Les influences de Star Wars

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Le projet Star Wars est né après l'échec de Lucas à obtenir les droits de la licence Flash Gordon, mais il ne manquera pas de conserver plusieurs éléments du serial de son enfance.

Parmi les nombreux emprunts au film, on peut citer : la Cité des Nuages administrée par Lando Calrissian, les transitions en fondu entre les scènes, le conflit qui oppose les rebelles et les forces de l'Empire, et surtout son introduction dans laquelle le texte défile !

Lucas a même reconnu que les personnages de Star Wars étaient plus des "hommages" que de véritables créations originales.

Source : http://urlz.fr/2VKt

Voir aussi : Buck Rogers (1939)

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Savant mélange entre les genres du western, de la science-fiction et de la comédie musicale, l'histoire de ce serial en avance sur son temps inspira le travail de Lucas, trouvant un écho jusque dans les titres des films The Phantom Menace et The Empire Strikes Back.

Source : http://urlz.fr/2VsU + https://youtu.be/JIWMajgb-34

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Un groupe de quatre personnages : Dorothy, l'Épouvantail, le Lion peureux et l'Homme de fer-blanc / Leia, Luke, Han et Chewbacca, affronte un méchant charismatique aux habits sombres, aidé dans sa quête par un personnage plein de sagesse : Glinda / Obi-Wan.

Ce dernier disparaît lorsqu'il est tué par Vador, ne laissant derrière lui que sa robe de jedi, exactement comme la méchante sorcière de l'Ouest lorsque Dorothy lui jette de l'eau dessus : elle fond !

Les amis de Dorothy / Luke et Han Solo infiltrent la base ennemie déguisés en gardes / stormtroopers pour secourir Dorothy / Leia.

C-3PO et l'Homme de fer-blanc se ressemblent beaucoup, comme Luke et Dorothy, Chewbacca et le Lion, ou encore R2-D2 et Toto.

Source : http://urlz.fr/2YVG

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Errol Flynn et son rôle de bandit charmeur ont beau correspondre davantage au personnage de Han Solo, son maniement de l'épée et ses acrobaties - en particulier son duel contre Basil Rathbone - ont influencé la chorégraphie des combats au sabre laser.

Aussi, Lady Marian (jouée par Olivia de Havilland) préfigurait déjà la princesse Leia, avec son ton impérieux et sa coiffure originale.

Côté bande son, le compositeur Erich Wolfgang Korngold est un modèle avoué pour John Williams, adepte comme lui des grandes partitions symphoniques, telles qu'on les retrouve dans Star Wars.

Source : http://urlz.fr/2VKt

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Plusieurs éléments de la séquence dans Mos Eisley, sur Tatooine, font penser à Casablanca. Le Café Américain de Rick devient la Cantina, un repaire pour crapules en tous genres avec ses dessous de table, ses piliers de bar et son orchestre jazz.

Le cynisme caractéristique du personnage campé par Humphrey Bogart fut probablement une source d'inspiration pour la création du personnage de Han Solo, jusqu'à son usage du mot "kid".

Les 15 000 crédits promis au contrebandier par Obi-Wan pour les conduire lui et Luke sur Alderaan font sans doute référence à la somme demandée par les passeurs dans le film de Curtiz.

Le personnage de Jabba le Hutt est un hommage au señor Ferrari, le rival de Rick interpété par l'acteur anglais Sidney Greenstreet.

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Voir aussi : Le Faucon maltais (1941)

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Francis Ford Coppola fut le mentor de George Lucas depuis bien avant Star Wars, et il n'est donc pas étonnant de trouver des liens entre Le Parrain, film culte du cinéaste, et l'œuvre de son poulain.

Cette inspiration mafieuse se retrouve chez les Hutts. La plupart d'entre eux sont des gangsters, avec un certain sens de la famille.

Dans Le Retour du Jedi, Jabba est victime d'une exécution digne du Parrain, quand Leia utilise sa chaîne d'esclave pour l'étrangler. Une scène qui fait écho à la mort de Luca Brasi, l'homme de main de Corleone, via son cadrage et l'expression de Lenny Montana.

D'après Lucas, c'est La Revanche des Sith qui contient le plus bel hommage à Coppola, par le biais d'une longue séquence alternant entre l'exécution de l'Ordre 66 et le chancelier Palpatine recevant les pleins pouvoirs du Sénat. Remplacez-le par Michael Corleone, et les chevaliers Jedi par des mafieux rivaux, et le tour est joué.

