Les livres lus en 2024

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commencé en 2023 (1 nouvelle lue) et fini le 03/01 (3 nouvelles lues) 206 pages
Conte crépusculaire, la nuit fantastique, brûlant secret et deux jumelles sont les quatre nouvelles de ce recueil. J'ai adoré trois d'entre elle mais ce fut moins le cas pour la nuit fantastique. Je l'ai trouvé très longue et j'ai eu des moments de lecture évasive, cette lecture où on lit juste pour lire sans chercher à comprendre ce qu'on lit. Dans tous les cas j'ai aimé un minimum chaque histoire. En effet, cela est dû au style d'écriture agréable ainsi que très compréhensible, et les récits variés, imaginativement unique et intrigants . Ces quatre histoires constituent ma première entrée dans les œuvre de Stefan Zweig, mais surement pas ma dernière. Elles sont à mon sens un peu exagérées dans les évènements qu'elles relatent ou dans les émotions décrites, mais Zweig arrive toujours à rendre ça palpitant et crédible notamment dû à ses conclusions plus que satisfaisantes. Par ailleurs, je suis d'accord avec ce qui lui est valoriser. Soit je trouve aussi qu'il parvient merveilleusement bien à exprimer les sentiments humains.

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03/01 464 pages mais 3h de lecture
Je l'ai lu tout en regardant le spectacle. Faire les deux n'empêche pas une quelconque compréhension de l'un ou de l'autre. Au contraire on comprend mieux les deux. L'histoire est très bonne mais j'ai eu du mal à accrocher au début. Il était lent et vraiment compliqué à comprendre. C'est en lisant les quelques première pages du livre que j'ai eu l'idée de regarder le spectacle en même temps. Certains profs nous disait qu'il était bon de faire ça lorsqu'on avait des difficultés à lire.

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commence le 30/12/23 et fini le 07/01 496 pages
La première partie était vraiment très bonne, de la fantasy à bord d'un bateau je trouve ça palpitant si c'est bien mené. Cela m'a donné envie de lire la saga des aventuriers de la mer de Robin Hobb qui j'imagine, est un peu dans le même état d'esprit. Dès lors que l'histoire ne se passe plus dans l'Isabelle, tout était moins intéressant et le temps était plus long. Cela restait sympa mais je dois avouer que ça me rend perplexe quand à la suite. En tout cas Pascale Quiviger a parfaitement réussi sa fin, elle est intrigante et donne bien évidemment envie de lire la suite pour comprendre.
Les personnages sont attachants mais aucun n'est un coup de cœur. Autant dire que ce n'est pas forcement le point fort du livre selon moi. Aussi, l'aspect jeunesse se fait parfois trop ressentir, par moment je trouvais certains détails un peu niais.

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commencé le 07/01 et fini le 08/01 212 pages
Les trois premières parties sont juste excellentes. Fukuoka est un génie modeste des plus impressionnant et ça se ressent dans son histoire, dans sa façon d'écrire et dans les photos représentant sa personne charismatique. Il partage ses valeurs de façon bien plus captivante que Peter Wohlleben selon moi. Les deux prônes une agriculture respectueuse de l'environnement mais Fukuoka arrive à le faire en nous parlant de choses tellement diverses et en philosophant. En dehors d'être un simple livre de culture et de société dont on lit pour son simple développement culturel, ce livre est très plaisant à lire. Se dégage une parfaite ambiance de campagne japonaise, dur mais si chaleureuse en même temps.
Cependant le chapitre 4 et 5 sont plus difficile à lire. Il vaut mieux être concentré pour capter les subtilités de sa philosophie. Moi j'ai eu du mal, j'ai pas tout compris ... En tout cas, ce livre m'a fait réfléchir et m'a appris plein de choses sans que je m'ennuie un seul instant durant 3 chapitres au moins. C'est pour ça que je suis obligé de lui donner 8.

