Les limbes de ma ludothèque

Annotation :

Mis en suspens sans réel grief à son encontre, alors que les puzzles étaient très ingénieux (non sans mettre mon appareil cérébral à rude épreuve).
- à reprendre, de préférence avec quatre ou cinq tubes d'aspirine

Annotation :

Commencé dans la foulée d'Arkham Asylum qui s'était montré très prenant, peut-être que sa grandeur et sa magnificence m'ont d'autant plus intimidé ?
- à recommencer en faisant fi des veaux d'or qui cherchent à me détourner de la Voie

Annotation :

Pour une raison que j'ignore, hiatus et hernie sont des mots que mon cerveau a toujours associés alors qu'ils n'ont aucun rapport. En tout cas, ils peuvent s'avérer très gênants, chacun à leur manière. J'ai adoré Celeste, mais une pause malvenue m'a fait perdre toutes les mécaniques apprises et découragé de poursuivre l'aventure.
- à continuer, ou plutôt à recommencer (Pépé a passé la trentaine, il faut tout lui réexpliquer)

Annotation :

L'un des jeux que j'ai le plus attendu sur ces 10 dernières années. Entre sa sortie et aujourd'hui, trois parties différentes, parmi lesquelles deux de plusieurs dizaines d'heures (la dernière étant sur la version 2.0).
Je me lasse "rapidement" de cet univers prometteur, qui me paraît limité, tant dans ses représentations que dans son gameplay. J'y vois davantage un Skyrim à la sauce Cyberpunk-stéréotypé qu'un renouveau pour le RPG
- à continuer (?) si je fais abstraction de mes attentes passées

Annotation :

Grand fan du premier, je fais partie des personnes ayant peu adhéré aux modifications structurelles du gameplay (héros uniques, carrosse, etc.). J'aimerais lui donner une seconde chance néanmoins
- à reprendre à condition d'oublier l'épisode fondateur

Annotation :

Bien des tentatives plus tard, il n'y a rien à faire. Je manque de la patience et de la rigueur requise pour les titres de From Software, à l'exception d'Elden Ring dont le champ des possibles est autrement plus large en termes d'expérience joueur.
- abandon certainement définitif (en regrettant amèrement à côté de quoi je passe)

Annotation :

Cf. Dark Souls Remastered (à ceci près que cela semble moins grave pour cet opus mal-aimé de la franchise)

Annotation :

Plusieurs parties lancées, pour autant d'échecs après 30 minutes, 1 heure, 3 heures... Le jeu a pourtant tout pour me plaire sur le papier, je ne parviens donc pas à m'expliquer ce perte rapide d'intérêt
- à recommencer, encore et encore, jusqu'à ce que le coup de foudre se produise (toujours dans le respect du consentement des deux parties)

Annotation :

Ô rage, ô désespoir ! Ô impatience ennemie ! Comme dans le cas des Souls-like, les jeux d'infiltration mettent mon manque de rigueur et ma fainéantise à rude épreuve. Parcourir les égouts de l'introduction furent ainsi un chemin de croix éreintant pour mon âme en peine. L'univers de Dishonored me semble pourtant passionnant.
- à recommencer lorsque la sagesse des vieilles années m'aura touché du doigt

Annotation :

Absolument convaincu de l'ingéniosité méthodique du titre mais je n'ai vraisemblablement pas l'intelligence (ou la patience ? les deux ?) pour en saisir chaque rouage, malgré de multiples essais
- abandon sans doute définitif (non sans reconnaître son excellence)

Annotation :

A la manière de Final Fantasy X, j'ai suffisamment arpenté le jeu que pour en savourer l'essence, mais je me suis arrêté en cours de route (autour du Grand glacier). La pause prolongée a rendu difficile la remise en selle, qui sait si j'y retournerai un jour ?
- à continuer (?), possiblement par la Voie du Mécréant (aka Remake/Rebirth)

Annotation :

Comme les Pokémon et les Zelda, j'ai plus de mal à terminer les Final Fantasy en 3D qu'en 2D. Dans le cas présent, le manque de clarté pour déambuler (pourtant pas pire que dans le septième opus) dans la ville d'Alexandrie m'a frustré.
- à recommencer avec sérieux et assiduité (gare au redoublement)

Annotation :

Jeu passionnant durant plus de 30 heures. Elan brisé par un hiatus trop long (en partie causé par la Plaine foudroyée qui m'a rendu zinzin) et difficulté à me replonger dans le sphérier, etc. ensuite
- à continuer si ma faible dose de courage me le permet

