♥ Les Lectures de Deborah Levy ♥

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Son livre "Ce que je ne veux pas savoir" est une réponse à ce livre.

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Citation en exergue dans "Ce que je ne veux pas savoir"

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Citation en exergue de "Ce que je ne veux pas savoir"

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Citation en exergue de la première partie de "Ce que je ne veux pas savoir"

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Evoqué tout au long de "Ce que je ne veux pas savoir"

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Deborah Levy emmène ce livre lors de son voyage à Majorque et est inspirée par le personnage de George Sand.

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Pas ce livre mais le colloque "être mère aujourd'hui" de Kristeva est cité en première partie de "Ce que je ne veux pas savoir".

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Cité tout au long de "Ce que je ne veux pas savoir" et en exergue du "coût de la vie".

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Cité dans "Ce que je ne veux pas savoir" (p. 30)

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Cité en exergue de la deuxième partie de "Ce que je ne veux pas savoir"

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Cité dans la dernière partie de "Ce que je ne veux pas savoir"

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Citation en exergue du chapitre 4 du "coût de la vie"

Citation dans le chapitre 2 d'Etat des lieux :
"A cette époque, j'étais comme possédée par la fin du roman d'Elena Ferrante, l'Enfant perdue. Lila, qui approche désormais des soixante-dix ans, a disparu sans laisser de trace."

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Plusieurs citations des poèmes d'Emily Dickinson dans le quatrième chapitre du "coût de la vie".

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Cité dans le quatrième chapitre du "coût de la vie"

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Dans le cinquième chapitre du "coût de la vie", la narratrice fait la liste des livres qu'elle a emmenés avec elle dans son cabanon d'écriture.

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Idem.

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Idem.

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Idem.

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Idem

"J'avais tracé au feutre rouge un crochet devant cette phrase : 'Chacun est l'autre et nul l'est lui-même.'"

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Chapitre 6 du "coût de la vie" :
"Je relisais les premiers romans ainsi que les essais et entretiens de James Baldwin, dont 'Personne ne sait mon nom' (...)".

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Chapitre 6 du "coût de la vie" :
"Simone de Beauvoir a écrit que 'Le Deuxième Sexe' visait à exposer 'l'omniprésence, l'intensité et le mystère de l'histoire de l'oppression des femmes'.

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Chapitre 6 du "coût de la vie" :
L'un de ses amis évoque ce livre.

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Chapitre 7 du "coût de la vie" :
Ce livre tombe de son sac.

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :
"Mais comme elle l'a écrit au romancier Nelson Algren dans l'exaltation de leur amour naissant : 'Je veux tout de la vie, être une femme et aussi un homme, avoir beaucoup d'amis et aussi la solitude, travailler énormément, écrire de bons livres, et aussi voyager, m'amuser.'"

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :

L'une de ses étudiantes ne se sépare jamais de ce livre.

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :

"Après avoir écrit Le Ravissement de Lol V. Stein, [Marguerite Duras] a fait une déclaration curieuse - elle a dit se donner la permission de parler 'd'une façon totalement étrangère aux femmes'. Je comprends ce qu'elle entend par là. Il est si difficile de revendiquer nos désirs et tellement plus reposant de s'en moquer".

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :

"Je n'étais donc pas du tout en hivernage. Je m'identifiais plutôt à Camus, qui déclarait avoir en lui un invincible été, même au milieu de l'hiver".

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :

"J'étais d'accord avec Ziggy et avec Kierkegaard : 'La vie doit être comprise en regardant en arrière. Mais il ne faut pas oublier qu'elle doit être vécue en regardant vers l'avant."

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :

"George Orwell, dans son essai de 1936 [...] a noté que l'impérialiste 'porte un masque et [que] son visage finit par épouser les contours de son masque."

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Chapitre 8 du "coût de la vie" :

"L'écriture est une question de regard, d'écoute et d'attention accordée au monde. Charlotte Brontë place ce genre de regard au cœur de Jane Eyre".

Chapitre d'Etat des lieux :

"Jane Eyre était gouvernante, mais elle n'était ni froide ni calme. Charlotte Brontë a réécrit le scénario. Sa gouvernante n'était pas un personnage maternel aux manières austères puisqu'elle-même était orpheline de mère et ignorait comment se comporter en mère sévère pour l'homme qu'elle désirait."