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commencé le 08/01 et fini le 11/01 289 pages
Après avoir découvert la littérature japonaise avec la vie d'un idiot et la révolution d'un seul brin de paille, j'ai décidé de continuer mon excursion avec ce livre. A vrai dire je me suis surtout lancé dans la lecture parce que le titre m'intriguait tout en me faisant sourire. Je l'ai donc commencé en connaissant à peine le synopsis. Eh quel fut ma surprise. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi malsain et violent de la part d'un japonais. Je ne m'attendais pas à ce que la violence soit aussi proche dans le récit, et donc je ne m'attendais pas non plus à une tournure d'évènements post violence comme celle là.
J'imagine souvent le Japon comme une idylle, notamment à cause des bandeurs du japon qui en parle tout le temps. C'est donc très intéressant d'observer que le Japon a aussi ses torts et travers. L'auteur en fait ici la critique.
Le titre du livre reste un mystère pendant presque toute l'œuvre. Il est justifié à la fin de façon cocasse, quoique curieuse, et j'aime bien.

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commencé le 11/01 et fini le 12/01 nouvelle lu en 2h max 116 pages
Je suis étonné parce que tout au long de ma lecture j'était certain de ne pas lui mettre une très bonne note, et pourtant... Le sujet globale ou même les thèmes abordés m'intéressaient qu'à moitié et je trouvais ça un peu long. Par ailleurs, Stefan Zweig à tendance à exagérer les évènements et les réactions de personnages. Dans brûlant secret ça ne m'a pas trop gêner mais pour celui là c'était vraiment limite pour moi. Finalement, j'ai mis une bonne note. Le point qui m'a conquis comme avait pu le faire brûlant secret, c'est l'écriture et la façon de raconté (méthodiques et agréables). Mais c'est surtout la conclusion qui m'a fait aimé. Elle est très bonne et elle réussit à transmettre des émotions alors que, jusqu'alors je n'était qu'à moitié investit et satisfait de la nouvelle.

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commencé le samedi 13/01 et fini le 19/01 448 pages
Je suis très mitigé par rapport aux différentes nouvelles de ce livre. Certaines étaient bien, mais aucune étaient vraiment incroyables. Bien que le style d'écriture soit facile à lire, je n'arrivais tout de même pas à être plongé dans une lecture intense. Chaque nouvelle est différente l'une de l'autre, mais étrangement je ressentais un sentiment de lassitude au fur et à mesure de la lecture. Je pense que cela vient du fait qu'il y a un pas mal d'éléments récurrents dans ces histoires (la réincarnation ou vie antérieur, les femmes, les guerriers, univers semblables...). En plus de ça, je n'ai pas spécialement accroché à l'univers fantastique proposé à chaque fois. En soit, les histoires étaient biens mais le format livre m'a freiné, il est probable que pour les mêmes histoires je préfèrerais les lire sous forme de BD.
En tout cas, je ne suis tout de même pas déçu de cette lecture. En effet, Robert Ervin Howard est un auteur à découvrir, c'est un fondateur de la fantasy. C'est toujours intéressant de lire des œuvres fondatrices ou des œuvres faites par des auteurs fondateurs.

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commencé le 19/01 et fini le 20/01 179 pages
Le livre est rapide à lire. Déjà parce qu'il ne fait pas beaucoup de pages, mais aussi parce qu'il y a une préface, pleins de pages blanches et des annotations à la fin. De plus, il est facile à lire et les nouvelles s'enchainent très bien. J'ai tendance à avoir du mal à passer d'une histoire à une autre dans les recueils de nouvelles, mais ici je n'ai pas vraiment eu de problème.
J'ai bien aimé le ton glauque de certaines histoires. Toutefois, ce que j'ai plus apprécié encore, c'est le fait que la plupart des nouvelles se passent en campagne Normande; le fait de lire des histoires qui se passent dans des lieux familiers, même si ça ne se passe pas à la même époque. D'ailleurs, c'est drôle de constater que pas mal de choses n'ont pas changé en Normandie depuis 150 ans. Il y a toujours autant de bouseux ;p

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commencé le 21/01 et fini le 25/01 288 pages
Ce ne fut pas une lecture très limpide. Il paraitrait même que ce n'est pas le meilleur Dostoïevski notamment à cause de cela. Néanmoins, j'ai bien aimé. Certains passages sont certes peut compréhensibles à mon sens, mais la trame et l'histoire globale se comprend bien. La fin est libre d'interprétation mais il y en a une auquelle on pense directement. On imagine la fin très vite dans la lecture et notre imagination s'avère véridique. Toutefois, l'auteur arrive à faire le rapprochement entre lecteur et personnage sur leur interprétation du déroulé, les deux s'y attendaient depuis le début, mais chacun avait dans l'esprit que ce n'était peut être pas vrai. Je lirai d'autre Dostoïevski pour sûr, car si les autres sont meilleurs, alors ça ne peut qu'être excellent et un 8/10.

