Lovecraft, mon classement, mes avis

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Le chef d'oeuvre de Lovecraft selon moi. L'ambiance, l'univers, la résolution... tout est brillamment maîtrisé.

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Peut-être une des plus effrayante nouvelles du maître Le concept de base est tout simplement brillant et la description de cette lente dégénérescence est parfaitement menée.

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Un véritable cas d'école de l'oeuvre de l'auteur. L'ambiance est formidable, décrivant parfaitement la décrépitude et la décadence L'horreur physique donne véritablement l'impression d'un cauchemar (malgré la traduction approximative du titre) et l'horreur psychologique qui lui succède conclus formidablement la nouvelle.

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Un récit prenant qui nous accapare littéralement dès la première phrase. Le récit se déroule brillamment, fais parfaitement monter l'ambiance jusqu'à l'horreur finale (elle même un témoignage brillant du génie de Lovecraft). Peut-être aussi une de ces oeuvres faisant le plus de références aux autres (Shoggoth, Innsmouth...). Notons également l'un des plus importants développement de personnage de l'auteur et son seul personnage féminin réellement présent au cœur du récit (dans une certaine mesure cela dit).

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Cauchemardesque, fiévreux, dérangeant, malsain, horrible. Les adjectifs ne manque pas pour décrire ce récit parfaitement maîtrisé.

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Je sais pertinemment qu'il ne s'agit pas à proprement d'une nouvelle. Mais bon dieu que c'est bon ! Une preuve du génie de Lovecraft. Personne n'a jamais décrit les cauchemars comme le maître de Providence.

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Son oeuvre majeure, la plus connue, la plus populaire, celle qui pour certains résume son oeuvre. Et comme pour 20.000 lieux sous les mers ou le chien des Baskervilles je la trouve (légèrement) surestimée. Le récit est splendide, les personnages biens exploités et surtout la terreur présente. Alors qu'est ce qui pêche ? Probablement que la forme (quasiment trois nouvelles associées) empêche d'avoir le sentiment d'une oeuvre à part entière. Reste une très grande oeuvre, digne du maitre, mais loin d'être son meilleur travail.

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Une (courte) nouvelle magnifiquement écrite. Si la révélation finale est un peu prévisible, le style du maître de Providence suffi à nous accrocher du début à la fin.

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Terrifiante et dérangeante. Du très bon Lovecraft

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Pas la plus grande ni la plus magnifique des histoires de Lovecraft mais il s'en dégage une atmosphère prenante et mystérieuse. Au final on retrouve les principaux thèmes du maître.

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Un écrit de jeunesse (et bon sang que ça se ressent). Le style est encore tâtonnant, ce qui se ressent dans une narration un peu longue et parfois peu prenante. Mais la valeur n'attend pas

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Une nouvelle dans le plus pur style de Lovecraft. Elle aurai toutefois gagner à être plus courte. L'horreur promise par le titre est quand même bien présente

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Un autre récit brillamment mené. Du point de vue de la construction narrative c'est probablement sa nouvelle la plus aboutie (mise en place, péripéties, choc final). L'aspect horrifique repose sur une mythologie imaginative (et issue de la récente découverte de Pluton) et sur une subtile ambiguïté. Peu de récit de Lovecraft laisse autant de coté l'aspect "fantastique" et l'image des monstres maléfiques. Lovecraft utilise également avec brio l'aspect épistolaire de la nouvelle, à la fois dans la forme (s'en servant pour décrire les événements de la façon la plus factuelle possible) que dans le fond (lettres qui se croisent, qui sont interceptée, doutes sur l'identité de l'auteur...)

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Une petite incursion de Lovecraft dans le monde de la S.F. "classique". Le résultat est plus que plaisant. L'auteur ne se renie pas mais explore (avec talent) un autre genre. Le principe de base et simple (et l'issue est rapidement évidente), mais le style est là et nous emporte pleinement.