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Par analogie, les dunes de sable sur Tatooine peuvent être vues comme un rappel du décor désertique de Lawrence d'Arabie, et la réalisation de David Lean a clairement inspiré Lucas pour certains plans (panoramas) de la planète d'origine de Luke Skywalker.

Dans l'épisode II, une scène où l'on voit Padmé et Anakin discuter en se promenant à l'extérieur du Palais Royal sur Naboo, réutilise un décor (filmé à Séville) et une mise en scène vus dans ce film.

L'acteur Alec Guinness, qui prête ses traits au maître jedi Obi-Wan Kenobi dans Star Wars, est un habitué des films de David Lean.

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Lorsqu'il est approché pour jouer Tarkin dans le premier Star Wars, Peter Cushing est déjà une star de la Hammer, célèbre société de production britannique à laquelle on doit la série de films Dracula.
Il est alors le seul acteur connu du film, avec Sir Alec Guinness.

Des années plus tard, Lucas choisira Christopher Lee pour le rôle du Comte Dooku, en référence à sa carrière d'acteur dans les films d'horreur de la Hammer, et notamment son rôle culte de Dracula.
Le fait que ces deux méchants partagent le même titre de "comte" n'est d'ailleurs pas un hasard, mais bien un clin d'œil du cinéaste.

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Le Septième Voyage de Sinbad a la particularité d'être le premier film en couleur ayant recours aux effets spéciaux en stop-motion.

Un travail que l'on doit au génie de l'animation Ray Harryhausen, qui inspira toute une génération d'animateurs dont fait partie Phil Tippett, superviseur des effets visuels sur la première trilogie.
Ce dernier n'oubliera pas de rendre hommage au maître à travers le jeu d'holo-échecs qu'on retrouve dans le Faucon Millenium.

Mais la ressemblance ne s'arrête pas là, puisque ce film semble avoir inspiré une autre scène de l'épisode IV dans laquelle Luke et Leia traversent un passage dans l'Étoile Noire à l'aide d'un câble.

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Voir aussi : Jason et les Argonautes (1963)

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Lorsque Ben-Hur refuse de trahir ses concitoyens à la demande de Messala, ce dernier va alors déclamer la célèbre tirade : « Soit tu es avec moi, soit tu es contre moi ! » Une phrase qui ressemble à celle prononcée par Anakin à Obi-Wan dans La Revanche des Sith : « Si tu n'es pas avec moi, alors tu es mon ennemi. »

Comme Anakin dans l'Attaque des Clones, Ben-Hur est animé par son souhait de préserver ceux qu'il aime de leur destin funeste.
De retour sur leur terre natale, ils sont confrontés à la perte de leur famille, qui déclenche chez eux une profonde soif de vengeance.

Mais l'emprunt le plus évident au film se trouve dans l'épisode I et sa course de pods, clairement inspirée par la course de chars qui oppose Ben-Hur à Messala, et renvoie au duel Anakin - Sebulba.

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La scène dans laquelle Luke revient chez lui, et découvre sa tante et son oncle laissés pour morts par l'Armée Impériale, rappelle une autre scène de ce film où Ethan Edwards (John Wayne) retourne au ranch de son frère, ravagé par l'attaque des Comanches.
Cet incident va pousser Luke à devenir un Jedi, et l'ancien soldat dans une quête de vengeance contre ceux qui ont tué sa famille.

Debbie (Natalie Wood) se fait capturer par les Comanches, tandis que dans l'épisode II, c'est Shmi Skywalker qui est enlevée par les hommes des sables. Malgré tous les efforts de son mari pour la retrouver, ce n'est qu'à l'arrivée d'Anakin que la chasse reprend.

La plupart des plans où l'on voit Anakin chercher le camp Tusken sont repris de La Prisonnière du désert. Jusqu'à son climax, quand Ethan scalpe le chef des Comanches, renvoyant à la décapitation du dernier homme des sables par l'apprenti Jedi.

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Voir aussi : Les Cheyennes (1964)

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Remake du Yojimbo d'Akira Kurosawa, autre influence de Lucas, ce film inspira un célèbre personnage très populaire chez les fans.
En effet, l'acteur Jeremy Bulloch a avoué que son interprétation du chasseur de prime Boba Fett devait beaucoup à la performance de Clint Eastwood dans son rôle de "l'homme sans nom", marqué par des gestes et une posture reconnaissables entre mille.

