Livres lus en 2024

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215 pages.

On commence l'année avec une lecture dans la collection Spécial Police ! Roman signé Christian Mantey, dont j'avais fort apprécié un autre roman dans la même collection, Un safari pas comme les autres. Ce Témoin est probablement plus mineur, mais il reste intéressant. L'intrigue part de base d'une bonne idée déjà : nous faire vivre l'attentat meurtrier contre le président Kennedy, commandé en haut lieu et organisé avec soin, du point de vue des exécutants ! Une fois la besogne accomplie, l'un d'entre eux se rends vite compte que ceux qui l'ont employé n'ont pas l'intention de la jouer réglo, et cherchent à l'éliminer pour couvrir toute fuite possible de la vérité. On suit en bonne partie une traque donc, agréablement menée et avec des péripéties sympathiques. Même si, passé l'originalité du postulat de départ du roman, on retombe dans du très classique pour ce genre de polars noirs. J'ai trouvé la fin un peu décevante, l'histoire se concluant paresseusement à mon goût, par une pirouette facile. Ça n'empêche pas Témoin d'être dans l'ensemble sympathique et ce fût la une bonne lecture pour entamer l'année.

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638 pages.

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204 pages.

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189 pages.

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251 pages.

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288 pages.

Recueil de nouvelles passionnant, riche en atmosphères et au style admirable. Comme pour tous les recueils de nouvelles à priori, toutes les histoires ne m'ont pas plu au même niveau (ma favorite restant celle qui ouvre le livre, Le Rideau cramoisi, dont l'ambiance quasi fantastique est très percutante). Mais aucune ne manque d'intérêt et même la plus faible d'entre elles (Le Plus Bel Amour de Don Juan) est intéressante à lire. Très bien !

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437 pages.

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374 pages.

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185 pages.

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312 pages.

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123 pages.

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254 pages.

Relecture d'un roman de Jules Verne que j'avais du lire pour l'école en 6ème... et que je me souviens avoir détesté à ce moment là ! J'étais curieux de voir comment ma perception avait évolué dessus, surtout qu'honnêtement je ne me souvenais de rien à part le cadre du récit : une mine. Redécouverte intéressante. Je vois un peu ce qui avait pu gonfler le moi plus jeune dans certains passages, car il y a des pages parfois bourrées de termes techniques sur la mine, d'éléments scientifiques, d'anecdotes historiques sur l’Écosse... La (relative) lourdeur de ces passages n'était probablement pas très accessible pour un gamin nourri à Chair de Poule. Cette considération faite, globalement j'ai beaucoup aimé la première partie du livre, mais nettement moins la seconde. Toute la première partie est vraiment forte en terme de mystère et de climat à l'orée du fantastique. On se projette totalement dans cette mine désaffectée, avec les phénomènes étranges qui s'y passent. L'écriture de Jules Verne est captivante et on parcourt les chapitres avec enthousiasme. La seconde partie parait faiblarde en comparaison. Au-delà du côté très tiré par les cheveux de cette cité de mineurs complètement sous terre qu'on nous présente, l'intrigue s'attarde sur des choses moins intéressantes et l'aura de mystère se dissous en grande partie. Ça reste assez bien troussé et bien écrit, et le livre se finit sans difficultés, mais je suis resté à la fin avec un sentiment mitigé. L'ensemble valait tout de même le coup d'être lu et je m'essaierai prochainement à d'autres romans de Verne (surtout qu'il y en a des bien plus réputés que celui-là !).

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234 pages.

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193 pages.

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282 pages.

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239 pages.

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214 pages.

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188 pages.

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217 pages.

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251 pages.

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181 pages.

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220 pages.

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221 pages.

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182 pages.

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348 pages.

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415 pages.

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358 pages.

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439 pages.

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222 pages.

La réconciliation avec Serge Laforest ? En effet j'avais déjà lu deux romans de l'auteur auparavant, livres que j'avais peu appréciés (j'avais même trouvé un des deux, Destruction totale, pas loin d'être mauvais). Objectif secret est un bien meilleur cru ! C'est la deuxième aventure seulement pour le personnage récurrent de l'auteur, Gaunce (d'ailleurs si j'y avais prêté attention j'aurai pu lire la toute première avant, j'ai aussi le numéro), qui se retrouve à infiltrer une exploitation minière paumée dans la jungle brésilienne. Une équipe composée en partie d'anciens nazis y exploite du palladium, matière stratégique qui se retrouve à la vente auprès d'indésirables. Le déroulé du roman est assez calme, il y a peu de gros rebondissements, mais le sentiment de suivre une mission se déroulant presque comme sur des roulettes n'est pas désagréable. L'écriture est en tout cas plaisante, le vocabulaire un minimum riche... Sans être un roman exceptionnel, Objectif secret rempli bien sa fonction d'agréable divertissement bien troussé et j'entamerai d'autres romans de Serge Laforest avec un peu moins de scepticisme.

Annotation :

218 pages.