Les meilleurs OVA

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Chef-d'œuvre ultime de Kazuhiro Furuhashi, réalisateur méconnu responsable d'anime comme Hunter x Hunter 99, Gundam Unicorn, et le Chevalier d'Eon, Rurouni Kenshin - Tsuioku Hen est probablement l'un des témoignages les plus tragiquement poignants dans l'animation japonaise. Romance shakespearienne se déroulant au crépuscule de l'ère d'Edo, l'OVA raconte avec brio les errements de Kenshin Himura, jeune patriote piégé dans un conflit qui le dépasse infiniment et le marquera au fer rouge pour le restant de ses jours.

Une œuvre qui transcende avec une majesté altière son support d'origine.

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Encore un chef-d'œuvre de Kazuhiro Furuhashi (décidément !)

Série d'OVA en sept épisodes dont le dessein est de conclure une bonne fois pour toutes l'Universal Century amorcé par le premier anime en 79, Gundam Unicorn s'avère un chef-d'œuvre irréprochable en tout point : personnages charismatiques, musiques transcendantes de Sawano, animation orgiaque... Si l'on peut regretter les défauts d'écriture du personnage principal, dont la naïveté en agacera plus d'un, le tout est aisément pardonné par les grandes qualités de l'OVA.

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Qui ne connaît pas Ginga Eiyuu Densetsu et les errances galactiques du légendaire Reinhard von Lohengramme, ainsi que sa rivalité avec le non-moins légendaire Yang Wenli ? Si les deux personnages sont désormais des étoiles scintillant au sommet de la japanimation, il serait toutefois idiot d'oublier les autres, dont l'écriture virtuose n'a rien à envier à ces deux derniers (Reuental, Oberstein). La série se distingue par une écriture à la qualité inégalable, et, malgré ses défauts, l'on se laisse porter par cette fable se déroulant par-delà le temps et l'espace...

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Les prémices du plus grand réalisateur d'animation japonaise de tous les temps, j'ai nommé l'altissime Hideaki Anno.

Si ce dernier est célébré partout dans le monde pour son chef-d'œuvre ineffable Evangelion, il ne faut pas non plus oublier qu'il a réalisé d'autres perles, notamment Gunbuster, série d'OVAs qui préfigure avec un talent insolent ce qu'il fera par la suite de sa carrière.

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Quand je pense à un OVA irréprochable, l'existence de Giant Robo me frappe soudain à l'esprit. Hommage somptueux aux manga des années soixante, l'OVA se targue en plus de posséder l'une des plus belles OST de tous les temps, sans oublier sa réalisation imputrescible au temps.

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Énième référence sortie toute droite du studio Gainax, FLCL est trop injustement comparé à un vulgaire délire abscons aux fantasmagories toutes plus délurées les unes que les autres. Ce serait négliger les thèmes subtils qu'il aborde avec son écriture virevoltante.

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La cruauté de la guerre retranscrire de manière émouvante dans une romance tragique...

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La suite des errances du légendaire Battosai, idéaliste maudit à la cicatrice en forme de croix sur la joue gauche.

Une vision plus sombre et plus mature du manga.

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Les prémices de Madoka. Une romance morbide qui préfigure les plus grandes prouesses artistiques du réalisateur...

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Hormis deux ou trois séries, je n'aime habituellement pas ce que fait Kawajiri, que je juge d'une médiocrité vulgaire. Oedo est l'une des rares exceptions qui confirment la règle.

Véritable plongée dans un monde cyberpunk aussi violent qu'impitoyable, Oedo est une expérience unique qui donne envie d'errer çà et là à travers les ruelles futuristes d'une ville issue de l'imaginaire de Dick.