Les meilleurs albums ouest-africains

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Le son du désert à l'état pur, le meilleur album d'Ali Farka Toure, Ry Cooder à la production en tire un son qui construit un pont entre les grands espaces désertiques américains (on pense à la magnifique BO de Paris Texas) et les méandres du fleuve Niger à travers les dunes maliennes.

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Deux maitres de la cora se retrouvent pour nous livrer cet album instrumental aux mélodies d'une beauté époustouflante, dans lesquelles leurs deux instruments se perdent et se répondent.

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Le meilleur album de la plus grande chanteuse malienne, tout simplement. Oumou Sangaré reprend ici ses premiers succes, dont le fameux Diarabi Nene, dans un son plus actuel qui rend vraiment hommage a sa voix sublime appréciable dans toutes ses nuances.

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Le nouvel héraut du son du désert, digne successeur d'Ali Farka Touré et de Tinariwen, cette fois-ci cote Nigérien, nous offre un album d'une efficacité redoutable, au son particulièrement léché mais authentique, une vraie bouffée d'Aïr frais.

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Deux virtuoses de la musique malienne, l'un héritier de l'empire mandingue, et des traditions ancestrales des griots, l'autre, fils du désert et du fleuve Niger marient leurs deux instruments cora et guitare pour nous offrir la quintessence de la musique malienne dans cet album epuré.

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Si Vieux Farka Touré subit le difficile poids de la comparaison avec son pere, il arrive avec Fondo a faire jeu égal avec lui et délivre ici un grand album de blues où son jeu de guitare est totalement abouti.

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Pas un album à proprement parler, mais une compilation du meilleur de la musique malienne, des Tamacheks Tinariwen aux griots mandingues, en passant par le blues sahélien d'Ali Farka Touré, sortie a un moment où le pays était dechiré en deux. Une compilation qui crée du lien donc, nationalement mais aussi internationalement grace aux collaborations presitgieuses, parmi lesquelles on peut citer Björk, Damon Albarn, Dee Dee Bridgewater...

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Première rencontre entre les deux maestros de la musique malienne, pour cet album enregistré, selon la légende, d'une traite, sans répétitions. Deux monstres sacrés dont leurs instruments se connaissaient déja par cœur avant de se rencontrer.

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Peut-on parler ici d'un album ouest-africain, puisqu'il a été enregistré à Nashville ? Oui, car ce qui fait l'origine d'un album, ce sont ses mélodies et sa langue, et ici, bien que la production orchestrée par Dan Auerbach des Black Keys donne un son typiquement américain, les melodies restent Touareg et la langue Tamachek. Le plus rock des albums africains.