Lus en 2017 (Comics / BD)

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02/01/2017

C'EST PARTIIIIIIIIIIIIIII !

Que cela soit dit, l'année 2017 va commencer par un énormissime run de lecture sur le DC Universe ! En effet, mes dernières lectures sur le sujet remontent à la fin du mois d'Aout, une éternité !
Bien sûr, cela ne vaut que si on excepte mes lectures régulières "Rebirth" en numérique et que je mets à part car il s'agit bien d'une expérience différente.
Et bien justement, on commence l'année par quelques remises à niveau sur le run de l'ami Scott Snyder qui vient d'achever le premier arc de sa nouvelle série "All-Star Batman" et dont la publication de sa série Batman N52 est désormais complète chez Urban Comics.

Cette relecture ne modifie pas du tout le sentiment que j'avais éprouvé l'an dernier à la découverte de cet arc sur le Joker. Snyder est dans son style mais pousse trop loin ses défauts sans que ses (bonnes) idées ne rattrapent vraiment le tout. Quant à cette espèce de mythologie sur le Joker développée par Snyder et James Tynion IV, elle ne convainc pas, surtout dans le cadre des New 52 (assez contraignant en termes de timeline et de possibilité de retcon). En revanche, l'Annual (écrit par Tynion) est très bon et très bien dessiné. Il restera comme le point fort du volume.

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03/01/2017

En Juin 2015, DC lance l'opération DC You après que les principales séries régulières ont atteint leur #40. L'idée est d'envoyer un vent de fraîcheur dans l'univers DC mais aussi de donner plus de liberté aux scénaristes et aux artistes.
Snyder et Capullo en profitent pour opérer un énorme changement de statu quo dans la série Batman mais aussi pour amener un ton plus léger, plus humoristique et aussi plus politique.
Quant au #44, il est particulièrement excellent et Jock (qui travaille parfaitement bien avec Snyder) est au top de sa forme. Vivement la suite de Wytches d'ailleurs mais c'est une autre histoire.

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04/01/2017

Je mets le cœur pour ce 9° et dernier tome de cette série parce que... Bah la der de Snyder/Capullo quoi !
L'intrigue générale de l'arc Superheavy n'est ni originale ni excellente mais j'ai beaucoup aimé le traitement des personnages dans le cadre de ce DC You. Le destin de Bruce Wayne est intéressant et bien traité, le personnage de Jim Gordon en Batman apporte pas mal de légèreté et d'humour, ce qui est fort agréable. Quant au dernier numéro du run (techniquement le #51) il est très bon et très poignant.
Globalement la partie graphique est de bonne facture même si ça manque parfois de subtilité.

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05/01/2017

Duke Thomas est un personnage au cœur du Batverse dans le cadre de "Rebirth". Il est d'abord introduit dans la série Batman pendant l'arc Zero Year puis on le retrouve dans Endgame, pris dans le jeu macabre du Joker.
Dans cette mini-série en 12#, dont Urban publie la première moitié, il est le héros d'une bande de jeunes "justiciers" plein de fougue et d'insouciance.
Les thèmes abordés par Bermejo sont très intéressants, notamment ceux de la jeunesse et de la notion d'avenir (il y a quelques échos avec TDKR). La culture de rue est également bien mise en valeur et la caractérisation du personnage de Duke est excellente. Il n'y a bien que l'intrigue sous-jaçente (il en faut bien une) qui peine vraiment à convaincre. On ressent bien que Bermejo n'a fourni aucun effort sur cette partie, laissant les vents éditoriaux le mener.

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06/01/2017

J'ai perdu le compte de toutes mes lectures de TDKR mais c'est bien la première fois que je réussis à en apprécier toute la substance. Il s'agit bel et bien d'un titre mythique d'une richesse narrative, littéraire et graphique assez incroyable.

***

On sent que cette série est bel et bien derrière le film BvS sorti en Mars 2016. Pas mal "d'éléments" (dialogues, thématiques, plans) y sont présents de manière irréfutable. Mais malheureusement ce matériau ne s’accommode pas du tout des velléités toutes mercantiles des huiles de Warner Bros. qui voulaient profiter de ce film pour installer leur DCEU... En ressort un scénario sans queue ni tête et surtout une caractérisation catastrophique. Adapter ce Batman, et de surcroît le faire jouer par Ben Affleck, était une excellente idée de base de la part de Zack Snyder, mais au final on a un personnage hyper névrosé, violent et hanté sans que l'on sache le moins du monde pourquoi. Dans le comics ça n'a pas d'importance, le propos de Miller étant largement ailleurs. Mais pour démarrer un univers partagé au cinéma, ça fait pas très sérieux...

