Les méchants du rock (twisted reality)

Annotation :

Parmi tous les faquins de la sphère rock, Ringo est un des plus fieffés. Sous ses airs bonhommes, il a sciemment mené les Beatles à leur perte, pour se venger de son impopularité notoire. La relation entre Yoko et John qui créa la tension dans le groupe ? C'était lui. Les interprétations fantasques et abusives des paroles de leurs chansons ? Devinez qui en est à l'origine. La pire chanson des Beatles, Obladi Oblada ? Ringo encore, qui a soufflé l'air et les paroles à Macca dans son sommeil, une nuit de pleine lune. Il devait être indisposé la nuit au cours de laquelle Paul s'est d'ailleurs réveillé pour pondre Yesterday. Arrivé ici, je n'ai même pas à vous demander qui est-ce qui a tué McCartney lors de l'enregistrement du Sgt Pepper pour le remplacer par un sosie. Ni qui a engagé Mark David Chapman pour descendre John en public. Certains mecs me donnent juste envie de gerber.

Annotation :

Un gros nounours ? Laissez-moi rire. Ha ! Un pauvre junkie, gras et illuminé. Qui pour compenser son absence totale de talent se sera entouré de génies du genre de Van Dyke Parks ou Phil Spector (un bon gars celui-là) pour sucer leur moelle (après avoir vampirisé son adorable fratrie). On raconte que quand il était petit, il faisait rien qu'à faire caca à côté du pot. Tu m'étonnes que son père ait perdu la boule... Et puis vous l'avez déjà entendu chanter ? Un eunuque je vous dis, frustré jusqu'au bout.

Annotation :

Pervers de la pire espèce, cachant ses vices et son nihilisme anarchiste derrière des chansons pseudo inoffensives. Le mec c'était un taré ; fan de la première heure du Velvet Underground (de la PREMIERE HEURE, genre quand c'était juste du bruit pour animer les soirées néons de Warhol, tu rends compte ?), proto-punk (le voilà donc, le parrain sordide de cette ignoble engeance qui s'enfonçait des épingles à nourrice dans l'arcade et criait « à mort la reine ! » avant de devenir des clodos à crête). S'il affiche un air enfantin, ce n'est que pour mieux attendrir l'enfant à la peau douce dans son lit.

Annotation :

En matière de schizophrènes, on a pas fait plus dangereux. Le mec se permet d'arriver à moitié larmoyant sur scène et certains ont le culot d'appeler ça de la « sincérité ». Nan mais où croyez-vous qu'il a pris le goût des larmes ? Vous savez combien de psychiatres, de psychologues, d'infirmiers et de techniciens de surface il a laissé recroquevillés sur le sol, secoués de sanglots convulsifs après avoir subi un vomissement d'insanités de la part du Daniel ? En plus il est gros avec ça.

Annotation :

Cynique parmi les cyniques, Mayo Thompson veut avoir le beurre et l'argent du beurre. Non content de jouir d'une réputation de perceuse à tympan avant-gardiste avec son groupe Red Krayola lui ayant déjà permis de se mettre les industries pharmaceutiques dans la poche (clientèle florissante depuis la parution de son premier disque), le bonhomme se permet de se transformer du jour au lendemain en petit faiseur pop tout mignon, ramassant au passage les légumes shootés aux antidépresseurs, ceux-là même qu'il aura auparavant foutu en dépression sévère. L'offre et la demande, l'ogre capitaliste dans un mouchoir de poche. Cerise sur le gâteau, il nommera sa bande de potes « the Ugly Family », quelle indélicatesse !

Annotation :

On ne vantera jamais assez les mérites de Phil Elvrum en tant que tortionnaire. Oui, il compose de jolis morceaux. Mais à l'instar du chef d'entreprise qui fait crever le petit chinois bon marché à la tâche pour t'offrir ta belle poupée Barbie, le Philou a du sang sur les mains. L'idiot utile, la brebis sacrifiable de son œuvre n'a certes pas les yeux bridés et l'échine courbée, mais le manche déglinguée et les cordes brisées. Combien de guitares Elvrum aura-t-il encore à sacrifier sur l'autel de la distorsion avant que sa soif meurtrière ne soit apaisée ?

Annotation :

Alors pour Wayne Coyne on passera sur les accusations de pédérastie, ses textes parlent d'eux-mêmes, ce serait redondant. En revanche, on ne saurait garder son sang-froid à la découverte de l'ultime méfait : Coyne est un plagieur de la pire espèce, sans scrupule ni respect des droits d'auteurs. Ses paroles, qui ont fait vibrer des centaines de milliers d'indie-kids à travers les années, sont tous extraits de livres pour enfants, dont l'héritage a ainsi été pillé, vampirisé des décennies durant sans que personne n'élève la voix. Les rumeurs rapportent même que le bonhomme aurait séquestré certains auteurs dans sa cave pour les faire travailler d'arrache-pied jour et nuit, sous la menace de leur faire écouter ses reprises des Pink-Floyd pour peu qu'ils se relâchent un instant.

On passera volontiers sur ses reprises douteuses des Beatles, ça fera les pieds à Ringo, le pire de tous.

Annotation :

Derrière ses airs d'adorable faiseur pop ou encore de gentil poto venant en aide aux talentueux musiciens dans le besoin, notamment pour ses travaux en tant que producteur, Jim O'rourke est un fieffé coquin. Dire que ses pochettes sont de mauvais goût est un bel euphémisme. Est-ce un animal en peluche que l'on voit donner une fellation à un gros bonhomme ravi ? La question que tout le monde se pose : y a-t-il eu un modèle pour ce dessin ?
Et nul doute que derrière ses airs de tonton producteur se cache un tyran qui s'approprie le dernier mot en piétinant toute proposition de la part des pauvres artistes d'origine. On ne badine pas avec Jimmy.

Annotation :

Fou ou pas, LE MEC A DEMOLI LA CHAMBRE DE SON CAMARADE DE GROUPE AVEC UNE PUTAIN DE HACHE A INCENDIE. Et après ça prétexte la schizophrénie pour justifier ses conneries, c'est facile j'vous dis. Derrière cet air de doux-dingue se cache un violent psychopathe moi je vous dis.

Annotation :

Oh le paaauuuvre handicapé avec sa barbe de Père Noël, on lui pardonnerait tout, non ? On lui donnerait le bon Dieu sans confession ? Lui et sa petite voix de lutin tout mignon. Oh oui, on laisserait tout passer par compassion, ou plutôt par condescendance, par pitié.

Robert l'a bien compris. Des années, des décennies passées à se faire prendre de haut par tout le monde. À se faire caresser les cheveux et la barbe comme on palpe un toutou. Mais Bébert prépare sa revanche. Lentement, sûrement. Ça a commencé avec des petits abus, et ça escalade petit à petit ; on ne lui refuse rien au Robert alors il peut tranquillement profiter de son monde. Moi je vous dis, on est à deux doigts du fait divers : "Un enfant de 9 ans aurait 'fait des bisous' au zizi tout dur' d'un vieux bonhomme en chaise roulante. La victime du drame aurait rapporté avoir agi de son plein gré, 'parce qu'il était si mignon'".

Moi je vous dis, il faudrait l'abattre de suite, par pure charité.