Littérature de 2021

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Il y a de la créativité et de l'inspiration dans la manière de décrire le sadisme. Cependant, la structure du livre a tôt fait de me lasser, avec cette sempiternelle alternance entre l'arrivée de Justine dans un lieu, sa mise en relation avec une personne de confiance, la trahison de cette dernière, les sévices endurées (pèle mêle, on a droit au bondage ou encore à la consommation d'urine) et enfin un débat d'opinion opposant le libertinage et la vertu. Et ce, sans cesse. J'ai rarement eu autant envie de finir un bouquin passer la première moitié. Heureusement que les dernière pages, entre parodie de procès et ironie du sort, viennent relever le niveau.

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Tout l'intérêt du livre repose dans le fait que la source du mystère à élucider date de plusieurs années, ainsi que dans l'importance du personnage de Mrs. Oliver, véritable avatar de l'autrice. Du reste, le mystère s'évente malheureusement assez vite et la clé du mystère trop vite découverte. En outre, Hercule Poirot semble particulièrement se désintéresser de l'enquête.

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Pièce intéressante du point de vue de la lutte des classes, entre désir et dégoût, amour et haine. Cela dit, elle reste déstabilisante et un peu indigeste de par son style tout sauf subtil (justement à l'antipode des recommandations de la préface), saupoudré de schizophrénie, de paranoïa ...

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J'ai rien compris.
Une pièce, sans doute avant-gardiste, qui gagnerait à être vu, plutôt que lu, pour être assimilée.

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Tragédie sentimentale au cœur de l'aristocratie russe de la fin du XIXème, elle-même alors en plein délitement. Une œuvre tentaculaire et prenante, que je suis fier d'avoir enfin osé lire, et réussi à finir.

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Le style est impersonnel et la philosophie, le plus souvent, de bas étages, mais j'aimé ne pas savoir où j'allais avec ce petit livre.

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Combler l'impuissance littéraire par une surpuissance sexuelle, l'idée était plutôt intéressante, malgré des personnages (volontairement ?) imbuvables. J'avais peur, au début, que le livre tourne autour des petits problèmes de bobos, mais, en fait, au bout d'une centaine de pages, les rebondissements tiennent en haleine.

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Archétype de la tragédie. Bien à analyser, mais peu embarquant.

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Comédie (très) courte mais plaisante, sans être très efficace ou abouti, la satire est sympathique.

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Excellent livre, assez fataliste quant au caractère vain de l'existence, mais prenant tout du long. Si la seconde partie m'a un peu rebuté, les événements se précipitant trop vite (la plongée dans la drogue, le moment où les personnages tombent amoureux...). Elle est largement sauvé par le dernier acte, haletant, ainsi que la plume, technique et précise, de son auteur.

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Un livre concis et efficace, qui se lit aisément. Les thèmes abordés, tels que la religion, le bonheur, la solitude etc. sont parfaitement dépeints.

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Parangon de la tragédie du classicisme, une œuvre finement écrite, au dilemme prenant.

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Thèse majeure s'il en est. La première partie, très descriptive, se lit bien sans réel plaisir. La seconde, plus sociologique, tend à tourner un rond malgré un fond plus parlant.

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La première partie devient assez vite lassante, au delà de l'introduction du propos. Ceci étant dit, la seconde, qui occupe les 2/3 de l'œuvre s'avère finement riche lorsqu'on met en parallèle les pratiques télévisuelles avec la personnalité, le passé, les moeurs etc. des sondés. Un ouvrage qui, en somme, en dit plus d'eux (et de nous, comme dirait Hoggart) que ce qu'on pourrait croire.

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Il y a des choses très intéressantes là dedans, sur l'évolution et les motivations de l'opposition entre "basse" et "haute" culture. Cependant, le propos est noyé dans pléthore de noms et redite qui alourdissent un propos foncièrement fascinant.

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Ca se lit vite, mais je trouve ça quand même un peu surchargé pour une mise en bouche.

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Propos pertinent et très bien amené. Le tout est fluide, est demeure intéressant sur bien des points, notamment pour les siècles les plus anciens.