Il inspirera aussi Jango Fett et la manière qu'il a de faire tournoyer son blaster avant de le rengainer dans L'Attaque des clones.

Pendant la majeure partie de la "trilogie du dollar", Eastwood porte un poncho qui rappelle la cape du jeune Boba Fett sur Kamino, ainsi que Luke dans l'épisode IV et Qui-Gon dans l'épisode I.

Source : http://urlz.fr/2TTz

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Pour avoir inspiré la fameuse scène polémique (encore aujourd'hui) qui oppose Han Solo et Greedo dans la cantina.
La paternité de cette scène est aussi communément attribuée à un autre film, à savoir Les Cheyennes (1964) de John Ford.

Source : http://urlz.fr/2TTz

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Classique du western spaghetti, le film de Leone contient son lot de confrontations entre malfrats de tous bords, qui ne feraient pas tâches attablés dans un coin de la cantina. En bon cow-boy, Han n'hésite pas à tirer le premier face à Greedo (cf. version originale).

Outre cette contribution à l'atmosphère de Mos Eisley, Boba Fett et les chasseurs de primes semblent tout droit sortis du Far West.

L'entrée en scène spectaculaire de Dark Vador dans l'épisode IV a souvent été assimilée à celle de Frank (Henry Fonda) dans ce film. Du carnage qui la précède jusqu'à l'utilisation du thème musical.

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Les films du réalisateur Akira Kurosawa sont peut-être la source d'inspiration la plus connue pour la saga Star Wars. Entre autres, les fameuses transitions horizontales sont un hommage au maître japonais. Au-delà de l'aspect purement visuel, ce sont aussi des thèmes, des intrigues et des personnages qui ont influencé Lucas.

Le meilleur exemple se trouve peut-être dans ce film, avec l'Ordre Jedi clairement basé sur celui des samouraïs. La relation entre les personnages de Luke et Obi-Wan ressemble beaucoup à celle qui lie Katsushiro, l'apprenti et son maître Shimada Kambei, le vieux rōnin expérimenté. Aussi, Luke partage plusieurs points communs avec Kikuchiyo, un jeune fermier qui rêve de devenir samouraï.

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George Lucas a reconnu que les droïdes R2-D2 et C-3PO ont été inspirés par les deux paysans chamailleurs Tahei et Matashichi.
À la manière de ce film, son idée était de raconter une histoire en se plaçant du point de vue des personnages les plus "faibles".

On peut légitimement penser que l'utilisation des "doubles" dans le cinéma de Kurosawa a servi de modèle pour créer le manège entre la reine Amidala et ses servantes dans les épisodes I & II.
Un parallèle d'autant plus pertinent que Lucas a lui-même produit Kagemusha, un film de Kurosawa racontant la vie de la "doublure" d'un puissant chef. Comme Padmé sur Tatooine, la princesse va être confrontée à son peuple et la pauvreté extrême qui l'afflige.

Le personnage du général Makabe, interprété par Toshirō Mifune, n'est pas sans rappeler celui d'Obi-Wan Kenobi. À l’origine, Lucas souhaitait même confier le rôle du maître Jedi à l'acteur japonais.

Source : http://urlz.fr/2TTa + https://youtu.be/4g8r0LhpMzk

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Star Wars emprunte divers éléments à Yojimbo, notamment pour une scène dans la cantina lorsqu'un personnage menace Luke en se vantant d'être recherché par les autorités. Obi-Wan s'interpose et on le voit brièvement dégainer son sabre laser, avant un plan sur le bras de l'assaillant, fraîchement coupé et gisant au sol.

Pour ses services, Sanjuro se voit offrir « 25 ryō maintenant, et 25 une fois la mission terminée. » ce qui fait penser à la proposition faite à Han Solo par nos héros pour les conduire sur Alderaan.

Source : http://urlz.fr/2WHv

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La ruse qui consiste à se cacher dans les compartiments secrets du Faucon Millenium, utilisée par nos héros afin d'échapper aux stormtroopers lors du sauvetage de Leia, est tirée d'une scène de Sanjuro où des personnages se dissimulent sous un plancher.

Une astuce qui est d'ailleurs reprise par Rey, Finn et BB8 dans Le Réveil de la Force, avec un peu moins de succès cependant.