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commencé le 26/01 et fini le 01/02 512 pages
En voyant ce livre dans le top 3 des livres les plus drôles, je m'attendais à du très drôles. Tout compte fait, le livre était loufoque et parfois amusant, mais rien qui ne justifie une place aussi haute dans le classement.
Dans l'ensemble, ma lecture était plaisante mais le livre est tout de même bien long. On alterne passé et présent, mais pour moi le passée était bien moins amusant que le présent. J'étais presque déçu à chaque fois quand on revenait au passée. Ca me coupait tout le temps l'entrain que j'avais pour lire. Il y avait presque plus de flashback que d'évènement récents, je trouve que c'est un choix étrange.
Mes 0,10 euro sont rentabilisés.

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commencé le 02/02 et fini le 03/02 240 pages
Je crois bien que c'est la première autobiographie que je lis. J'ai trouvé ce livre dans une boîte à livre et je l'ai soudainement lu alors que j'avais d'autres lectures de prévu. Il est simple à lire et c'est surement pour ça qu'il est souvent proposé en lecture scolaire au collège. Dans cet œuvre, on suit principalement les vacances d'été de Pagnol quand il avait 8 ans. Un récit qui mélange franche vie de campagne perçu par un enfant avec une vision naïve mais parfois cruelle des choses. Pagnol nous fait rire et parfois peur de part ses réactions et comportements. En tout cas, j'ai été ravie de lire un récit sur cette vieille campagne, ses beautés et ses merveilles, ses pratiques et ses habitants. Par ailleurs la chasse y prend une place pas mal importante, ça fait plaisir de revenir sur les traditions françaises au sein d'une lecture. En réalité je n'y connais pas grand chose en chasse, pourtant c'est très intéressant.

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commencé le 01/02 et fini le 04/02 352 pages
Je voulais découvrir un Zola et j'en ai acheté un au pif. C'est tombé sur lui et j'en suis content parce que l'histoire m'a beaucoup plu. Si mon premier Zola avait été un autre roman, ça m'aurais probablement dégouté. Je m'explique. Le thème du roman le rend naturellement glauque, quelque chose que j'aime beaucoup et qui contribue souvent positivement à l' amour que je peux développer pour une œuvre. J'ai donc bien aimé ce récit. Aussi, J'ai bien aimé le style de Zola mais il y avait tout de même un petit hic. On lui reproche souvent ses longues descriptions un peu fatigantes à lire. Pour la plupart du temps, ça ne m'a pas déplu, au contraire ! Toutefois, je trouve que Zola avait par moment tendance à se répéter, un peu comme un disque rayé. Il racontait plusieurs fois d'affilé les mêmes choses à quelques tournures de phrase différentes , mais toujours avec le même degré de détails. Ca devenait redondant et l'histoire devenait nettement moins amusante à lire ( j'avais l'impression de stagnation dans l'histoire ). C'est donc pour ça que je n'aurais pas voulu découvrir Zola avec un autre livre, le thème m'aurait surement moins plu et par conséquent, j'en aurait vite eu marre de ces répétitions.

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commencé le 05/02 et fini le 21/02 557 pages
C'était long. Je m'attendais à une histoire de vengeance plutôt horrible et ce fut le cas. Mais je trouve qu'Heath Cliff est trop susceptible, c'est pas possible de se venger aussi violemment pour ""si peu""

