Lus en 2017

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Mes résolutions commencent bien : lire un livre d'un auteur FRANÇAIS qui repose sur un mythe bien souvent réécrit par les arts CLASSIQUES.

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Grave drôle

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Génie

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Tant de choses à dire sur ce roman qui est un véritable puzzle à lui tout seul. Bret parvient à réunir différents courants littéraires, différentes tensions, mêlant à la fois le genre de l'horreur, du policier, voire du paranormal. Tout cela réuni autour d'un même sujet : celui d'un auteur traçant sous les yeux du lecteur sa propre autofiction et qui, au sein de la diégèse, tente désespérément de se redresser, de remonter la pente, en vain.
Lunar Park est une réflexion sur ce qu'est 'écrire un roman', ce qu'est la condition d'auteur ; le roman propose aussi de se demander ce qu'est être père et fils dans un monde de plus en plus tourné vers l'éclatement des liens entre les êtres.

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Très intéressant. Je l'ai emprunté pour lire en particulier ce qu'écrit l'auteur au sujet du postmodernisme.

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petchite présentation : il s’agit d’un ouvrage qui prend un virage philosophiquement important face au problème du langage, et qui se caractérise par la réaction à une théorie objective de la connaissance, vu que celle-ci est historiquement conditionnée et accidentelle. La condition postmoderne traite surtout du programme de la modernité — question cruciale pour la culture occidentale depuis les « Lumières » —, et lance une réflexion sur l’état actuel de la culture et des sociétés les plus développées, c’est-à-dire postmodernes. Lyotard commence par définir le mot « postmoderne » : ‘’le mot est en usage sur le continent américain, sous la plume de sociologues et de critiques : il désigne l’état de la culture après les transformations qui ont affecté les règles des jeux de la science, de la littérature et des arts à partir de la fin du XIXème siècle. Ici, on situera ces transformations par le rapport à la crise des récits.’’
Nous pouvons réduire l’acception du terme ‘’postmodernité’’ essentiellement à trois formes : la première qui fait appel à la rupture face à la modernité, la 2ème qui défend une idée de continuité et, enfin, la troisième qui reconnait et étudie les vertus et les problèmes de la modernité.