Les incontournables méconnus des seventies

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Cet album ne date pas de 1993 mais 1976 (enregistré en 1975) et regorge de perles rock-soul-Rythm and blues.
Des blancs New-yorkais exilés à Boston qui jouent de la musique noire avec une énergie et une tension rarement égalées dans ce style. Un grand live, groovy et teigneux.

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Quand l’héroïque fantasy s'invite dans le Hard rock psychédélique, quand la crystal machine s'emballe et que les guerriers d'un autre temps déferlent sur les terres de canterbury, quand le show perd le sens de la mesure, quand la transe s'empare des foules...HAWKWIND !!
On écoute "assault and Battery"

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Le coeur des 70's : Leslie West, on écoute "the animal trainer and the toad" la partie de basse de Felix Pappallardi qui envoie du lourd...du bon et du très lourd !

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Ces australiens de the angels (angel city pour l'europe et les states), envoient un rock à base de guitares nerveuses et de chant hypnotique (Doc Neeson fait des merveilles). Un savant mélange de rock alternatif, de new wave et de hard. On écoute le refrain entêtant de "back on you" ou on plonge dans l'ambiance éthérée de "Down is breakin" et on reconnait la signature.

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Un des meilleurs live des 70's enregistré dans cette fameuse salle du Rockpalast. Un power trio psychédélique et inspiré, célèbre en Allemagne, inconnu en France.
Randy California - Larry "fuzzy" Knight et Ed Cassidy
On écoute : 1984 et all the same

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Pas 1994 mais 1976 !! Un Ovni dans le monde du rock ricain. C'est tantôt hard symphonique, tantôt jazzy...du Queen avant l'heure ? La voix de Peppi Marchello est incroyable, les musiciens la portent avec toute la cohésion nécessaire. Un grand groupe qui est passé entre les gouttes de la célébrité, eux même doivent se demander comment cela a pu se produire :/

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Pour les connaisseurs, il parait impossible d'extraire une oeuvre de l'interminable discographie du plus grand compositeur du 20ème siècle : Frank Zappa. Mais si malgré tout on doit se risquer à le faire, alors ce disque doit être dans le trio de tête.

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Cet album est le chant du cygne, avant celui-ci Brownsville station a produit quelques opus qui méritent le détour (School punk, Motor city connection). On enlève les strasses, la frime, les égos surdimensionnés...on garde l'essence du rock réduit à son expression la plus simple, et ça donne Brownsville station !! Ecoutez "Cooda crawlin" et "Tears of a fool"

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Un tireur d'élite, inclassable, irrévérencieux, déjanté, définitivement rock, surréaliste, moqueur, révolutionnaire, drôle, ironique, méchant...et surtout très créatif. Ce premier opus est indispensable.

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Ce duo (kaukonen-Cassady) issu des hippies du Jefferson Airplane délivre depuis bientôt 50 ans des albums de blues acoustique, mâtinés de country, de jazz, de rock. Celui là est leur premier, il respire la fraicheur, l'authenticité qui fait tellement défaut aujourd'hui. On écoute "death have don't no mercy" et "Mann's fate"

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Quand le Jazz rock est au service de la musique et non au service des musiciens. Voila l'incroyable Jeff Beck dans une forme exceptionnelle, créatif et tellement juste dans ses intentions...alors la magie opère.

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la suite de "Blow by blow", même groupe, même projet, mêmes intentions, coup double !

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Du blues rock funky groovy...authentique et rare.

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Le 2ème album de ce groupe majeur des 70's. Lowell George mélange les influences New orleans, blues, country...tout ce qui fait la culture U.S, pour nourrir la créativité d'un groupe qui enchanta son public pendant une décennie.

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Du pub rock anglais, du pur, du gras, du qui sent la sueur et qui voit les soutifs voler par dessus la tireuse à binouze !

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Cet album est à mon sens ce que le rock sudiste à produit de meilleur.
On pose la galette, et on est surpris par la richesse, l'interprétation et la force des compos ! Ce groupe avait le même producteur que ZZ top, pourtant il ne dépassa pas le cadre du confidentiel...dommage, quel talent !
On écoute "Uncle ned"

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L'album le plus rock de ce pape de la country, quelle réussite!
On écoute "chinatown"

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Réunion de très bon musicien, ambiance prog soignée, super son live, l'intro de l'album, avec le synthé de Eno et la basse de Mccormick qui survole le débat, est splendide. La guitare de Manzanera (roxy music) est toujours aussi inventive. Un ovni.