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commencé le 21/02 et fini le 26/02 352 pages
Un livre bien complet sur le monde agricole actuel. Il a un point de vu aussi bien nationale qu'international ce qui nous permet d'apprendre énormément de choses. La plupart du temps il était très intéressant même s'il abordait beaucoup de point géopolitiques et historiques qui à priori ne me passionne pas. Ce qui me plaît particulièrement aussi, c'est que ce livre défend merveilleusement bien la cause des agriculteurs et je trouve par conséquent qu'il est sorti au bon moment, avec les manifestations actuelles des agriculteurs le livre devrait bien se vendre.
Le livre présente juste deux points qui m'ont vraiment déplu :
- Erik Orsenna s'amuse à imaginer des discussions entre lui et des personnages historiques importants maintenant décédés depuis longtemps. Il les fait parler sur des sujets d'actualité qui ne les concernait pas totalement à leur époque. Puis même je trouve ça malsain de faire parler un mort de la sorte, ça passe quand c'est très bien documenté stylé 'les mémoires d'Adrien' mais la c'était un peu au pif j'ai l'impression.
-Julien DeNormandie est moins intéressant. De plus J'ai eu l'impression qu'il cherchait à vendre ses mérites au travers de ce livre, de prouver qu'il était un bon ministre.

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10/03 commencé le 09/03 et fini le 10/03 66 pages
Un humour qui n'a qu'à moitié fonctionné, une histoire pas assez développée. L'auteur nous livre son premier roman et j'ai fois en l'avenir mais pour l'instant de grosses améliorations restent à apparaitre.

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Commence le 27/02 et fini le 21/03 672 pages
En magasin, je voulais prendre deux livres pour profiter d'une offre '2 livres achetés un offert' J'avais dans l'idée d'acheter 'Tout le bleu du ciel' et pour le deuxième livre je n'avais pas d'idée spécifique. Après réflexion parmi toutes les œuvres disponibles dans le rayon, je me suis décidé à prendre celui-ci. Son scénario dystopique et son histoire tournant autour des forêts et de l'environnement, m'ont naturellement intrigué. Au contraire, je n'était pas particulièrement intéressé par l'histoire familiale que semblait proposer le livre. Et comme d'habitude, j'ai fini par préféré ce qui de base m'attirait le moins dans une œuvre. Cette histoire familiale qui se conte sous 4 générations est vraiment très bonne. Les personnages sont incroyablement bien écrit, en tout cas Michael Christie est fort pour créer des personnages détestables ( Willow ) ou adorables ( Everett ).
L'œuvre est aussi une super éloge environnementale, c'est fin et bien fait. Vous savez parfois les œuvres écologique sont le reflet de leur auteur écoguerrier insupportable, et ce n'est pas le cas ici. Michael n'est donc surement pas un écoguerrier à la con, et ça j'apprécie. Enfin, j'ai bcp aimé la façon disparate de raconter l'histoire. Elle se raconte comme on pourrait lire une souche d'arbre avec ses cernes, c'était audacieux et c'est réussi.

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commencé le 21/03 et fini le 26/03 368 pages
J'ai largement moins apprécié l'Iroquois que le Kid. Ca ne m'a pas empêcher d'aimer l'œuvre en général, mais disons que globalement c'était moins bien que les livres principaux de la saga. Etrangement, la vulgarité de ce livre m'a davantage percuté que les autres. Je la trouvais limite gênante par moment, l'année dernière ça ne m'arrivait jamais. Est ce parce que j'ai lu plus de chose ( dont des livres plus distingués ) et que je n'ai plus l'habitude de lire ce genre de violence ?

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commencé le 25/03 et fini le 31/03 270 pages ( audio )
Ce livre fait l'objet d'un hommage sincère envers ce chien. Et quel hommage ! Grâce à ce livre énormément de personnes ont apprit à apprécier et à aimer un chien qu'ils n'ont jamais vu. Le style littéraire est bon, les réflexions de l'auteur sont vraiment intéressantes, mais je n'ai pas autant accroché qu'espéré.