Un mot également sur l'excellente adaptation animée (sortie en 2012 et visionné le 08/01/2017). Voilà, ça fait un mot : "excellent".

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08/01/2017.

A l'instar de TDKR, la relecture des deux arcs 'Death In Family' et 'A Lonely Place Of Dying' fait un bien fou ! Certes le premier souffre d'un scénario très surfait et vieillot et le second (par ailleurs plutôt bon) d'une certaine lourdeur dans l'approche du personnage de Tim Drake. Mais il s'agit de deux gros morceaux de l'Histoire du Chevalier Noir et on ne boude pas son plaisir !

En outre, et encore une fois en écho à TDKR, il est intéressant de relire ces classiques après l'énorme vague de culture comics de l'an dernier. L'expérience est très enrichissante et la portée culturelle et populaire de ces deux œuvres me touche maintenant beaucoup plus qu'à l'époque où il s'agissait quasiment de mes toutes premières lectures.

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10/01/2017

Encore une relecture intéressante. Le dessin de Janson est très agréable (avec l'excellente colorisation de Steve Buccellato) mais certaines postures de Batman sont étranges, voire moches !

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12/01/2017

Encore une relecture intéressante (oups, j'ai déjà utilisé cette introduction dans ma précédente note ! Tant pis). En fait, définitivement débarrassé de mes anciens carcans Nolaniens, mon regard sur les comics a pris une toute nouvelle dimension. Mon esprit est beaucoup plus ouvert et je profite tout à fait pleinement de toutes les œuvres passant devant mes mirettes.

Et Dark Detective est réellement excellent, j'ai pris un énorme plaisir à le lire même si, comme je l'explique, l’œil neuf qui est le mien y joue beaucoup !

Lu le 16/01/2017 : Batman #311 qui complète le travail de Steve Engelhart sur Batman (Mai 1979).

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15/01/2017

'Prey' est la suite directe de l'arc "Gothique" de Grant Morrison (lu il y a quelques jours) dans le cadre de la série 'Legends Of The Dark Knight'. Mais alors que ce dernier était publié sur papier dur, celui-ci est publié sur papier glacé. Une décision fort malheureuse de la part de Urban.

La série Legends Of The Dark Knight est éditorialement un peu à part. C'est un peu l'ancêtre des séries "All-Star" ou "Earth-One", sur laquelle se succèdent différentes équipes créatives haut de gamme. L'idée est de laisser à ces dernières la liberté d'écrire des histoires qu'elles souhaitent, en général sans tenir compte (ou alors à leur guise) de la continuité ou de la cohérence globale.
Le premier arc de cet album prend part directement après 'Year One'. En effet et dans le désordre : Batman est inexpérimenté et n'a pas de voiture, Gordon est toujours Capitaine, le Bat-Signal n'existe pas. En outre il est fait référence au personnage de Hugo Strange en tant que "Docteur". Or Strange est bien "Professeur" en psychiatrie dans l'univers DC connu. Et en outre... le "Docteur Strange", ça existe ailleurs (Sorcier Suprême, Marvel) et cela crée de la confusion. Cependant, je n'arrive pas à savoir s'il s'agit d'une erreur de traduction ou un désir des auteurs de marquer le côté 'Year One' où tout le monde est plus jeune, avec un grade de moins.
Bon, une très bonne histoire par ailleurs, très 90s'.

Le second arc est quant à lui plus décevant car moins beau et faisant la part belle à un vilain beaucoup moins intéressant : Jonathan Crane. L'album demeure donc déséquilibré et c'est assez dommage.

A noter que cet album contient des erreurs d'éditions nombreux et manifestes de la part de Urban Comics, surtout dans les crédits. Par exemple, la couverture n'est pas de Jason Fabok comme il est mentionné dans les crédits sur la dernière page du livre. Urban a confondu avec un autre de ses titres : L'Héritage de Deathstroke, dans la même collection et dont la couverture est bien de Jason Fabok. Celle de Strange est signée Brian Bolland (Gotham Knights #9, Novembre 2000).

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17/01/2017

Parmi les rares découvertes inédites de ce début d'année, "Batman Vampire", qui est une compilation de trois récits écrits par Doug Moench (auteur de "Prey", juste au dessus) et dessinés par Kelley Jones (déjà vu sur Sandman de Neil Gaiman mais ça remonte !). Les trois récits sont publiés sous label Elseword, et pour cause, ils racontent la rencontre entre Batman et Dracula.

