Memoires injustement salies
6 livres
créée il y a plus de 4 ans · modifiée il y a plus de 3 ansDracula (1897)
(traduction Lucienne Molitor)
Sortie : 1963 (France). Roman, Fantastique
livre de Bram Stoker
Reureune l'a mis en envie.
Annotation :
Vlad Tepes, héros tragique aujourd'hui injustement associé au mythe du vampire.
Les Ténébreuses (1924)
Sortie : 1924 (France). Roman
livre de Gaston Leroux
Annotation :
Raspoutine, bon vivant, à la fois ami du peuple et du tsar, y est dépeint de manière diabolique.
Henry VI (1592)
Sortie : 1592 (France). Théâtre
livre de William Shakespeare
Annotation :
Jeanne la Pucelle (Jeanne D'arc) y est injustement dépeinte comme une sorcière malveillante aux moeurs légère, qui faisait goûter de ses charmes aux soldats français. Même si Shakespeare la décrivait ainsi par "patriotisme" anglais, ça reste vil, très bas.
Quo vadis ? (1896)
(traduction Bronisław Kozakiewicz et J.-L. de Janasz)
Quo vadis: powieść z czasów Nerona
Sortie : 1901 (France). Roman
livre de Henryk Sienkiewicz
Annotation :
Néron était aimé du peuple mais détesté par les classes sociales supérieures. Il a ainsi été victime pendant des siècles et des siècles d'une injuste campagne de diffamation propagandiste.
La Comtesse sanglante (1984)
Erzsébeth Bàthory
Sortie : 1984 (France). Récit
livre de Valentine Penrose
Annotation :
Erzsébeth Bathory est souvent considérée à tort comme une criminelle sanguinaire. Mais il faut séparer la légende, les ragots, la fiction, de la réalité. En effet, il n'y a eu aucune preuve concrête des meurtres que Mme Bathory aurait perpetré. Il n'y a que des témoignages, et des témoignages obtenus sous la torture ou sous la menace de torture. En effet, dans pareilles circonstances, personne n'irait risquer son intégrité physique en contredisant des bourreaux, juste pour sauver l'honneur d'une inconnue, aussi innocente qu'elle puisse être.
A la mort de son mari, beaucoup ont convoité la fortune de Madame Bathory. La condamner de cette façon était une façon idéale, à l'époque où la torture et les menaces faisaient office de justice, de récupérer un joli pactole.
Bref, je suis pour la présomption d'innocence, et comme, contrairement à la légende, il n'y a aucune preuve avérée de la culpabilité de cette femme, je préfère rester prudent avant de la condamner de criminelle sanguinaire.