Lus en 2016

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Captivant. On entre dans la vie de Karl Ove Knausgaard et la prtage avec lui. Ses mémoires sont entrecoupées de réflexions sur, entre autres, la mort, l'art et la littérature. L'auteur norvégien se met à nu et dévoile des détails très intimes, par exemple sur sa relation avec ses enfants.

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Instructif

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C'est bien, on reconnaît tout à fait la patte de Dostoïevski mais étrangement je trouve que c'est un peu trop court, je suis un peu resté sur ma faim.. Peut-être à relire vu qu'il est pas très long mais à mon avis je ferais mieux de m'attaquer à un de ses autres mastodontes.

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Très dense. Au début j'ai eu assez de mal à m'acclimater et à le suivre sur les différents versants de l'histoire qu'il entrecroise sans prévenir... (Au tout début j'étais tellement largué que je pensais que le Conseiller et Gall étaient la même personne pour vous dire..) Mais passé une petite centaine de pages, je me suis laissé emporter par l'histoire et ma vitesse de lecture s'en est ressentie.

Après je suis pas tellement fan des scènes de guerre, mais le côté mystique et apocalyptique est quand même vachement réussi. Le personnage de Gall et ses délires de révolutionnaire, ainsi que les parallèles avec le colonel Moreira Cesar m'a pas mal plu aussi.

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Gros contraste avec la densité, la lourdeur et la longueur du livre précédent : je m'aère un peu l'esprit avec cette courte (120-130 pages au plus) du mathématicien Alexandre Grothendieck, à la vie assez mouvementée. La couverture (Allia oblige) et le titre (oui j'étudie les mahts pures) m'ont attirés dans la librairie et j'ai découvert un mathématicien prolifique et génial aux multiples facettes.

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Je sais plus trop comment j'ai entendu parler de ce roman, mais ayant un pote tutsi ça m'intéressait de lire un peu sur le sujet. Dans ce roman il n'est pas explicitement question du génocide rwandais, mais Scholastique Mukasonga nous plonge dans un lycée de filles et nous fais ressentir la discrimination envers les tutsis par des détails lourds de sens. Elle nous offre par la même occasion une vue glaçante du (post-)colonialisme.

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Je suis depuis plusieurs semaines déjà devenu un lecteur assidu de l'hebdomadaire "Le 1" (le1hebdo.fr je recommande), dont Éric Fottorino est un des fondateurs et donc j'avais envie de lire un ou l'autre livre de sa plume. C'est maintenant chose faite avec Chevrotine, sorti en poche au début de l'année.

Fottorino nous y dissèque une relation amoureuse destructrice sous une forme tragique. (Le dénouement est funeste mais nous est plus ou moins connu dès le début du récit.) Un petit roman finalement assez rondement mené.

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Prêté par un pote. Franchement c'est drôle je m'attendais pas à ça. C'est un peu comme le jazz pour lequel j'avais un a priori négatif, ici je ne connaissais que la formule archiconnue "Être ou ne pas être" et je m'imaginais la pièce autour comme un gros monologue alambiqué et incompréhensible (allez savoir pourquoi !)

Mais que nenni ! et quelle ne fut pas ma surprise de constater que la pièce s'ouvre sur l'apparition d'un fantôme sur scène !

En fait Hamlet est une pièce fort riche, digne héritière des Tragiques grecs, bien que sa forme s'éloigne quelque peu de celle usée par ces derniers.

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Une comédie grinçante et lucide qui revisite les concepts orwelliens option publicité. Sympa mais pas non plus le livre de l'année, Ervin raconte une histoire haute en couleurs, avec une manière qui me semble fort "à la mode" depuis quelques années (je pense à Kotwinkle ou Paasilina entre autres)

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Qu'est-ce qu'il prend Charles !

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Relu pour lire Meursault, Contre-enquête

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Pas convaincu