Les Rescapés du Tri #repris2justesse

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[La Grande Révision ©]

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Pour dire la valeur de LA SECRÉTAIRE, ce petit "film indé'" américain, comme on les appelait à l'époque, rien de plus facile, il suffit de parler de son casting brillant, de l'écriture d'orfèvre de ses dialogues, de ses choix artistiques et musicaux d'une belle finesse.
Mais pour mesurer l'ampleur de sa réussite, 22 ans après sa sortie, il suffira simplement de se remémorer son dernier plan, d'une grande intelligence.
Un dernier plan admirable, que peu de scripts du même type ont été capables d'engendrer, tant boucler un film de ce genre n'est pas chose facile, ne serait-ce qu'en terme d'écriture.
Depuis, il y a eu SWALLOW, RESURRECTION et quelques autres, mais les réussites américaines en la matière se comptent sur les doigts des mains.

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Le préquel officieux de WATERWORLD.
Dean 'décolleur de rétines' Semler à la photo, Woody 'fuckin' Harrelson au caméo et la magie d'Emmerich qui opère toujours aussi bien dans son inlassable entreprise de revitalisation du genre du "Film catastrophe (moisi) des années '60, '70".
Résultat : 3 scènes de destruction époustouflantes et tellement de fous rires qu'on perd le compte au bout de seulement 12 minutes.
Indéfendable ET indispensable, du pur Emmerich en somme.

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[Le Carton de la Honte © Volume 3 Spécial IMPORT]

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Jimmy Sangster à l'écriture (gage de qualité), est encore une fois au top (quel scénariste, bon sang ?!?!) ; cette fois pour investir l'univers bien connu des amoureux de l'agent zéro zéro sept.
Ralph Thomas à la réalisation, encore lui, parvient une nouvelle fois à trouver le juste équilibre entre action parfaitement cadrée, chorégraphiée et montée - à ce titre, l'empoignade dans le parking sous-terrain est une réussite, en tout cas, bien meilleure que toutes celles des 007 de Moore et peut-être même de quelques-unes des Connery - et longues séquences de dialogues grâce à un beau sens du cadrage, une espièglerie, un humour constant et une belle verve (merci Jimmy !).
Entre 007, pour le déroulé du scénario, le méchant si méchant, son repaire, les décors, les gadgets, les femmes (on pense forcément à GOLDFINGER), la séduction et LE SAINT, pour le dandysme, l'esprit, le sens de l'ironie et de l'humour, DEADLIER THAN THE MALE trouve sa propre place, idéale et convaincante, son propre style, contrairement à beaucoup de ses concurrents de l'époque qui ne faisaient que singer, pomper ou parodier sans jamais rien apporter de novateur.
Il faut noter aussi la qualité des dialogues offerts au duo de méchantes, très souvent hilarants.
Comme dans HOT ENOUGH FOR JUNE (et dans la plupart des films qui composent sa prolifique filmographie), Sylva Koscina est non seulement à tomber à la renverse ♡ ♡ ♡ mais formidable dans son rôle !

[Le Grand Tri ©]

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Depuis la découverte de MEURTRES EN VHS, ce qui touchait au cœur dans la manière désarmante de simplicité qu'a ce réalisateur de faire du cinéma est devenu plus évident.
Il semble que tous ses films soient faits du même bois. Ainsi peut-on affirmer que l’œuvre de Lieberman est d'une belle cohérence, à la forte personnalité, dont les défauts font intégralement partie, lui insufflant même une certaine vitalité.
C'est tellement rare que les défauts d'un film soient touchants et qu'ils lui confèrent de la sincérité et une beauté si personnelle.
De là à comparer ses films à une portée, il n'y a qu'un pas qu'on serait fortement tenté de franchir.

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Condensé des 90's ♡

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Très simple mais grandement efficace.
L'épatante Sienna Miller ♡ fait tout le prix du film.

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Même les arbres explosent ! ♡ ♡ ♡
Plaisir simple.

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Bizarrement, dès que les monstres apparaissent, l'intérêt s'estompe.
C'est d'autant plus dommage que l'exposition, les personnages, l'écriture des 40 premières minutes sont très réussis.

[Le Carton de la Honte © Volume 3 Spécial IMPORT]

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Avec son narrateur campé par un formidable Vincent Price et ses effets généreusement gore, ce film à sketchs pâtit tout de même d'un terrible déséquilibre :
Le premier segment est tellement réussi qu'il rend la suite fade et longuette (2 sketchs peu captivants), avant un dernier segment emballant mais maladroitement exécuté.
Vraiment dommage.

[Le Carton de la Honte © Volume 3 Spécial IMPORT]

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[Le Carton de la Honte © Volume 3 Spécial IMPORT]

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Qualité rare pour un film à sketchs : son homogénéité.
Dommage que le dernier segment, par ailleurs extrêmement bien mené, propose des effets visuels aussi foireux.

[Le Carton de la Honte © Volume 3 Spécial IMPORT]

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Un dernier quart d'heure extrêmement réussi qui compense l'heure et quart précédente en laissant le spectateur sur une bonne impression durable.
Et puis Jamie fait le boulot, comme souvent ♡

[Le Carton de la Honte © Volume 3 Spécial IMPORT]

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[Le Carton de la Honte © Volume 2]

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Ni plus ni moins qu'une adaptation 'live' de Bip Bip et Vil Coyote dans l'Outback australien.
Parfois agaçant (B.O. soulante et acteurs en surjeu constant) mais souvent jouissif, FAIR GAME est surtout parfaitement mis en scène.

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Facétieuse, pleine d'esprit, pleine de finesse aussi et témoignant d'un amour du verbe certain, HOT ENOUGH FOR JUNE est une comédie d'espionnage "Oh so british" fleurant bon les années '60, avec un petit goût revigorant de cocktail estival, frais et léger.
Pas un chef-d’œuvre, certes, juste une petite comédie d'espionnage surannée, impeccablement interprétée, moins balourde et bien plus drôle que les FLINT de la Fox ou que les OSS 117 d'Hunebelle.

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HURRICANE fonctionne exactement comme un film d'action des années '90 à "budget moyen", tout à fait dans le ton des PLUIE D'ENFER, 50 DEGRÉS FAHRENHEIT et consorts.
Il faut aimer (ou être nostalgique de) ce type de productions qu'Hollywood a totalement abandonnées, pour apprécier la chose à sa juste valeur.
Seulement, comme il date de 2018 :
- La photo' est dégueulasse, tout est gris-moche.
- Le casting est tout pété (finis les Slater, Freeman, Gooding Jr etc).

On notera l'interprétation toujours aussi nulle de Maggie Grace, qui fait de toutes ses apparitions, un véritable délice ♡

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Bon B, qui aurait juste mérité d'être un peu plus trash.
Samantha Weaving est excellente.

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