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commencé le 01/04 et fini le 11/04 475 pages
Je crois n'avoir jamais lu de livre aussi angoissant et anxiogène que celui-ci jusqu'à maintenant. Il faut dire que je n'ai pas lu beaucoup de livres horrifiques hormis 5 livres de Stephen King. Je peux donc affirmer que les livres de cet homme sont moins terrifiants que les ruines. King a par ailleurs conseillé la lecture des ruines, il était intéressant de voir ce que celui-ci pouvait aimer.
L'œuvre m'a paru très lente, au début, cela était gênant (l'installation du contexte est souvent peu passionnante.) mais cette lenteur servait parfaitement le reste du livre. Elle apportait une vraie angoisse supplémentaire. Par ailleurs, j'ai trouvé que les détails apportés étaient particulièrement intéressants, dans le sens où les descriptions étaient très imagées au point de se croire à la place des personnages.
À première vue, les personnages sont clichés, un peu débiles, exactement comme dans un film d'horreur un peu nul. Toutefois, on apprend à les connaître et à voir au-delà des apparences. Au final, ce sont donc des personnages très intéressants qui selon moi n'ont jamais prit de décisions débiles (contrairement aux films d'horreur nulle dont on discute de toutes les décisions prises).
Dans cette œuvre, il n'y a aucun espoir de survie, ou du moins quand il y en a, c'est très dérisoire et s'avère être une déception incroyable. Le livre est dépitant et propose une fin que j'ai adorée, et qui m'a scotché. Bref, très bon huit clos.

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commencé le 11/04 et fini le 22/04 270 pages
Je me suis intéressé à ce livre parce qu'il était très glauque et dérangeant. Après la lecture des Ruines, je n'avais qu'une envie : celle de retrouver une lecture malsaine et anxiogène. L'œuvre l'est belle et bien, mais je n'ai pas ressenti la même crainte qu'à ma lecture précédente, j'étais même presque déçu. Les gens ayant lu le livre affirmait avoir vraiment été impacté par le livre, mais moi ça ne m'a pas fait grand chose au final.

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commencé le 22/04 et fini le 30/04 840 pages
Une très belle aventure qui s'apprécie de plus en plus au fil de la lecture. Les personnages deviennent des amis, on a l'impression de les connaître par cœur.
Ce livre nous émerveille, rire, pleurer et donne envie de voyager. Le scénario m'intéressait beaucoup étant donné que j'adore les histoires tristes. C'est pourquoi je l'ai acheté. Je comprends désormais l'engouement autour de ce livre, je comprends pourquoi je le voyais absolument partout en magasin.
La fin présente plusieurs révélations et il y en a une qui est prévisible, en tout cas, je l'avais deviné, mais ça ne m'a pas déçu pour autant.

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6,75 commencé le 31/04 et fini le 09/05 504 pages
Le troisième livre de Stefan Zweig que je lis, je commence à bien le cerner. Ce bouquin est du Zweig tout craché, il décrit très bien les sentiments humains mais c'est un peu long.
Je suis déçu, je m'attendais à adorer le livre au vu de la note moyenne qu'on lui a attribué. Je l'ai trouvé bien, certes, mais me voilà juste un peu amère d'avoir lu l'équivalent de 500 pages pour cette fin. Elle est objectivement bien, mais elle m'a laissé de marbre.

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commencé le 09/05 et fini le 11/05 94 pages
Je n'ai pas trouvé ce livre aussi captivant que promis. Je n'ai rien à en dire de plus. Dommage que je me sois fais spoil, le récit perd tout son intérêt.

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commencé le 11/05 et fini le 12/05 294 pages
C'est le deuxième livre traitant de la captivité que le lis en l'espace d'1 mois. À cause de cela, la lecture m'a paru un peu longue et j'avais par moment une impression de déjà vu. Alors, oui, l'histoire n'est pas la même du tout que dans 'les nœuds d'acier', mais des captivités dans une cave se ressemble forcément entre elles. Parmi ces deux œuvres, c'est celle-là que j'ai préféré. La fin est bien différente, mais tout aussi bien.
Une bonne surprise que de découvrir Karine Giebel.

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Commencé le 13/05 et fini le 14/05 240 pages
Je suis ravi de l'avoir lu parce que c'est une référence pour sûr. Il véhicule des idées d'une pertinence incroyable, qui plus est toujours d'actualité après 70 ans de parution. J'en suis vraiment impressionné ! Par ailleurs, l'histoire est très bonne. Le gros point noir a été pour moi le style d'écriture (si ce n'est pas la traduction qui a rendu le livre comme tel), je ne l'aimais pas du tout. J'ai trouvé ça ultra chiant à lire. Peut-être que c'est dû à ma fatigue de la semaine (semaine de voyage scolaire) mais le style était plus chiant à lire que du Dostoïevski.