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Un groupe qui pour moi représente parfaitement les 70's, le son, le look, les voix des chanteurs, l'esprit qui les anime.
on écoute "better than me, better than you"

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Réunion pour un soir d'artistes décalés, surdoués, visionnaires...il y a une ambiance "intello New-yorkais vaguement schizophrène" impossible à reproduire. L'objectif n'étant pas la virtuosité, mais la créativité, l'originalité...le fond plus que la forme, l'esprit plus que le corps.
On écoute le "heartbreak hotel" du king revisitée pat John Cale, WOW !

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Encore une perle de ce fou de gallois (ex velvet underground), intimiste, rock, sombre, profond, créatif.

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On écoute "Living sin", puis on écoute l'album et encore et encore et on se demande comment on est passé à côté de ça ?

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le 1er album du Roxy music de Bryan ferry-Phil Manzanera.
Peu de groupe peuvent prétendre avoir réinventé le rock. De temps en temps il y a une étincelle, une flamme...des fous qui s'aventurent sur des voies inexplorées répondant à l'appel d'une vision artistique aboutie. Le roxy music de 1972 avait ça.
On est très éloigné des balades sentimentales, de l'ambiance crooner et du consensuel Roxy music des 80's avec son "Avalon" très (trop) commercial.
On écoute "Remake remodel" et surtout "If there is something".

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Du jazz-world-acoustic inspiré et aérien, aucune prétention si ce n'est celle de vous faire voyager, la classe !!

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Ces gens là ont aussi réinventé le rock, et en cette période ou les géants des 70's agonisaient et ou le disco vendait l'âme de la musique à l'industrie, alors les talking heads ont redonné un nouvel élan. On écoute "I zimbra"

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Ils sont Français-Anglais-Australien, basés en Normandie, formant une communauté à l'esprit libertaire et entourés de lutins malicieux. Ce groupe composé d'excellents musiciens a enchanté les 70's par sa production unique et décalée. Ce double live est un bon résumé de l'univers de Gong, en outre il bénéficie d'un très bon son.

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Album de 1978 (pas 1990). Ces transfuges de Savoy brown, partis faire carrière aux states, enchainèrent les disques d'or et platine, Night Shift et Stone blue étant les plus aboutis. Bon guitariste de slide et bon chanteur, Lonesome Dave Peverett en est le leader, mais derrière c'est un vrai groupe, la rythmique est solide et travaillée, pas de changement de personnel, chacun y a une belle place. Ils produisent à travers les seventies un blues rock hard de qualité, pour preuve cet album et la chanson éponyme.

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Le premier grand bassiste, mais aussi un chanteur exceptionnel et un compositeur original et créatif. Il trimbala sa légende, donnant la réplique à Eric Clapton, Leslie West, John McLaughlin, Robin trower, etc.
Superbe album.

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De l'ascension fulgurante et de la déchéance de Free, naquirent Bad Company (Paul Rodgers-Simon Kirke) et un peu plus tard le Back street Crawler de Paul Kossof. On dit de Kossof qu'il y a plus de feeling dans une note que dans toute l'oeuvre de...steve Vai par exemple. Avant de tirer sa révérence Paul Kossof enregistra 2 albums avec ce groupe aux influences rock-soul profondément ancré dans son époque. On écoute "the band plays on" et "it's a long way down to the top".

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A la fin des 60's le jeune et sage Steve Winwood quitte le Spencer Davis group et l'Angleterre pour les states. Il y forme Traffic et invente le rock des seventies, mélange de folk, de prog, de blues, de jazz, de psyché planant. Les congas et les batteries posent un tapis rythmique sur lequel le saxo et la flûte caressent et virevoltent! Et puis les guitares acides, la basse qui ronfle, les claviers et la voix de Steve qui nous émerveillent. Il a su s'entourer et créer l'univers qui lui permettrait de s'épanouir.
On écoute "Uninspired".