Littérature de 2024

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J'ai rarement lu un livre aussi prenant. Dés la première page, il est dur de ne pas s'arrêter tant les péripéties, les rebondissements et les révélations se succèdent. Si les personnages manquent un peu de substance et que certains événements soient un peu "too-much", à l'américaine, cette énigme géante ne manque pas d'intriguer et captiver.

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Le postulat de départ avait tellement de potentiel. Mais, au final, rien n'est à la hauteur. Au lieu d'un conte mystique nordique et religieux; le récit se réduit à des monologues interminables et lenifiants vis-à-vis desquels il est dur de rester attaché. Dommage.

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Dans un style simple et direct, Marc Levy fait succéder les péripéties et les drames qu'encourent ces "Enfants de la liberté". Un sujet toujours intéressant.

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Illustration carré et concise de la maïeutique, mais peu intéressant en dehors de ça. Un dialogue dont la forme prime sur le fond.

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Histoire exaltante en trois parties. La première, la plus faible, dresse néanmoins un bon portrait du personnage. La seconde y est la plus dense, la plus haletante et la plus intrigante. La dernière use d'un procédé tout à fait intéressant, en plus de nous faire réfléchir sur ce qu'on vient de lire.
Une bonne lecture !

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Petit livre passionant, en partie autobiographique.

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Petite pièce absurde et rigolote qui se lit d'un trait.

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Complots, trahisons et jeux de pouvoirs chez les Valois. Le récit ne s'attarde pas à mettre de la distance ou à décrire le contexte mais privilégié la succession de péripéties sans temps morts. On ne s'y ennuie pas, malgré la longueur du roman. Cependant, on pourra regretter le peu d'importance accordé au massacre de la Saint Barthélémy ainsi que la niaiserie exacerbée de La Mole. A l'inverse, certains personnages sont fascinants et font le sel de l'œuvre, telle que la ténébreuse Catherine de Medicis, le taquin Henri de Navarre ou encore l'audacieuse reine eponyme.

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Tragédie qui finit pas si mal. Cela se lit aisément, et l'on prend en pitié ces pauvres filles. Évidemment, c'est parfaitement écrit.

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Pas très passionnant. André Hude me convainc rarement.

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Je crois que j'ai un problème avec Stendhal. Je n'arrive pas entrer en contact avec ses histoires, ses personnages, aussi bien écrits soient-ils. Je trouve ses récit secs et distants, faussement élégant. Cela dit, l’enchaînement des péripéties, bien que grotesque, se laisse suivre. De plus, le livre est un bon miroir de son époque, de Napoléon et l'Italie.

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Facile à lire et direcr, La Tresse dresse le portrait sans surprise mais agréable de trois femmes dans trois pays différents mais aux destins liées. Une lecture intéressante de ce qu'elle nous apprend sur l'Inde mais un peu trop brève pour vraiment convaincre totalement.

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Une enquête qui se laisse suivre. Divertissant, malgré un dernier quart expédié et bordélique. Le récit doit beaucoup à la personnalité trouble de son personnage éponyme et à l'alternance des points de vue et des temporalités.

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Le fait d'enquêter sur un meurtre du passé est sympathique. Cependant, si j'ai aimé la fraîcheur du couple d'enquêteur improvisé, ils m'ont paru quand même un peu fade, surtout à côté d'une Miss Marple en retrait mais toujours à sa juste place.

Annotation :

Je pense avoir préféré le Da Vinci Code, chauvinisme oblige. Cependant, Brown maîtrisé toujours aussi bien l’enchaînement des péripéties au travers des différents point de vue qui s'alterne. La toute fin est un peu nul, mais le récit livre suffisamment de moment de bravoure pour y adhérer (la course poursuite au labo, le sarcophage d'eau, le taxi etc.).

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C'est bien écrit mais ça part dans tous les sens, et ça ne raconte pas grand chose.

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Conte tendre et intime d'Amelie sur son père à la vie tumultueuse mais au portrait toujours candide et positif.

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Petit essaie édifiant sur la ségrégation américaine et sur la figure injustement méconnue de Claudette Colvin.

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Partant d'un postulat assez absurde, une longue nouvelle qui en dit long sur la condition du prolétaire. Une nouvelle finalement assez dure.

Annotation :

Livre absurde, dans la forme comme dans le fond. L'homme face à plus fort que lui, dans un monde où l'on ne peut se retenir à rien.
Edifiant.