Les meilleures fins d'albums

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Malgré le fait que cet album traite de divers thèmes avec divers degrés de gravité, il faut reconnaître que ce dernier morceau est un coup de maître, ces 9 minutes légères et théâtrales (et notamment la dernière minute trente) viennent conclure un espèce de medley de 30 minutes par... un medley de 9 minutes. Ce dernier morceau est en fait presque un mini-album à la fin de l'album.

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Je n'aime pas trop le Blue Album, je suis plus fan de Pinkerton, que je trouve moins mou et plus rigolo. Cependant, il faut reconnaître la puissance de ce dernier morceau, que ce soit du point de vue de l'écriture, de l'intensité ou de l'arrangement, il est juste parfait pour finir un album, sa beauté, en décalage avec le reste de l'album rend l'ensemble "mignon", un adjectif rare...

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Une nouvelle fois, cet opus n'est pas mon préféré du groupe, mon amour penchant pour No.4, mais c'est un disque extrêmement versatile, qui nous fait passer par des multiples états, le début est plutôt violent et concerne la drogue (thème récurrent chez STP) et au fur et à mesure qu'on avance, on se dirige vers quelque chose de plus poétique, nostalgique. Et pour conclure cette exploration, l'album se termine par la fin du monde, un morceau pas nécessairement plus violent que les premiers, mais plus brutal, un bijou de composition, d'arrangement et de progression dramatique

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Wonderful Glorious est une alternance de moments (parfois des morceaux entiers, parfois des passages à l’intérieur de morceaux contrastant avec l’atmosphère du morceau) tantôt violents, brutaux, et tantôt calmes, posés, presque rassurants. On peut noter que l’atmosphère qui encadre l’album, est plutôt brutale avec les quelques morceaux et passages calmes qui viennent s’y opposer. Plusieurs fois dans l’album, on retrouve un mélange des deux : le final de Peach Blossom (morceau brutal) est teinté d’une mélodie agréable à l’oreille et à l’inverse le final de The Trunaround, morceau plutôt calme se veut puissant. Le coup de génie de l’album est de terminer sur un de ces passages violents teinté de mélodies rassurantes, ce dernier morceau, bien qu’un peut court est un exemple en terme de progression dramatique et vient synthétiser le son de l’album d’une fort belle manière.

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Infinity Land part dans tout les sens, c’est le moins qu’on puisse dire. La richesse musicale de cet album et la densité d’idées qu’il présente sont une de ses grandes forces. Cependant, selon moi, une grande force de cet album est aussi sa progression, on sent que les Biffy Clyro ont voulu encadrer cet album pour qu’il ne soit pas juste « intéressant », ils ont voulu y ajouter un début et une fin. Et cette fin est parfaite, elle est anormalement calme (le seul autre morceau calme de l’album étant the Atrocity), avec un tempo plus lent, ses phrases plus simples que d’habitudes qui se répètent… Très efficace pour marquer l’auditer une dernière fois.

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Le son, les instruments, la gamme, la batterie... c'est juste brutal.

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Qu'est ce qu'on fait quand on a un album de merde, consensuel, infoutu d'alligner trois mesures sans références aux beatles, avec des suites d'accords tellement faciles et sans ambition qu'on en tourne en rond ? Bah on met les deux morceaux les moins pompeux (pour une fois je vais fermer les yeux sur Champagne Supernova) à la fin. On met les deux morceaux qui font le plus de bruit, qui nous submergent le plus pour clore l'album. Le final de Champagne Supernova est assez impressionnant, faut bien le reconnaître...

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Pour la première fois dans la carrière d’EELS, un album est joyeux, fin non, du moins ce cher Mark a décidé de rechercher un semblant de positif dans son « World of Shit ». Cela se ressent particulièrement au travers de la fin : on a tout d’abord « Something is Scared » qui a un ton confiant, assuré par une suite d’accord ni majeure ni mineure, puis on enchaîne sur « Selective Memory », qui reste simple (par l’arme préférée de EELS : l’enchainement I-IV), mais s’étoffe via son arrangement au fur et à mesure que le morceau avance et qui termine sur un bel accord majeur sur de lui, comme il y en a si peu dans la discographie de EELS. Cependant, la vraie claque que nous donne cette fin c’est son morceau caché, ce morceau qui, une nouvelle fois par sa simplicité, est naïf, léger, et, disons-le, joyeux. Il a enfin trouvé le positif et tout porte à croire que cette fois, c’est pour de vrai…

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Cet album est étonnemment réussi au vu du nombre de tonalités et de notes utilisées. Chaque morceau arrive à être différent des autres par une caractéristique particulière. En point d'orgue, on a sa fin encore plus brutale que le rested de l'album, bravo