Lus en 2020

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01/01/2020

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4/01/2020

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6/01/2020

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9/01/2020

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13/01/2020

très inégale, de très très bonnes nouvelles et d'autres vraiment bof. Mes préférées : Dans les urs d'Eryx (coécrite avec Kenneth J. Sterling), La Tombe, Celephais, Hypnos
Par contre, j'avais pas réalisé en lisant d'autres bouquins de Lovecraft, mais LE RACISME DU MEC !!! Chaud...

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14/01/2020

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15/01/2020

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18/01/2020

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18/01/2020
arrêté vers page 70, à mi-chemin. Pas intéressant, on pige rien, le style est lourdingue, n'est pas Fante ou Genêt qui veut

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19/01/2020

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19/01/2020

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21/01/2020
je sais que c'est un classique de lovecraft, mais c'est trop long, il se perd en détail, redondance, tourne autour du pot, trop de descriptions de cavernes... pas assez d'émotion. Alors oui, c'est le cas de ses autres nouvelles, mais elles sont plus courtes, vont plus à l'essentiel

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26/01/2020

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2/02/2020

Bon par contre c'est une vieille édition donc pas grand chose à faire, mais c'est bourré de coquilles, de mots mal écrits, de mots qui manquent dans les phrases, de problèmes de concordance de temps, j'en ai compté au moins une cinquantaine sur 250 pages, c'est chaud, dont 4 sur une seule page

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04/02/2020

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10/02/2020
arrêté page 300, c'est intrigant et il y a des trucs intéressants (ce méchant vendeur à la veste des désirs me plaisait bien), mais c'est vraiment beaucoup trop mal écrit

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14/02/2020

hum... je m'attendais pas du tout à ça, je suis mi déçue, mi c'était bien quand même, mi y a des trucs qui m'ont dérangée. Je sais plus du coup.

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15/02/2020

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18/02/2020
complètement fumé, complètement drôle, super personnages !

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22/02/2020

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26/02/2020
par contre il va falloir se décoincer dans la langue et accepter de féminiser un minimum les fonctions/professions
je sais que ça en crispe certains, notamment dans le milieu militaire, mais quand je lis "le caporal" "le soldat" "le capitaine"
"le général" suivi d'un nom plutôt mixte ben je visualise un homme. Et j'apprends une demi page plus loin que c'est une femme, sauf qu'à chaque fois
qu'elle sera nommée par sa fonction, ce sera au masculin. C'est trop compliqué de dire "la capitaine" ? "la caporal" ?
on va se brûler les mains et les yeux ? Le masculin neutre n'est PAS NEUTRE !
Alors même que le gambit du renard est un roman TRES ARDU niveau hard SF, au final ce qui m'a le plus gêné dans ma lecture, c'est
ce refus de genrer correctement. Ptin.
Et je dois parler du fait qu'à aucun moment sur la 1re ou 4e de couverture c'est indiqué que c'est le premier tome d'un trilogie ?
c'est très peu courtois de la part de l'éditeur.

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4/03/2020
Failli abandonner dans les 50 premières pages car trop verbeux et je voyais pas où on allait. Finalement on se prend au truc, les passages avec Nell sont vraiment sympa, plus de mal à accrocher à ceux de John (sûrement parce qu'ils sont plus lourds en terme de descriptions moyennement intéressantes). La fin est super précipitée par contre, notamment cette histoire d'armée des souris, et cette guerre civile qui sort un peu de nul part, on a presque une histoire différente sur les 50 dernières pages. Chelou. Et les 10 dernières pages sont mystiques.

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12/03/2020

Entre 6 et 7. j'ai mis du temps à entrer dedans et eu l'impression que l'histoire ne décollait pas vraiment. Les personnages sont un peu fades/clichés, mais l'ambiance est sympa, on a envie d'en savoir plus sur l'univers (il y a d'autres livres dessus). Par contre, venant d'une autrice je m'attendais à un meilleur traitement des personnages féminins : il y en a 2 (pour mooooults personnages masculins) et parmi sont ces personnages, il y a un seul mort dans les gentils, une des deux femmes. Voilà voilà. Prendre la société patriarcale pour excuse n'est pas une excuse, on est dans une Vienne imaginaire, fantastique, un peu hors du temps, on pouvait très bien changer ça.

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15/03/2020
ecriture parfois confuse/approximative, phrases alambiquées, mais ça reste à la marge. Globalement j'ai beaucoup aimé, surtout les personnages et leur traitement (évidemment Alec est tout à fait mon genre de perso, j'adore les langues de pute qui savent pas quoi faire de leur corps mais se la jouent quand même nonchalant)
lecture de la version reeditée par actuSF, je crois qu'il y a plus de nouvelles

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20/02/2020
j'en attendais beaucoup, j'ai adoré tout le début, et j'ai plongé dans l'ennui au fur et à mesure de la lecture, je sais même pas pourquoi

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30/03/2020

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9/04/2020

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13/04/2020
super déçue par ce lui-là, pourtant jusque là, Richard Morgan c'était de la valeur sûre, mais là, on est trop dans les travers qui, bien dosés dans ses autres bouquins étaient sympa, mais sont même plus intéressants en mode premier degré
- les dialogues pseudo profonds
- les personnages peu consistants qui semblent oublier qui ils sont pour servir les scènes hyper visuelles
- l'insistance très lourde sur ce que sont les variantes 13, ce qui n'est même pas corroboré en actes : les variantes 13 qu'on rencontrent ont 0 charisme et le héros s'attache hyper facilement et se laisse vachement guider par ses émotions pour un type censé être une machine parfaitement dans le contrôle
- début sympa, mais au fur et à mesure qu'on avance, on pige rien et la fin lue en diagonale

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15/04/2020
Je crois que j'ai lu les 600 et quelques pages en une journée xDD