L'intérêt principal de cette histoire en trois parties réside dans la jouissance née de la violence des planches de Jones (très belles tout au long de la lecture) mais aussi dans l'effet mirroir de deux univers ma foi assez comparables d'un point de vue littéraire. Doug Moench s'en sort assez bien de ce point de vue et le tout crée une expérience de lecture très agréable. Pas un classique, non, mais une réelle bonne surprise, encore une fois très 90s' !

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18/01/2017

Artiste découvert l'an dernier et immédiatement adulé, Régis Loisel s'en revient déjà cette année dans mon carnet de bal avec ce petit bijou qu'il signe chez Glénat : Mickey Mouse, Café Zombo. En fait, il s'agit du quatrième opus d'une collection dirigée par Jacques Glénat et qui propose à des artistes de Bande Dessinée français de produire une œuvre sur le personnage de Mickey en références aux grandes heures du personnage mythique de Disney et en particulier aux travaux de Floyd Gottfredson.

Glénat continue son excellent travail sur les licences Disney. Car même s'il s'agit d'une production française, c'est bien sous licence Disney qu'est publiée cette œuvre. Régis Loisel fournit un travail de haute qualité, surtout graphique, très propre et magnifique. On sent que l'auteur a pris un maximum de plaisir à réaliser cet opus car il fait preuve de beaucoup d'audace dans les expressions mais aussi dans les thématiques scénaristiques : contexte de crise économique, chômage, écologie mais aussi mal-bouffe, etc. Un "Mickey de gauche" comme il dit.

Dans tous les cas, quand on est intéressé ou même passionné par les licences Disney (c'est mon cas, notamment avec l'univers de Donald chez Barks et Rosa) et qu'en plus on aime Loisel, l'artiste et l'homme, ce livre est une petite merveille, servie dans un écrin précieux et délectable !

A noter qu'à l'instar des travaux de Barks et Rosa sur le DuckVerse, ceux de Gottfredson sur la truculente souris sont également disponibles chez Glénat. Et ça fait chier ! Une intégrale en 12 tomes, 128 pages et 29,50 euros par volume, pour un grand format de luxe A3.
#GlénatMeRackette

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10/02/2017

Hors-Série du périodique "Lire" qui retrace la vie, l’œuvre et l'héritage de André Franquin, fer de lance de Bande Dessinée belge du milieu du 20° siècle. Des récits fouillés, des archives précieuses et un beau portrait du bonhomme, assurément progressiste et intéressant.
Suivent quelques lectures inédites sur Spirou et le Marsupilami (Gaston et Les Idées Noires sont déjà bien connus)

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14/02/2017

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14/02/2017

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14/02/2017

Fin de cette petite incursion inopinée et néanmoins délicieuce dans l'univers du légendaire André Franquin. Ce volume qui fait la part belle à la drôle de panthère de Palombie est un régal d'humour et une BD réellement rafraîchissante.

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15/02/2017

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16/02/2017

Retour (momentané) aux comics et première énorme claque de l'année 2017 ! Et elle est signée Jason Aaron, détenteur du titre de scénariste de l'année (2016).
Aaron n'était pas prévu si tôt dans l'année mais l'occasion fait le larron. C'est en l'occurrence une exposition sur le dessinateur de la série, le serbe R.M. Guéra, au Centre Culturel de Serbie (à Paris) qui a poussé à la lecture anticipée du premier volume de cette intégrale.
C'est peu dire que j'avais adoré Aaron l'an dernier avec tout son talent et l'intelligence de son écriture. En outre, les deux numéros dessinés par Guéra dans la maxi-série "Batman Eternal" m'avaient également tapé dans l’œil. Mais Scalped est leur chef d’œuvre à tous les deux et la cote de ce comics, s’annonçant très noir et adulte, était déjà énorme.

Et quand c'est encore mieux que ce à quoi tu t'attendais, quel pied ! Le génie de cette série tient surtout, hormis le talent intrinsèque des deux artistes, dans les thématiques historiques et sociologiques de l'oeuvre. Il s'agissait à l'origine d'un relauch d'un personnage secondaire de DC (Scalphunter), mais Aaron a préféré partir sur un récit beaucoup plus sombre et réaliste, dépeignant le misère et la violente et cruelle réalité des réserves indiennes aux Etats-Unis. Les différentes intrigues entre-mêlées ainsi que la caractérisation parfaite font naître une empathie et un intérêt immense. Quant au trait de Guéra, il gère parfaitement la violence - qui reste principalement verbale - et livre une oeuvre magnifique. On sent bien que le sujet l'a passionné, pour notre plus grand plaisir.
Vite la suite !!