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commencé le 15/05 et fini le 17/05 220 pages
Mon deuxième livre de Dosto et le deuxième livre qui traite du jeu d'argent dans l'année. On dit souvent qu'il est bon de commencer ses livres avec celui-là ou avec 'le rêve d'un homme ridicule'. Et il est vrai qu'il était bien plus simple à lire que 'le double', mais ce n'était pas évident non plus. L'histoire et son déroulé sont d'une qualité supérieure, mais il est évident que le style est un frein dans le plaisir de lecture.
Aussi la fin est prévisible.

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commencé le 17/05 et fini le 23/05 279 pages
Au vu du synopsis, je m'attendais à ce que le personnage principal (Jean-Baptiste Grenouille) tue tout au long du récit. Je fus donc assez surpris de voir que les meurtres ne sont que des externalités négatives, nécessaires au succès de Grenouille.
Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce livre, c'est son incipit. Elle constitue une introduction super efficace étant donné qu'elle est bien drôle.
Les descriptions détaillées au sein du livre se faisaient souvent pour la concoction de parfum, le listing des ingrédients ou de la senteur. Parfois, j'ai trouvé ça long, car je n'arrivais pas à me projeter en m'imaginant une odeur correspondante aux ingrédients (je ne les connaissais pas tous.). D'autres fois, je n'avais pas ce problème, car j'avais la curiosité de m'informer sur les ingrédients ou juste, je les connaissais très bien. N'empêche que ce livre sollicite pas mal notre imagination olfactive, et je n'en ai pas beaucoup.
Si on est suffisamment curieux le livre nous apprend donc pleins de choses.
Le personnage principal est perturbant de part sa façon toute particulière de penser. Ses actes sont affreux et Grenouille est complètement antipathique quant il les fait. C'est un personnage sur lequel j'ai un regard neutre, je ne l'apprécie pas mais je ne le déteste pas. Nous ne connaissions rien des victimes alors que nous connaissons tout de lui, de plus il n'agissais pas par sadisme, je trouve que ces facteurs aident à ne pas le détester.

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commencé le 23/05 et fini le 26/05 192 pages
Je ne connaissais rien de cette licence, et je suis content de l'avoir découverte par son œuvre originale. J'ai vraiment aimé, c'est pourquoi le visionnage des films est désormais dans mon programme.
J'ai deviné le Twist seulement 2 pages avant la fin, on ne peut pas dire que ce soit prévisible, en tout cas, il est super intéressant. Par ailleurs, je pense qu'il est préférable de découvrir le livre avant les films. En effet, c'est cette immersion totale dans un univers inconnu qui m'a autant fait aimé le livre.

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Commencé le 26/05 et fini le même jour, 60 pages
Ce fut très court. Il est intéressant de constater qu'une nouvelle aussi vielle, soit encore autant d'actualité. Effectivement, celle-ci critique la société, et particulièrement le fait que notre apparence prend une place trop importante dans celle-ci.

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27/05-28/06 224 pages
Ce roman est vraiment un monument et ce n'est qu'après l'avoir lu que je comprends pleinement son importance. Il était impératif de le lire !
Je n'avais plus forcément envie de lire à cause des examens, c'est pourquoi j'ai mis 1 mois pour le finir. En-tout-cas, si j'ai commencé ce livre, c'est en partie pour essayer de comprendre mon père. Lui, qui le déteste au plus au point. Il l'avait découvert au collège, une période où l'innocence règne encore, et si tenté qu'on n'aime pas lire, je comprends parfaitement que la lecture de ce roman fut un calvaire. En effet, ce roman ne ménage pas ces lecteurs, le style est relativement simple à lire, mais les descriptions sont crues et très explicites. En soit, 'à l'ouest rien de nouveau' dépeint parfaitement l'horreur de la guerre. Que ce soit au travers des bilans humains, des blessures toujours plus horribles, de la propagande, de l'incompréhension des civils concernant la réalité des choses, ce roman est juste magnifiquement glauque. Loin de vouloir faire du spectaculaire, le livre compte juste des faits. Des faits qui vaudront plein de préjudices à l'auteur, après la publication du livre.
C'est un indispensable pour comprendre qu'à la guerre, tout est horrible. Même les moments plus 'calmes', les permissions où les séjours en hôpitaux relèvent de l'affreux.