Les meilleures histoires de Michel Vaillant

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Un tome très misogyne, un peu raciste hélas, mais qui propose de bonnes pages de compétition automobile.

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L'intrigue de défi face à l'URSS est assez classique mais j'ai trouvé la course de grand tourisme en Espagne agréable à suivre. C'est dommage que la dernière course soit totalement zappée.

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Mes souvenirs de cet album sont plus vagues que pour d'autres, mais je crois qu'il était plutôt sympa, avec beaucoup de courses et son charme désuet.

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L'intrigue autour du Pilote sans visage est sympa, mais on a beaucoup de scènes ringardes avec le clan Vaillant dans ce tome et il faut réussir à encaisser.

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J'adore le moment où Michel, lors d'un comité de direction chez Vaillante, rêvasse et se rappelle du moment où il a bastonné des gens avec Steve dans le tome Route de Nuit. "Qu'est-ce qu'on leur a mis !"

A part ça, cette histoire de formation de jeunes pilotes issus du monde entier (= des blancs occidentaux, dont un soviet pour pimenter l'affaire) est plutôt amusante à suivre avec une sympathique épreuve de rallye Liège-Sofia-Liège à la fin. Y a des rebondissements très téléphonés mais ça reste plutôt agréable à lire.

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Un tome que j'ai trouvé étonnement pas mal. Le voyage aux USA est plutôt bien géré et les deux courses qui nous sont montrées sont agréablement pimentées par la "trahison" de Steve Warson.

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Un recueil d'histoires courtes pas hyper incroyable en lui-même, mais qui a le mérite de révéler la véritable première histoire du héros, avant "le Grand Défi" ainsi que des histoires qui montre l'enfance de Michel et ses débuts en temps que pilote. Y a même un espèce de prologue à "Route de Nuit".
Bref, des infos essentielles (non) sur le lore de la série !

Je suis un peu indulgent avec ce tome, mais c'est vraiment parce que les autres tomes d'histoires courtes sont pires.

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Un tome complètement con, complètement hors-sujet, avec une intrigue polar/aventure claquée, mais qui est du coup un peu amusant, avec une ambiance nocturne réussie, et un Michel complètement dépassé.
Avec Route de Nuit, il fait parti des tomes "nanardeux" de la série qui sont inoubliables.

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Dans ce tome-ci, Michel Vaillant quitte un temps le monde de l'automobile pour découvrir le monde des camionneurs, et le résultat est complètement kitsch, ce qui rend l'album plutôt amusant et marquant. Je ne le trouve pas très réussi, mais en même temps il est fascinant.

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Le fait qu'on doive attendre la course jusqu'aux dix dernières pages est un peu chiant, mais suivre le préparatif des 24h du Mans à l'époque à un côté quasi documentaire intéressant, et cette intrigue à base de rêve prémonitoire et de pilotes américains voyous n'est pas désagréable.

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J'ai beaucoup de tendresse pour ce tome où le côté découverte du monde des cascadeurs de cinéma à l'époque est très intéressant, mais ça reste un album où il ne se passe pas non plus des trucs dingues.

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Un recueil d'histoires courtes, comme son nom l'indique, qui sont complètement anecdotiques et donc complètement dispensables.