Source : http://urlz.fr/2YVD

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Dans une scène, Dersou et Arseniev se trouvent pris au piège par un blizzard et contraints de trouver un abri pour survivre au froid glacial de la nuit tombante. Bien qu'ils ne puissent pas s'abriter dans la carcasse d'un tauntaun, le parallèle avec la situation de Han et Luke au début de L'Empire contre-attaque est évident.

Le plan iconique des deux amis regardant l'horizon, avec le soleil et la lune réunis dans un même ciel, est souvent comparé au plan de Luke devant les deux soleils de Tatooine dans l'épisode IV.

Enfin, Dersou peut être vu comme un alter-ego humain de Yoda, vieux sage qui a choisi de vivre reclus loin de la civilisation.

Source : http://urlz.fr/2WNO

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La ressemblance physique entre le droïde de protocole C-3PO et la doublure robotisée de Maria dans Metropolis est frappante, notamment dans les concept arts de Ralph McQuarrie.

La main droite de Rotwang est un autre motif récurrent qui semble trouver un écho dans Star Wars. En effet, l'inventeur fou possède une main mécanique qu'il dissimule dans un gant noir, ce qui n'est pas sans rappeler les personnages d'Anakin et de Luke Skywalker.

Aussi, on peut trouver d'autres similitudes entre les deux univers : la ville qui rappelle Coruscant, la thématique de lutte des classes...

Source : http://urlz.fr/2U8e

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Une décennie avant 2001, Planète interdite et ses effets spéciaux révolutionnaires ont rendu crédible la science-fiction. Star Wars semble avoir fait plusieurs emprunts à ce classique du genre.

Morbius utilise la technologie Krell pour projeter un hologramme de sa fille Altaïra / R2-D2 projette une image de la Princesse Leia.

Le design intérieur de l'Étoile Noire ressemble étrangement à celui de la Planète interdite, et en particulier la salle du rayon tracteur.

Source : http://urlz.fr/2VKl

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Le chef-d'œuvre de Stanley Kubrick a été une source d'inspiration constante pour Star Wars, tant dans l'architecture des vaisseaux que dans la représentation visuelle de l'espace.

Stuart Freeborn avait supervisé la création des singes que l'on voit au début du film, avant de travailler sur la trilogie. Il est notamment à l'origine du personnage de Yoda, dont l'apparence est basée à la fois sur son visage et sur celui bien connu d'Albert Einstein.

D'après les commentaires DVD de La Revanche des Sith, le plan qui surplombe le centre médical de Polis Massa où naissent Luke et Leia serait le décalque d'un plan sur la Base Clavius dans 2001.

Source : http://urlz.fr/2Umj

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Outre sa carrière de réalisateur, Douglas Trumbull est surtout connu pour être à l'origine des effets spéciaux visuels de 2001.

Dans les commentaires DVD de Silent Running, on apprend que George Lucas avait approché Douglas pour s'occuper des effets spéciaux de Star Wars. Celui-ci refusa, mais finira par travailler sur Rencontres du troisième type de Spielberg, sorti la même année.

Fan des "drones" présents dans le film, Lucas s'en inspira (avec l'autorisation de Trumbull) pour créer son propre droïde : R2-D2.

En 1978, Universal accusa Star Wars d'avoir copié Silent Running, en réponse à la plainte de la Fox qui elle avait déclaré que la série Battlestar Galactica était un plagiat de Star Wars !

Source : http://urlz.fr/2VTF + http://urlz.fr/2VTR

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L'esthétique du film a vraisemblablement inspiré le design général de la planète Coruscant, et la scène de la course poursuite dans les bas-fonds.

Source : http://urlz.fr/2Wco

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George Lucas s'est inspiré du régime Nazi pour la création de son Empire galactique, adoptant une imagerie véhiculée par le cinéma de propagande et des films comme Le Triomphe de la volonté.

Lucas ira même jusqu'à copier certains plans du film pour la scène finale de l'épisode IV. Ironiquement, la cérémonie où nos héros se voient remettre des médailles, après leur victoire contre les forces impériales, fait donc écho à un rassemblement nazi.

Source : http://urlz.fr/2X4d

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Réalisation des combats spatiaux.

Source : http://urlz.fr/2TTC + https://youtu.be/lNdb03Hw18M

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Le Retour du Jedi est allé piocher quelques éléments scénaristiques dans ce grand film de guerre du début des années 60.

Source : http://urlz.fr/2TTG

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Réalisation des combats spatiaux.

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Réalisation des combats spatiaux.

Source : http://urlz.fr/2X0L