Les pires adaptations de jeux vidéos

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Une insulte crasse à l’héritage du jeu classique qui est, dans cette adaptation, tout simplement violé. Il faut tout de même noter que cet espèce de (faut pas insulter les mamans) de Uwe Boll, a quand même réussi à emporter Christian Slater dans son délire qui nous offre la une prestation paiement de facture d'électricité, déjà que c'est pas toujours joli mis à part peut être dans True Romance. Le scénario, c'est un torchon de fin de soirée dont la moindre virgule est écrite de manière si ouvertement conne qu'il frôle le génie involontaire du navrant. Toute tentative d'analyse rationnelle de ce navet est en fait vouée à l'échec. Une merde.

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Comment détruire une ambiance et plus largement une licence fantastique avec des adaptations misérables. (En parlant de l'histoire de RE, non mais il faut en parler parce que l'excuse phare des fans de ces merdes, en prétextant la série Z décomplexée, est souvent que les jeux sont écrit avec les pieds, et bien certes, par moment, même si re7 ferait un slasher incroyable entre de bonnes mains et Village un film d'horreur gothique au moins un poil innovant. Quand aux originaux, justement, il y a de la place pour rehausser le niveau, réutiliser les éléments qui fonctionnent comme, je sais pas, les personnages?!) Je mets dans le panier toutes les adaptations de ce putain de vautour d'Anderson (avec sa meuf dont la nuance du jeu repose à avoir eu du cul de pas finir dans l'industrie du porno) et aussi la série netflix qui, bien qu'assez bien réalisée, dénature complètement les personnages, l'histoire, quasiment tout en fait, et fait preuve d'un wokisme tellement ouvertement préhensible que j'en ai mal à mon Bruno Le Maire. Aucune adaptation de Resident Evil n'a, à ce jour, rendu justice à ce géant du jeux-vidéo. Honteux.

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De la merde, je vais même pas essayer de faire une critique constructive. Uwe Boll a fait pewpew dans la jungle et s'est dit ça ferait une belle merde je vais l'adapter. A la trappe toute les thématiques d'appropriation culturelle, d'exploitation et de corruption, et bonjour à la formule remake foireux qui, en plus, tente lâchement d'imiter un espèce de Predator ou d'action-flick des années 80 défoncé au sirop pour la toux.

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De la merde, je vais vraiment, mais vraiment, même pas construire une critique constructive.

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Pourquoi j'ai fais ce top... Alors pour le coup, tekken niveau scénario c'est vraiment un prétexte sur un rouleau de pq qui tourne à chaque nouvel ajout dans la licence, même si le jeu innovait dans l'introduction de thématique comme le patricide, le filicide le grand-patricide ou peut importe comment on appelle ce type de meurtre, donc déjà d'un standpoint dramatique, Tekken à une carte à jouer, mais si on est incapable de capter cette essence de drame familial que la saga propose comme très fin fil conducteur, on ne touche à rien de peur que ça vous pète à la gueule, et c'est le cas dans ce navet.

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Very bad taste. Van Damme en Guile c'est une image qu'on oublie jamais, pour toutes les mauvaises raisons, surtout pour le jeu façon G.I. Joe. Respect a Raul Julia d'avoir essayé, dans le rôle de Bison, de proposer une prestation, quelle qu'elle soit, mais son décès peu après le film sonne comme une mauvaise blague sur le côté mortuaire de ce film. Faut pas non plus prétendre que Street Fighter à un scénario béton et qu'il est possible d'en faire un film intéressant, mais bon il y a toujours mieux à faire que de se noyer dans un enchevêtrement d'intrigues politiques foireuses le tout ponctué par des dialogues dépourvu de bon sens délivrés par des bots. On notera les costumes en papier-mâché et les scènes d'actions à la fois hilarante et affligeante de ridicule, faisant de Street Fighter un exemple classique d'une vision déconnectée et d'une exécution calamiteuse sur un produit original qui, certes, ne vaut pas grand chose dans son écriture, mais qui peut au moins se vanter d'avoir une fan-base qui s'étend sur plusieurs générations.

