Mémentos animés

Annotation :

Coup de coeur assez irrationnel. Je reconnais que l'anime a ses défauts, mais il met tellement bien en scène le survival game et la bonne amnésie comme on l'aime qu'on passe du bon temps. L'ensemble est bourré d'actions.

Et puis, y a une ambiance particulière entre gouvernance mondiale, famille loufoque et chara design intégré dans univers différent. Ah, et l'OST aussi a une part importante.

Annotation :

Le main ne mérite que des claques, la plupart des personnages intéressants ne sont développés que sur un arc très court, y a énormément d'incohérence scénaristique.

Mais, incohérences passés, le scénario est quand même pas mal classe, j'dois avouer que j'ai un gros faible pour les survival games.

Annotation :

Charisme exceptionnel des personnages, construction lente qui mène à une conclusion un peu basique (ouaw structure triangulaire tatata). Mais l'univers fout des claques, on frétille à l'idée de voir interagir les personnages entre eux, et pour une fois le main n'est pas si pitoyable que ça.

Annotation :

Découpé en trois temps, l'anime propose trois différents registres de dialogue mais aussi de ressentis, et de traitements de design.
Monde bien développé, certaines scènes esthétiquement magnifiques. Emotions pas mal retranscrites.

Bémols : la portée symbolique assez faible (xdlol capitaliste/communisme) et les personnages tous haïssables (rarement de choix intelligents).

Annotation :

Monument. Fresque absurde contemporaine, esthétique ultra novatrice. Détournement des codes du shonen ou du ecchi. Montage extrêmement dynamique, décors artificiels.
Dialogue ionesquesque, trame principale intéressante.

Et puis Senjougahara, quoi.

Annotation :

Bandes sons fantastiques. Le scénario en somme n'est pas passionnant, parfois un peu commun. Mais les personnages pètent la classe, le rapport à la technologie et à la hiérarchie dystopique est bien exploité.
Aussi, cosmopolitisme assez rare pour le soulever.

Annotation :

Point de vue sur le phénomène des hikikomoris développé. Evolution de deux (trois ?) relations. Néanmoins, nombreuses longueurs, blocage.

Annotation :

Sorte de résidu de shonen hyper américanisé avec des personnages qui tentent d'empiler les clichés pour voir jusqu'où les nerfs du spectateur vont lâcher.

Néanmoins, alcoolisé ça passe. Plutôt bien même, on a envie de voir le loser pécho.

Annotation :

La prod est carrément intéressante. Léchée, ce qui jusque là est courant, mais aussi utilisation de vue subjective, etc... Les passages entre timelines sont bien rythmés.
Inspiration Detective Conan (jusqu'aux lunettes, quoi), topos de la mémoire et du temps propres aux japonais.

Ce qui est aussi propre aux japonais : trouver normal qu'un type de 28 ans dans le corps d'un gosse de 9 ans drague une meuf de 9 ans aussi.

Certains aspects thématiques sont bien traités (relation mère/fils du main chara, point de vue sur la jeunesse, etc...), d'autres moins (Kayo, sa mère et sa grand-mère ? beaucoup trop surfait). Après certaines fois c'est ultra niais, mais c'est justifié par la jeunesse.

Grandement dommage que la fin soit évidente. Je m'en doutais dès l'épisode 7-8, mais justement il restait un doute tandis qu'à partir du 10 l'anime passe son temps à donner des indices flagrants sans que ça serve le scénario. Au contraire, ça l'appauvrit, j'ai du mal à comprendre la démarche.

J'suis deg qu'Airi ait pas été plus développée.

Annotation :

Atmosphère très contemplative : musique (et ambiance sonore en général), design singulier. Propice à mettre en scène les associations d'idées dues à la poésie.

Le main chara a une édition illustrée par Redon des Fleurs du Mal. Mais il est très faible, ses monologues sont inutiles. Les fascinations malsaines japonaises me rendent vraiment mal à l'aise.

D'ailleurs, le jeu symbolique est ultra lourd. On a compris, cheveux rouges, diable, Baudelaire, contrat... Grmbl.

Annotation :

Tous les personnages sont assez antipathiques et irréfléchis en fait. Aucune notion d'empathie. Surtout chez l'ersatz de Sasuke raté.

L'intrigue reste pour l'instant très immature, mais bon c'est justifié puisqu'elle prend racine quand ils sont gosses. Les persos sont extrêmement stéréotypés. D'ailleurs, ARRETEZ DE FANTASMER SUR DES GOSSES.

En fait, c'est Bloodline mais en moins cohérent avec des overly dramatic sad pianos en plus. Et des larmes de partout.

C'EST QUOI CES DIALOGUES CLICHES C'EST INSUPPORTABLE DZZJIJZOIFHZ. La mère demande à faire pleurer son fils wtfff rien n'est cohérent le monde s'arrête de tourner dzdzz
putain ils arrivent même à crier en choeur comme dans les trucs les plus clichés de l'univers....... Celosia : "c'est peut-être une chorale".