Annotation :

Je l'ai trouvé époustouflant de modernité au moment où j'ai posé les mains dessus 10 ans après sa sortie, ceci pendant près de 10 heures. Comme souvent, les affres du temps (de pause prolongée, on s'entend) sont dévastateurs.
- à recommencer avec la dévotion qu'un vénérable doyen mérite

Annotation :

Après environ 7 heures de jeu, une certaine lassitude s'est installée. Le jeu est charmant et curieux mais parvient difficilement à me maintenir intéressé
- à terminer si une crise d'archéo-linguiste me reprend

Annotation :

Outre une relation très conflictuelle avec les metroidvanias, l'univers cryptique d'Hollow Knight a enfoncé le dernier clou de le cercueil de mon intérêt pour ce titre ô combien vénéré. Je ne désespère pas de m'y atteler de nouveau un jour.
- à recommencer lorsque la patience sera disponible en kit

Annotation :

J'en attendais beaucoup, trop sans doute par rapport à ce qu'il propose en termes de gameplay notamment
- à continuer en revoyant mes attentes à la baisse

Annotation :

Une trentaine d'heures de jeu, mais relative indigestion au Yakuzaverse au moment où j'ai suspendu ma partie
- à continuer

Annotation :

Chapitre Futur proche terminé et celui de la Chine impériale commencé. Peu enthousiasmé par le gameplay à ce stade
- à continuer

Annotation :

Je l'ai fortement attendu pendant plusieurs années mais n'y ai consacré qu'une paire d'heures à sa sortie. Intimidé par le gouffre à temps qu'il semblait représenter, ceci alors que les années me fuient toujours plus ? Peut-être
- à recommencer pour de bon (une fois retraité ? comment ça, la pension va disparaître ?!)

Annotation :

Jeu mis en suspens en cours d'Acte 1, sans trop de raisons. Il n'est pas parvenu à m'accrocher suffisamment pour que j'y revienne sans hésiter
- à continuer

Annotation :

Le concept est amusant mais j'ai eu du mal à cerner ses règles et sa finalité.
- à recommencer en faisant preuve d'un peu de coopération

Annotation :

Prologue terminé. Difficulté à me plonger dans l'univers
- à continuer / recommencer (ce qui revient peu ou prou au même)

Annotation :

L'introduction pénible et inutilement verbeuse m'a endormi au point de m'inciter à ne plus jamais le relancer.
- à recommen... à continuer même si je ne comprends rien à l'histoire, tout sauf me retaper l'intro.

Annotation :

Cas similaire, quoiqu'au modèle plus ancien, à Disco Elysium. Mon envie de le relancer est inversément proportionnelle à mon désir de l'aimer, qui brûle toujours ardemment.
- à recommencer, encore et toujours. Que dites-vous ? C’est inutile ? Je le sais ! Mais on ne se bat pas dans l’espoir d’un succès ! Non ! non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile !

Annotation :

Ma relation avec RDR II est pour le moins... compliquée. L'amour pour son monde organique, son histoire puissante et ses environnements vibrants côtoie la haine dirigée à l'encontre de ses artifices inutilement réalistes et fastidieux ainsi que de son gameplay daté et pénible.
Là où l'opus précédent m'a épaté pendant de très longues heures à l'époque, celui-ci me frustre terriblement
- à continuer mais sans oublier de prendre des calmants au préalable

Annotation :

Il m'a fait de l'œil pendant des années, j'ai finalement craqué et l'ai acheté sans ménagement. Puis, j'ai pris peur face au terrible gouffre temporel qu'il semblait incarné. Et je ne l'ai jamais relancé.
- à (re)commencer, de préférence lorsque le sérum de vie éternelle aura été synthétisé

Annotation :

Je me permets de m'autocongratuler quelques instants : une dizaine d'heures à s'accrocher sur un titre From Software, hors Elden Ring, ça tient de l'exploit pour ma terrible incompétence dans le genre des souls-like. Gyobu Oniwa et la Dame Papillon ont été vaincus et je ne sais plus si j'ai jeté l'éponge, éreinté, avant ou après avoir battu Genichiro Ashina.
- très probablement arrêté, bien que le désir d'y rejouer subsiste

Annotation :

Après avoir fait l'introduction, le titre m'a semblé aussi mignon que ronflant.
- à continuer en lui laissant une véritable chance