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Doom est un blockbuster qui se vautre simplement dans l'ineptie. Il souffre d'une écriture à chier, d'un The Rock qui surjoue à mort comme à son grande habitude, la seul chose qu'il parvient à relever étant son sourcil, surtout dans les dernières longueurs en grand méchant qu'on se délectera de voir autant qu'une énucléation auto-induite, après avoir souffert pendant, par exemple, une séquence en vue FPS type train fantôme d'extrême mauvais goût. Karl Urban est lui, au contraire, capable, mais pas habitué aux bonnes performances... on pensera à son rôle de Butcher dans The Boys, et même ses presta dans le seigneur des anneaux et Dredd qui, comparés à son interprétation de Reaper, ferait penser à du Brando. Bref Il a l'air tout le temps duper, comme s'il essayait de comprendre pourquoi il a accepté de jouer dans cette daube, et niveau scénario et direction c'est simple, plutôt que de s’inspirer du gameplay nerveux et de l’atmosphère oppressante du jeu, le film décide de miser toutes ses billes dans un mélange réchauffé de science-fiction et de thriller horrifique. En vue du budget, Il y a de quoi s'arracher les cheveux, si tant est qu'on en ait. (quand est ce que Dwayne réalisera qu'il est autant acteur que je suis bon critique.)

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Histoire vide, acteurs sous-performants, et réalisation bâclée. Clemens, dans le rôle de Heat her Mason, l'héroine de Silent Hill 3, est complètement perdue dans une performance aussi vide que le script qu’elle essaie de défendre. On a Sean Bean aussi, habituellement solide qui est réduit là au rôle d'Harry Mason, personnage principal de Silent Hill 1 et 2 rien que ça, devenu un cliché décoloré et sous exploité. Kit Harington est juste plat, comme à son habitude, he knows nothing et n'apporte aucune profondeur à ce personnage qui sort droit du cul du scénariste dans tout ce qu'il implique d'un point de vue scénaristique. On a donc là un dédale incohérent de mystères mal expliqués et de complots sans queue ni tête. On a M.J. Bassett, une transgenre, à l'origine même du projet dès le scénario, qui aurait pu, si l'objectif avait été de simplement respecter l'esprit de l’œuvre originale, proposer un excellent projet tant l'univers de Silent Hill est fertile et fourmille de concepts et de thèmes intéressants. Elle/il propose un cash grab de merde et vue la suite de sa carrière ce n'est pas étonnant. Je ne connais pas son origine story d’où l'incorporation des deux pronoms, au même rang que cette personne ne connaît pas l'origine story du propre projet qu'elle adapte.

Annotation :

Un patchwork de cliché du genre néo-noir qui devient prévisible et ennuyeux. Le travail est pré-mâché, suffisait de capturer la noirceur psychologique et la complexité du jeu vidéo, mais non, au lieu de ça le film s'enferme dans une intrigue criminelle générique qui se contente de survoler des thèmes de vengeance et de conspiration sans jamais vraiment les explorer. L’histoire, centrée autour du meurtre de la femme et de la fille de Max Payne (dans le genre trauma on fait difficilement pire) est stripped de sa profondeur émotionnelle et échoue lamentablement. La réalisation est marquée par des effets visuels stylisés et des séquences de bullet time, inspirées par le jeu vidéo, qui se solde par un résultat final kitsch. Wahlberg, malgré ses compétences (j'ai que the departed en tête honnêtement), livre une performance sans nuance dans laquelle l'envie de chier est assimilée au deuil. Voilà, Mila Kunis inexistante, inexploitée, distante, Ludacris en antagoniste, il aurait du suivre son propre conseil, move b----, get out the way.

Annotation :

Lara Croft: Tomb Raider et Lara Croft Tomb Raider: Le Berceau de la Vie ratent tout simplement le coche malgré un effort notable. Malgré le charisme d'Angelina Jolie et des ambitions évidentes, on vient se planter dans le spectacle creux. Certains éléments du jeu sont plutôt bien respecté, (encore une fois - Angelina Jolie), mais les scénarios prévisibles et la réalisation flashy mais inepte ne suffisent pas à proposer une vraie expérience si ce n'est proche, vu qu'il s'agit ici d'un exercice différent, au moins aussi ancré dans le genre aventure que le sont les jeux.