Annotation :

On dirait qu'il a été fortement inspiré de Cannon Fodder, court-métrage réalisé par Katsuhiro Otomo le père d'Akira, issu de Memories. Le chara design des élèves est quasiment le même, et la ville me semble aussi très semblable avec les sirènes, la construction verticale...

Volonté parodique du shonen, dans un jeu de surenchère. Fan service assez ironisé aussi, je crois. Détournement de FLCL, Kubrick, Coppola...

Bon bah c'est divertissant quoi. ça transcende jamais, mais on s'gausse bien parfois.

Annotation :

Glauque et gore, tout comme il faut. Le design est sympa, pas excellent mais y a quelques audaces comme les jeux de couleurs dans certains états seconds. Du reste, c'est très sombre.
Ah oui, gros changement d'ambiance dès l'épisode 3. L'anime prend alors tout son sens avec un univers très codegeassien.

La mémoire embrouillée du type est caractérisée par la narration absolument pas claire. C'est cool.

La scène des patates est fantastique, complètement surprenante. Je sais pas ce qui se passe avec cet épisode 9...

L'intrigue est basique à la Mario, mais bon. Le reste est tellement cool. Peut-être les méchants sont pas assez charismatiques.

C'est la négation du personnage.
Nietzsche aurait pu écrire la fin.

Annotation :

Dès le première épisode, j'ai eu peur que ce soit une pâle copie de l'épisode X Cops d'X Files, mais en moins bien.
Il s'avère qu'il s'agit en fait d'une pâle copie de l'épisode X Cops d'X Files, mais en moins bien.

Mais les histoires sont beaucoup trop banales, clichées, j'en peux plus. Même si elles sont prévisibles, elles arrivent à être décevantes...
Si l'accent avait été mis plus tôt sur la singularité et la complexité des personnages (et qu'il y avait eu quelques épisodes en plus pour les dérouler), ça aurait pu être un très bon anime.

Si c'est une métaphore du purgatoire, je mets 1 à cet anime. Dieu nous en garde, d'ailleurs y a quelques idées bonnes. Les explications finales tiennent à peu près la route.

Annotation :

Principe de parasites plutôt intéressant.
Le mec qui a fait les musiques devait être un sacré rigolo.

Bon, la réflexion sur les hommes quant à leur espèce et le rapport mère-fils est assez bien questionné par l'arrivée de la nouvelle espèce.
Mais pas mal d'incohérence peu expliquée, et un grand méchant pas charismatique du tout.

Annotation :

Pas le courage de continuer après avoir vu que ce genre d'animes peuvent sortir en 2016. C'est une sorte de réflexion métaphorique sur le statut de l'humanité : certains hommes discrets parmi les autres s'avèrent en fait être des créatures à leur insu nommés Ajin. Sauf que ces créatures sont rejetées par la masse pour... aucune raison. Leur immortalité ?
Du coup la réflexion s'enclenche mal, bien mieux géré dans Parasite.

Le reste, c'est du personnage badass / méchant hyper cliché; Et le héros, toujours aussi babtou fragile à avoir peur de tout et philosopher sur la fin de la vie à chacun de ses actes. C'est une constante dans les animes qui me rebute.

Annotation :

c'était bien

Annotation :

c'est l'histoire d'une fille qui est amoureuse d'un garçon depuis son enfance qui s'avère être son prof mais lui il est amoureux d'une autre fille qui est aussi prof du coup la première fille va sortir avec un autre garçon qui est amoureux de la fille prof, comme ça ils vont pouvoir fomenter des plans et tout
mais c'est pas tout, autre garçon est encore en contact avec une fille de son enfance qui l'aime, mais que première fille déteste. puis meilleure amie de première fille est amoureuse de première fille.
update /!\ !!!!!!! : à l'ep 8 arrive un troisième garçon !! il est amoureux de la fille amoureuse de première fille, l'équation devient complexxx

C'est pas censé être drôle, mais à de rares moments ça l'est. Et quand c'est pas censé être drôle, ça l'est aussi.

c le monde ss la sublimation freudienne
c impressionnant pcq personne n'a un tant soit peu de recul sur sa situation et les gens prennent des résolutions complètement absurdes en fait
jveux bien que ce soit un anime psychologisant moderne mais faut pas réduire les gens à littéralement UN SEUL sentiment alors
et ça donne des situations très cocasses (toutes les minutes je suis plié par une réaction invraisemblable d'un des personnages, d'autres fois je suis simplement subjugué)
voire même 1000 abus à la seconde ???
genre ils passent leurs vies à s'embrasser ou plus à des moments ultra tristes ?? ils n'ont pas du tout les réactions appropriées

sinon la réal est plutôt fun, bien faite, des jeux de doubles plans sur l'écran et tout
j'ai néanmoins appris que les japonais buvaient du café en cannette merci anime

Mugi : "Je suis un chanteur de J Pop à chercher un sens derrière un baiser ?"

