes, de plus en dehors de l'eschatologie, le film a pour lui un casting extraordinaire et une réalisation des plus inspirées du réalisateur, sans oublier ce thème laconique qui ponctue le film au grès de divers variations, selon les humeurs, c'est envoutant.

08/10

Annotation :

Suite au décès de Akira Toriyama, j'ai voulu revoir un des OAV de Dragon Ball Z, et si celui-ci n'est pas l'un de mes préférés, je le trouve très à propos, puisqu'ici l'histoire se déroule après la saga Cell et que Goku est mort. Or lors d'un énième tournois d'arts martiaux, son fils va se retrouver en mauvais posture lorsque des guerriers d'un autre monde viendront perturber le championnat en question afin de s'emparer de la Terre, c'est alors que Goku va revenir le tant d'un coup de poing pour sauver son fils et lui redonner foi, et c'est ainsi que nous retrouverons pour la dernière fois le Gohan surpuissant de la saga Cell, et juste pour ce moment, cet OAV vaut le coup, même s'il n'y a vraiment pas grand chose de plus à se mettre sous la dent.

07/10

Annotation :

Que dire de ce film, si ce n'est que c'est un de mes préférés, le plus autobiographique qu'ait écrit Quentin Tarantino, réalisé par Tony Scott afin de financer la réalisation de son premier long-métrage, "Reservoir Dogs". Le scénario a tellement plu à Hollywood que tout le monde voulait en être, d'où ce casting de dingue, même dans les plus petits rôles, Brad Pitt à 3 lignes et il en a improvisé la moitié. On retrouve tous les éléments d'un bon Tarantino mais avec plus de sentiments, mais c'est pour le mieux, il n'y a qu'à voir la fin qui est la seule chose qu'à changer Tony Scott au scénario de Tarantino pour en être convaincu. On à là un des meilleurs thèmes de Hans Zimmer, pour une histoire d'amour pas comme les autres, mais une vraie histoire d'amour, comme le dit si bien Tarantino, qui sans la maestria de la réalisation de Tony Scott ne serait pas du tout le même film, il n'y a qu'à voir ce que Oliver Stone fera de la partie non adapté du scénario de base avec son "Tueurs nés", que Tarantino reniera. Vous ne pouvez que passer un bon moment devant ce chef d'œuvre, entre les dialogues savoureux, la réalisation si maitrisée, le casting de fou furieux et une love story naïve à souhait sur fond de film de gangsters, avec la mafia sicilienne, les cops et des gardes du corps un peu trop antiflics sur les bords, le tout à Hollywood, vous avez là tous les éléments d'un cocktails parfait pour une bonne soirée, sans oublier les films de Sony Chiba, évidemment. Bref, pour les passionnés de cinéma, les amateurs de films un peu bourrins, mais avec également une belle histoire d'amour, y'en a pour tout le monde et tous les goûts. Une merveille à découvrir ou redécouvrir.

10/10

Annotation :

Je découvre aujourd'hui sur grand écran "Le roi et l'oiseau", j'dois avouer être un poil déçu, tant on me l'a vendu comme un chef d'œuvre, que ce soit d'animation, d'écriture, poétique ou musical. Je reconnais que le thème principal est très efficace, que les characters design sont vraiment sympathiques, les décors sont beaux, mais c'est très lent sans que cela ait de signification, ce n'est pas toujours cohérent avec l'univers présenté, puis la fin qui se veut être un happy end, en est loin selon moi. Dommage, car je voulais vraiment l'apprécier, mais ça n'a pas prit.

06/10

Annotation :

Révélant le parcours chaotique d'un jeune enfant qui accède à ses rêves malgré son handicap, l'histoire évite le pathos et révèle l'histoire vraie de l'artiste musical et ingénieur du son, Mirco Mencacci. Le film est très bien construit et on a vraiment l'impression d'être aux côtés de Mirco tout au long du récit et de faire partie de sa bande d'ami(e)s. C'est intelligent et montre les travers d'une société qui est sur le point d'évoluer et de changer d'avis sur le handicap. C'est un beau message d'espoir, qui mérite d'être vu par le plus grand nombre, cette ressortie tombe à pic.

07/10

Annotation :

Considéré comme un monument du film de castagne, c'est un film assez archétypal, très en vogues dans les années 80's, ou on a clairement le bien qui affronte le mal, même si le bien représenté par Dalton a des fêlures qui cachent un sombre passé, d'où sa spiritualité, qui l'aide à passer à autre chose, même s'il a du mal. En dehors de Dalton, le film regorge de tronches et de personnages hauts en couleurs, qui sont pour la plus part loin d'être inintéressant, même chez les vilains, on a toujours une scène ou deux qui vont leur être consacrées afin d'étoffer leur background. Côté réalisation c'est académique, vu que c'est clairement la castagne et cet affrontement du bien contre le mal qui est au centre du récit, même si on se permet une petite amourette superflu, le personnage love interest étant clairement un des moins bon. La BO est des plus appréciable et participera grandement au succès du film. Un plaisir qu'on ne se lasse pas de voir et revoir.

07/10

Annotation :

LE chef d'œuvre de Damien Chazelle, qui me fait toujours autant vibrer, visionnage, après visionnage, année, après année. Une perfection en tout point, au final si émouvant, comment lui résister ? Ce soir une fois encore il m'a cueillit et j'ai à nouveau vécu un rêve éveillé. Je le connais quasiment par cœur, je sais ce qu'il se passez à la moindre seconde, que ce soit à l'écran, les dialogues, la musique. Un monument du 7ème art qu'on aime ou non les comédies musicales.

10/10

Annotation :

John Huston nous livre une adaptation très littérale des 22 premiers chapitres de la genèse, tout en omettant tous les passages accès sur le sexe ou les actes d'inceste, car oui la genèse est loin d'être si "catholique" que ça. C'est d'une platitude sans nom, malgré la présence au casting de grands noms du cinéma, il n'en fait strictement rien d'intéressant, par contre il faut lui reconnaître qu'il nous a livré de magnifiques images et qu'il sait mettre en scène le gigantisme. Une œuvre qui manque cruellement de vie, dommage lorsqu'on met en scène la création divine.

04/10

Annotation :

Classique sur une relation toxique banale pour l'époque, qui finit par faire prendre conscience à l'homme qu'il ne tenait pas bien son rôle malgré les apparences, ce qui va avoir pour conséquences de le réveiller (ce qui est rarement le cas, on pas se mentir, en générale l'homme aura le discours de l'avocat). Si le film a un happy-end pour l'homme (voir les deux parties, ce n'est pas si clair), je trouve dommage que ce ne soit pas plus égalitaire, car même si le film montre qu'elle avait raison de le quitter après elle est plus montrée comme une antagoniste, puis la fin est trop abrupte pour être sûr du message. Sinon la réalisation est bonne, le récit est bien construit et le casting fonctionne à merveille. Un bon film.

07/10

Annotation :

Fresque historique romanesque se déroulant en Russie à la fin du XIXe siècle, où se joue des manœuvres politiques afin que le Tsar ne donne pas le pouvoir au peuple, alors qu'il vit sa plus belle histoire d'amour. Les décors et costumes sont somptueux, le casting est flamboyant, mais le scénario est des plus simple, sans parler des dialogues qui n'ont rien d'intéressants, puis la mise en scène est trop sobre, surtout pour ce genre de films, j'aurai aimé que ce soit plus éclatant. Un film assez médiocre finalement, qui semble durer deux heures alors qu'il n'en fait qu'une heure et demie.

05/10