A noter que la série rappelle beaucoup Southern Bastards, surtout dans les thématiques.

L'exposition sur R. M. Guéra s'est avérée intéressante, surtout grâce à la présence de plusieurs planches originales des séries Scalped, Django Unchained et The Goddamned (que j'ai plus que hâte de découvrir).

Relue le 10/08/2017

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19/02/2017
(lue en V.O.)

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19/02/2017
(lue en V.O.)

Album de transition toujours très beau mais un Jeff Lemire un peu fainéant qui ne fait pas beaucoup avancer l'histoire, se contentant de jouer (un peu) avec ses personnages.

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20/02/2017

Une incursion intéressante dans l'univers politico-historique de Brian Wood. Cependant la série semble avoir été annulée abruptement et c'est fort dommage.
Reste à découvrir plus tard dans l'année DMZ et Northlanders.

On fait une pause dans les comics mais on reste en Nouvelle-Angleterre, une région qui a la cote en ce moment (Lovecraft).

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02/03/2017

Alan Moore Acte I

Quand on est fan de Lovecraft, ce qui est une quasi-obligation de tout bon nerd digne de ce nom, cet ouvrage fait sens. Plus qu'un hommage A Lovecraft, il s'agit bien d'un récit SUR Lovecraft, ses écrits, son mythe et l'héritage énorme, riche et complexe qu'il a laissé.
L'OGN d'Alan Moore (dont j'avais pour ambition de développer l’œuvre cette année 2017), fait également la part (très) belle à la thématique du sexe en extrapolant sur la vraie relation entre l'auteur de Providence et la sexualité au travers de ses écrits.

Une œuvre complexe et d'une violence inédite et que seuls les inconditionnels de Lovecraft devraient lire.

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04/03/2017

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05/03/2017

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05/03/2017

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05/03/2017

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06/03/2017

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07/03/2017

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08/03/2017
(Lue en V.O. sur Comixology)

En parallèle de la lecture de l'event "Superman Reborn", la lecture de cette mini-série peut s’avérer éclairante. Elle s’inscrit dans un lourd contexte de continuité et fait directement suite aux événements de Convergence (possédée mais non-lue), qui par ailleurs ne bénéficie pas d'une bonne réputation. Elle se place également dans un contexte mythologique important lié au Multiverse DC. Lire (en plus de Convergence) CoIE et tous mes actifs Superman devient urgent.

La série est parfaitement agréable à lire. Conduite par Dan Jurgens, un historique de l'Homme d'Acier, et dessinée par le talentueux Lee Weeks, elle apporte surtout un plaisir lié à la nostalgie du couple mythique et aussi à l'intronisation réussie de Jon Kent/Superboy. L'intrigue est certes modeste mais non dénuée d'intérêt malgré sa conclusion plus que rapide. Enfin, le costume noir et la thématique de l'identité secrète sont plaisantes.

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10/03/2017
Relu le 13/06/2017, après la découverte de Stormwatch.

Série incroyablement culte, chef d’œuvre du grand Warren Ellis. Le titre confère à la culture populaire la grandeur qu'elle mérite et lui rend un hommage extrêmement complet, fin et intelligent. Même Lovecraft y passe !
La bible du passionné de comics et de culture imaginaire.

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12/03/2017
Relu le 15/06/2017.

Après l'avoir relu trois fois cette année, j'ai peine à trouver un comics plus magnifique et parfait que Planetary. Une série splendide et jouissive, l’œuvre d'une vie de deux artistes légendaires. Mais surtout l’œuvre d'une vie de tout passionné de comics et de culture pop.
Jadis, j'aurais probablement promu Planetary /// !!! *** Top 1 *** !!! \\\ de mon classement. A lire relire et re-relire sans la moindre modération.

[ PS : Que le plaisir de lecture de ce second tome de cette intégrale ne soit pas gâché par le numéro cross-over avec la JLA placé en toute fin d'album. Ceci est une mauvaise décision. Compréhensible dans le sens où l'intrigue se passe dans un futur hypothétique et plutôt dystopique, mais mauvaise. En fait Planetary/JLA a été publié au milieu de la série, entre le #15 et le #16, une longue période de deux ans, dans laquelle est également sorti Planetary/Batman.
Le cross-over avec JLA est clairement le moins bon des trois proposés, opportuniste et plutôt vilain. Placé à la fin de l'intégrale il donne l'impression d'être une espèce de conclusion, pire, d'un épilogue mais il n'en est rien. ]