Annotation :

Il faut attendre l'épisode 6 pour qu'il se passe quelque chose. A vrai dire, y a besoin de poser les bases pour ressentir la charge émotionnelle du tournant de l'hiver, mais je pense que le début aurait pu être tourné autrement pour être un peu plus intéressant.

ça va pas me laisser un souvenir impérissable mais c'vraiment joli.

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des creux mais vraiment coolos ds l'ensemble

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l'anime est super doux et tendre et good vibe ! Puis assez cohérent, il se la joue pas trop shonen avec "wow il fournit tjrs plus d'effort il sera forcément récompensé", du coup c'est rafraîchissant. ça va jamais plus loin, mais c'est ultra suffisant.

Annotation :

L'ETERNEL RETOUR

L'idée derrière la subversion des codes des shounen light romances et le montage très singulier a beaucoup été reprise (avec succès) dans les Monogatari. Le style graphique reste néanmoins très différent.

C'est plutôt réussi en tout cas, la variation dans la répétition est très intéressante, beaucoup de thèmes sont abordés (de société, artistiques) de manière inégale. Mais l'ensemble reste plus que correct.

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Chaque insatisfaction d'un présent du héros, nommé symboliquement "Je", provoque un retour vers son entrée à la fac. Comme s'il visait une forme d'absolu, la vie "en rose". Pourtant, il passe à chaque occurrence à côté de l'essentiel pourtant spécifié à chaque épisode par la voyante : la chance flotte au-dessus de lui, la chance exprimée dès le premier épisode. Elle est incarnée dans sa romance avec Akashi, mais consiste simplement en la satisfaction du quotidien. Pas celui bien rangé en 4 tatamis et demi, mais celui du flot du hasard. Trop de destin tue le destin.

Morale wholesome et confortante.

Annotation :

C'est reposant de voir des gens qui ont pour centre de gravité une passion. Ils sont d'ailleurs tous bienveillants. L'histoire est plaisante, émouvante, et les personnages attachants.
Si on gratte un peu par contre, y a pas grand chose derrière le pathos. Le discours sur la maladie ou l'image de la mère mène nulle part. Aussi, y a quelques longueurs dans certaines scènes, à base de répétition.

Annotation :

Y a quelque chose de super charmant dans cet anime. Les personnages sont extrêmement charismatiques même s'ils ont tous quelque chose de désagréable tellement ils sont peu réalistes et romanticisés. Leurs intrigues personnelles sont forcées. Tout comme la narration qui repose dans la quête de Fuu. Mais ça importe peu : l'intérêt de Samurai Champloo ne réside pas dans son histoire.

L'esthétique a quelque chose de formidable, elle est en diapason avec ces fortes têtes et l'animation fluide. Certains arcs sont très beaux, le 16-17 est génial. La plupart des side-characters participent à cet effet de cohérence quasi complète.
Les moments émouvants ne tombent que rarement dans la facilité. Peu de choses sont dites, la mise en scène reste assez sobre (sauf à de rares moments) et le trio manque réellement de se séparer plusieurs fois. L'artifice n'y change rien, c'est très séduisant.

En fait à partir de l'épisode 16 c'est trop bien.

Annotation :

Vraiment trop fort de pouvoir dresser autant d'ambiances différentes, de réussir partout, d'être original, je suis bouchée bée.
Du coup je pardonne à la série ses facilités de l'épisode 24.

Annotation :

C'est extrêmement viscéral, je me sens très très mal à l'aise en le regardant, c'est très fort de pouvoir faire ressentir ce genre de rejet. Aucun personnage n'est un refuge pour le spectateur, on est effrayé par tous mais aussi pour tous. On est toujours sur ses gardes, c'est dingue de pouvoir dresser une ambiance aussi anxiogène.

C'est l'anti rocky horror. Un an avant, le pôle contraire. J'ai du mal à m'en remettre.

Annotation :

J'ai vraiment un faible pour Shaft en général.

Extrêmement créatif et assez souvent très drôle. Certains épisodes sont un peu au dessous, mais y a quelque chose de particulier à cet anime pas si stéréotypé que ça même s'il en joue beaucoup.

Annotation :

jamais vu un anime avec des musiques et des graphismes aussi beaux mais un montage aussi pété
le tout est bourré de défauts de partout, mais joue très bien sur la culture du mystère.

bon dieu même le drama général de l'anime n'a aucun sens mais c'est jouissif de voir des types d'extrême droite parisiens animés par des japonais en 2001 crever de sang froid, j'comprends r

Annotation :

L'anime est toujours cool, vraiment.

Mais je suis moins fan des deux nouveaux arcs, l'épique paraît un peu artificiel.

Puis l'anime tire sur des ficelles de manière à ce que des situations se reproduisent en permanence type shonen (la perte de mémoire, l'intérêt romantique...).

L'arc deux est assez intéressant ceci dit, gros changement de rythme, et moins de manichéisme.

Très triste que l'anime soit arrêté ceci dit. Si j'avais la patience de lire des scans...