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Pas grand chose de spécifique à dire, c'est du bon Lovecraft. On retrouve pas mal de ses thèmes de prédilection tout en ayant une ambiance un chouïa particulière.

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Une fois qu'on a fait abstraction de la construction quelque peu lourde, le récit est magnifique. Lovecraft utilise formidablement les clichés de l'histoire horrifique (la maison abandonnée au sommet d'une colline, l'orage, la tombe solitaire...). La mise en place fonctionne parfaitement, l'aspect descente aux enfers au fil des découvertes et des incidents est brillamment mené et la révélation finale est merveilleusement horrifique et malsaine.

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Gore, comique, moraliste... Beaucoup d'interprétations possibles pour ce récit. La construction sous forme d'une suite de nouvelle fait pensé à l'appel de Cthulhu. Pour une rare fois chez Lovecraft l'intérêt premier du récit est son personnage principale, Herbet West. S'il est souvent comparé à Frankenstein, il correspond beaucoup plus à l'image caricaturale de savant fou souvent accolée à ce dernier plutôt qu'au personnage qu'il est dans l'ouvrage de Shelley. Notons également l'usage de la Première Guerre Mondiale dans le récit, chose rarissime chez Lovecraft. En somme une histoire certes bien construite et poussant le dérangeant à un stade rarement atteint chez l'auteur.

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Petit récit de vacance à la manière du Maître de Providence. Rien de véritablement transcendant dans ce récit, et surtout un manque de vrai chute finale. Alors ça se laisse lire sans difficulté réelle, mais ça se résume principalement à la description d'un séjour (littéralement) cauchemardesque. En revanche le style est grandiose, et même si le contenu ne suffi pas toujours à nous accrocher, la forme fait de la lecture une expérience particulièrement plaisante.

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Simple, rapide et efficace. Très représentative du style de l'auteur (avec ses bons et ses mauvais cotés).

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Souvent citée comme la plus longue nouvelle de Lovecraft, parfois même comme un court roman (ce avec quoi je suis d'accord) il s'agit en réalité plus de deux histoires mises bout à bout : celle de Charles Dexter Ward et celle de Joseph Curwen. La longueur dessert un peu le récit, témoignant encore une fois de la plus grande aisance de Lovecraft pour les récits courts. Reste une double histoire prenante, riche et réussie.

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Une nouvelle sympatique, mais qui manque un peu de dynamisme. On retrouve toutefois parfaitement cette étrangeté typiquement lovecraftienne.

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Souvent cité comme une des meilleures histoire de Lovecraft. En temps qu'histoire c'est mérité, le fond est en effet excellent mêlant toutes les passions de Lovecraft (exploration de terres inconnues, histoire et archéologies, sciences et technologies, astronomie...). Ajoutons qu'il s'agit d'une des rares nouvelles à réellement créer de l'empathie pour les créatures et à nuancer leur aspect maléfique. Mais concernant la forme.....par les dieux que c'est long ! J'ai sincèrement l'impression que Lovecraft à essayé de faire du Jules Verne mais le résultat n'est pas à la hauteur. Alors oui la science et la précision avec laquelle il décrit cette expédition antarctique est impressionnante, mais les descriptions sont interminables. Mais au final le plaisir de la lecture est là, et l'univers proposé est parfaitement prenant.

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Une histoire lovecraftienne classique mais riche en suspense et en ambiance, si on arrive toutefois à passer outre le caractère raciste du texte.

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Un petit conte, court et prévisible comme tout les contes, dans un univers m'évoquant la mythologie grecque ou les milles et unes nuits. Et puis en tant que grand amoureux des chats je ne peux d'adorer.

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Une histoire prenante et parfaitement écrite. Malheureusement l'enjeu repose principalement sur la révélation finale...qui est un chouïa prévisible.

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Court et intense, le récit aurait toutefois gagner à être un chouïa plus long pour gagner en poids (et en horreur)