LIVRES 2024/25

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(08 septembre)

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(10 septembre)

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(12 septembre)

Histoire d'un mariage raté entre la fille d'un bourgeois et grand peintre qui finit par la tromper. Mis en parallèle avec la situation de sa soeur qui choisit un mari moins extravagant mais qui lui apporte la stabilité d'un ménage bien tenu et respectable.

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(15 septembre)

Faut éduquer correctement sa fille sinon elle aura toute sa vie des réflexes de petite p qui l'empêcherons de surcroît d'atteindre le bonheur tandis que l'homme qu'elle a tèj parce qu'il est pas noble vivra heureux... et sa elle.

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(19 septembre)

Huis clos intéressant sur un navire dont le voyage sans but éprouve le mental des passagers autant que cette histoire de meurtre improbable.

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(22 septembre)

Parce qu'un gentil garçon c'est pas un garçon gentil et que le manque de cul/de relations ferait de n'importe qui un tueur en puissance.

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(25 septembre)

Rappel utile que le temps consume tout, même le plus brûlant des amours et qu'il est vain d'essayer de faire revivre des sentiments appartenant au passé. Faut avancer dans la vie ; plutôt que se torturer l'esprit avec des actes manqués... surtout lorsqu'on ne peut rien faire de plus...

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(12 octobre)

Lecture dérangeante. Je me suis pas mal identifié au personnage du colonel Aureliano Buendia parce que comme lui je possède cette ambivalence qui me fait aller vers les gens tout en ayant au fond de moi l'intime conviction que l'humanité restera une déception (quel meilleur refuge que le café du matin dans ces moments-là). Comme lui je vis avec la conviction qu'en me démenant et en restant moi-même je pourrai accomplir ce vers quoi j'aspire.
En outre, cette boucle interminable faisant que les comportements délétères des Buendia sont héréditaires a rendu cette lecture très inquiétante.
C'est peut-être pas le roman devant lequel j'ai pris le plus de plaisir esthétique à la lecture (quoique ma lecture très hachée dans les transports n'a pas aidée, sans doute) mais ça restera une des lectures les plus marquantes de ma vie de lecteur ; en espérant ne pas finir comme le colonel...

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(16 octobre)

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(18 octobre)

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(27 octobre)

Une bonne culture humaniste ne suffit pas (pas plus que la noblesse de naissance) à former des individus vertueux. Euryale et Lucrèce en sont un bon exemple : leur rhétorique sert en premier lieu leur perfide tandis que les figures antiques se trouvent dévoyées. Bien sûr, y a que la femme qui meurt à la fin...

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(29 octobre)

Ode au hasard et à la spontanéité guidant nos rencontres. Comment une rencontre brève suffit à nous marquer à vie.
Les pages 128-130 sont un des plus beaux passages qu'il m'ait été donné de lire.

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(09 novembre)

J'aimais pas et j'aime toujours pas (à part "Le cri du butor")

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(13 novembre)